09/10/2013
Profession perpétuelle chez les Franciscains de l'Immaculée
Quatorze frères des Franciscains de l’Immaculée ont fait la profession perpétuelle des voeux au couvent St. François d’Assise de Tarquinia (VT) le 31 aout 2013.
Voici les nationalités: Bénin, Philippines, Angleterre, Italie, Nigeria, États-Unis.
Il s’agit des frères: Theophilus M. Toribio, Peter M. Alivio, Ignatius M. Sevilla, Conrad M. Flores, John Gerard M. Anthony Agravante, Luc M. Awolo, James M. Shatu, Francis M. Nnama, Jean M. Segbedji, Philomeno James M Gilfoyle, Terrence Jean M. Chartier, George M. Pio Piahive, Francesco M. Pio Iuliani, Rosario Joseph M. Anabessa-Ebanka.
La Ste. Messe au Coeur Immaculée de Marie a signifié le lien des religieux avec la Sainte Vierge.
En vertu du “voeu marial” ils sont appelés à l’union mystique avec Marie pour être modelés par Elle et Lui ressembler dans la dimension de l’être et de l’agir.
Le fondateur, le Père Stefano Maria Manelli a reçu le voeux en délégué du Commissaire Apostolique.
En imitant l’Immaculée et les saints comme St. François d’Assise et St. Maximilien M. Kolbe, le souhait le plus beau, pour les frères qui ont fait les vœux, c’est le plus grand amour envers Dieu et le prochain.
Source: Immacolata.com - le site internet officiel des Franciscains de l'Immaculée.
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07/10/2013
La liturgie catholique suivant les orientations du Concile Vatican II à Anvers
Samedi 28 septembre 2013 se tenait à Anvers la rencontre annuelle de l’association VWVHLL (Vlaamse Werkgroep voor Hedendaagse Latijnse Liturgie – Groupe de travail flamand pour la liturgie latine actuelle).
La Messe pontificale était célébrée à 11h en latin suivant le Missel du Bx Jean-Paul II (2002) par S.Ém. le Cardinal Eijk, archevêque d'Utrecht (Pays-Bas) en la Collégiale St-Jacques d’Anvers, suivie d’une conférence donnée par le Cardinal sur le thème : « Quelle intention avait le Pape Benoît XVI en promulguant l’Année de la Foi ? ». La journée s’est clôturée par le chant des vêpres en grégorien, également selon la forme ordinaire du rite romain.
En cette Année de la foi promulguée à l’occasion du 50ème anniversaire du Second Concile du Vatican, la Messe de ce jour fut célébrée selon la liturgie actuelle de l’Église, comme l’Église le demande et suivant les orientations données par le Concile Vatican II.
Selon la volonté exprimée par l’Église dans la Constitution sur la sainte liturgie du Concile Vatican II « Sacrosanctum Concilium » (n°36 : « L’usage de la langue latine, sauf droit particulier, sera conservé dans les rites latins. »), la Messe était célébrée en latin et chantée en grégorien, « ad orientem » c’est-à-dire en orientation commune du prêtre et des fidèles, comme le suggère le Missel romain promulgué par le Pape Paul VI (1970) et réédité par le Bienheureux Jean-Paul II (2002), et selon la Tradition de l’Église catholique à laquelle le Concile a déclaré vouloir « obéir fidèlement » (« Sacrosanctum Concilium » n°4).
18:38 Publié dans Liturgie et Sacrements | Lien permanent | Commentaires (0)
05/10/2013
Euthanasie en Belgique: des Veilleurs debout à Bruxelles
Les discussions concernant l'élargissement de la loi sur l'euthanasie en Belgique reprendront au Sénat ce mercredi 9 octobre.
En signe de protestation face aux projets de loi visant à élargir cette pratique aux mineurs et aux personnes démentes, les Veilleurs debout se posteront devant le Sénat belge (Place de la Nation 1, 1000 Bruxelles - en face du Parc royal, rue de la Loi):
- ce dimanche 6 octobre 2013 à 16h
- ce mardi 8 octobre 2013 à 18h
- ce dimanche 13 octobre 2013 à 16h
ATTENTION
Ce n'est pas une manifestation! Les manifestations doivent obtenir un accord préalable de la police.
Nous respecterons la norme légale d'une distance minimale de 3 mètres entre chaque veilleur debout. Ainsi, nous agirons en toute légalité en évitant l'effet de rassemblement.
Voir aussi: www.euthanasiestop.be et www.leuthanasiejusquou.com
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04/10/2013
4 octobre - Saint François d'Assise: Admonitions
Aujourd'hui vendredi 4 octobre, l'Église célèbre la mémoire liturgique de Saint François d'Assise.
Extrait des "Admonitions" de Saint François, l'un de ses textes authentifiés d'origine par la recherche scientifique:
I - DU CORPS DU CHRIST
Le Seigneur Jésus a dit à ses disciples : « Je suis la voie, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Si vous m'aviez connu, vous auriez aussi connu mon Père, et dès à Présent vous le connaîtrez et vous l'avez déjà vu. » Philippe lui dit : « Seigneur, montrez-nous le Père, et cela nous suffit ». Jésus lui dit : « Depuis si longtemps que je suis avec vous, vous ne m'avez pas encore connu ? Philippe, celui qui me voit, voit aussi mon Père. »
Le Père habite une lumière inaccessible, et Dieu est esprit, et personne n'a jamais vu Dieu. Puisque Dieu est esprit, il ne peut être vu que par l'esprit; car c'est l'esprit qui vivifie, tandis que la chair ne sert de rien. Mais le Fils, en tant qu'il est égal au Père, ne peut être vu par personne autrement que le Père, autrement que l'Esprit Saint. Aussi tous ceux qui ont vu le Seigneur Jésus-Christ, comme voient les hommes, sans voir et sans croire, selon l'esprit et selon Dieu, qu'il est le vrai Fils de Dieu, sont damnés; et de même aussi tous ceux qui voient le sacrement du corps du Christ, consacré par les paroles du Seigneur sur l'autel aux mains du prêtre, sous les apparences du pain et du vin, et ne voient pas et ne croient pas, selon l'esprit et, selon Dieu, que c'est vraiment le très saint corps et le sang très saint de Notre-Seigneur Jésus-Christ, sont damnés, au témoignage du Très-Haut lui-même qui a dit « Ceci est mon corps et le sang du Nouveau Testament », et « Celui qui mange ma chair et boit mon sang possède la vie éternelle. »
Aussi c'est l'esprit du Seigneur habitant dans ses fidèles, qui reçoit le corps et le sang très saints du Seigneur; tous les autres qui n'ont pas part à cet esprit et qui ont l'audace de recevoir ce corps et ce sang, mangent et boivent leur condamnation. Aussi, enfants des hommes, jusques à quand aurez vous le cœur dur ? Pourquoi ne connaissez-vous pas la vérité et ne croyez-vous pas au Fils de Dieu ? Voici que chaque jour il s'humilie, comme lorsqu'il descendit de son trône royal dans le sein de la Vierge;
Chaque jour il vient à nous lui-même sous d'humbles apparences; chaque jour il descend du sein de son Père sur l'autel aux mains du prêtre. Et comme il apparut aux saints apôtres dans sa véritable chair, ainsi se montre-t-il à nous maintenant dans le pain sacré; et comme de leurs yeux de chair ils ne voyaient que sa chair, mais qu'ils croyaient voir Dieu lui-même qu'ils contemplaient des yeux de l'âme, ainsi faut-il que nous-mêmes, voyant le pain et le vin des yeux de notre corps, nous voyions et nous croyions fermement que c'est son très saint corps et son sang vivant et véritable. C'est de cette façon que le Seigneur est toujours avec ses fidèles comme il l'a dit lui-même : « Voici que je suis avec vous jusqu'à la consommation des siècles. »
Saint François d'Assise, Admonitions, I
Voir aussi: "Saint François d'Assise: lettre aux Custodes".
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03/10/2013
Encore un Pape de résistance
Comme Pie XII, Jean-Paul II et Benoît XVI, chacun à leur manière mais toujours au péril de leur vie, le Pape François lui aussi a tenu tête au crime d'État et à l'État criminel dans son pays d'origine, avant d'être accusé à tort d'y avoir collaboré.
Lu sur chiesa espresso.
Le jésuite qui humilia les généraux
L'histoire, jamais racontée jusqu'à maintenant, du réseau clandestin grâce auquel le jeune Bergoglio sauva des dizaines de "subversifs" de la férocité des dictateurs argentins
par Sandro Magister
ROME, le 27 septembre 2013 – Dans l’interview qu’il a accordée à "La Civiltà Cattolica" et qui a fait le tour du monde, le pape François décrit l’Église comme "un hôpital de campagne après une bataille", dans lequel la toute première chose à faire est de "soigner les blessés".
Mais qu’est-ce qui change lorsque la bataille bat son plein ?
Dans son pays, l’Argentine, entre 1976 et 1983, Jorge Mario Bergoglio a traversé les années de plomb de la dictature militaire. Enlèvements, tortures, massacres, 30 000 disparus, 500 mères tuées après avoir mis au monde en prison des enfants qui leur ont été enlevés.
Ce qu’a fait, au cours de ces années-là, celui qui était alors le jeune provincial des jésuites d’Argentine est longtemps resté un mystère. Impénétrable au point qu’un soupçon a commencé à se répandre : Bergoglio aurait assisté à l’horreur sans réagir ou, pire encore, il aurait exposé à un grand danger certains de ses confrères, ceux qui étaient les plus engagés dans la résistance.
Au printemps dernier, tout de suite après qu’il eut été élu pape, ces accusations ont été relancées.
Elles ont été immédiatement contredites par des voix faisant autorité bien que très critiques à l’égard du rôle global de l’Église d’Argentine au cours de ces années-là : les mères de la Plaza de Mayo, le prix Nobel de la paix Adolfo Pérez Esquivel, Amnesty International. La justice argentine elle-même avait lavé Bergoglio de toute accusation, après l’avoir soumis à un interrogatoire lors d’un procès qui a eu lieu entre 2010 et 2011.
Cependant, s’il était solidement établi, à ce moment-là, que le pape actuel n’avait pas fait quoi que ce soit de condamnable, on ne savait toujours pas ce qu’il avait éventuellement fait de bien, au cours de ces années terribles, dans le but de "soigner les blessés".
*
On ne le savait pas jusqu’à hier. Parce que qu’un livre publié aux éditions EMI, petit quant à ses dimensions mais explosif quant à son contenu, arrive maintenant pour lever le voile, pour la première fois, sur cette face cachée du passé du pape François. Il sera présent dans les librairies italiennes à partir du 3 octobre, puis, progressivement, dans huit autres pays du monde où les traductions sont déjà en cours. Il est intitulé "La liste de Bergoglio". On pense immédiatement à la "Schindler's list" immortalisée par le film de Steven Spielberg. Parce que le fond est le même, comme le dit la suite du titre du livre : "Ceux qui ont été sauvés par François pendant la dictature. L’histoire qui n’avait jamais été racontée".
On trouve dans la partie finale du livre la transcription intégrale de l'interrogatoire auquel celui qui était alors l’archevêque de Buenos Aires fut soumis le 8 novembre 2010.
Devant les trois juges, Bergoglio a été harcelé, pendant trois heures et cinquante minutes, par les questions insidieuses posées surtout par l'avocat Luis Zamora, défenseur des victimes. Un passage clé de cet interrogatoire est celui où il est demandé à Bergoglio de justifier ses rencontres avec les généraux Jorge Videla et Emilio Massera, en 1977.
Deux prêtres qui étaient très proches de lui, les pères Franz Yalics et Orlando Yorio, avaient été enlevés et enfermés dans un lieu secret. Le premier avait été son directeur spirituel pendant deux ans et le second avait été son professeur de théologie ; puis ils s’étaient engagés à fond aux côtés des pauvres des "villas miserias" de Buenos Aires, ce qui avait fait d’eux des cibles de la répression. Lorsqu’ils furent enlevés, Bergoglio, qui était alors provincial des jésuites, s’activa pour savoir où ils étaient détenus. Il le découvrit : ils se trouvaient à la tristement célèbre Escuela Superior de Medicina des officiers de marine, dont peu de prisonniers sortaient vivants.
Pour demander leur libération, Bergoglio voulut rencontrer tout d’abord le général Videla, qui était à l’époque le numéro un de la junte. Il y parvint à deux reprises ; la seconde fois, en convainquant le prêtre qui disait la messe au domicile du général de prétendre qu’il était malade et en le remplaçant. Son entretien avec le général lui apporta la confirmation définitive du fait que les deux jésuites étaient enfermés dans les prisons de la marine.
Il ne lui restait donc plus qu’à prendre contact avec l'amiral Massera, personnage irascible et vindicatif. Il rencontra également celui-ci en deux occasions. La seconde rencontre fut très brève. "Je lui ai dit : Écoutez, Massera, je veux que vous me les rendiez vivants. Je me suis levé et je suis parti", a raconté Bergoglio lors de l'interrogatoire de 2010.
Dans la nuit qui suivit, les pères Yalics et Yorio furent chloroformés, placés dans un hélicoptère et déposés au milieu d’un marécage.
Mais on avait fait croire aux deux prêtres, au cours des six mois durant lesquels ils avaient été emprisonnés et torturés, qu’ils avaient été les victimes d’une délation de la part de leur père provincial. Et quelqu’un écrivit sur une fiche des services secrets : "En dépit de la bonne volonté du père Bergoglio, la Compagnie de Jésus argentine n’a pas fait le ménage en interne", insinuant par là qu’il était complice de la répression.
"C’est une ignominie", trancha à propos de cette insinuation le procureur lors du procès qui, en 1985, condamna à la réclusion à perpétuité aussi bien Videla que Massera.
Quant aux pères Yalics et Yorio, ils reconnurent l’un et l’autre, par la suite, la fausseté des accusations portées contre leur supérieur, avec lequel ils se réconcilièrent publiquement.
*
Celui qui était alors le provincial des jésuites était parvenu à faire croire aux généraux qu’il restait terré dans son Colegio Máximo de San Miguel, dans l’attente du retour au calme. Mais ce que le livre révèle pour la première fois va infiniment plus loin.
Nello Scavo, qui est l’auteur de cette enquête, est le chroniqueur judiciaire du quotidien "Avvenire". Ayant retrouvé les traces d’un grand nombre de rescapés et combiné les témoignages de ceux-ci à la manière d’un puzzle, il a découvert que Bergoglio avait organisé silencieusement un réseau clandestin qui parvint à sauver plusieurs dizaines, si ce n’est des centaines, de personnes qui étaient en danger de mort.
Dans les salons de la Casa Rosada, le général Videla élaborait ses plans sanguinaires. Mais, à quelques mètres de là, dans une petite rue qui s’enfonce dans le quartier de Monserrat, se trouvait l’église Saint-Ignace-de-Loyola, complétée par une résidence pour les jésuites et une école. C’est là que le provincial des jésuites donnait rendez-vous aux personnes recherchées, afin de leur donner ses dernières instructions avant de les faire monter clandestinement à bord de bateaux qui transportaient des fruits et des marchandises de Buenos Aires jusqu’à Montevideo, en Uruguay, à une heure de navigation. Jamais les militaires n’auraient pu imaginer que ce prêtre les défiait à une aussi faible distance.
La réussite de chacune de ces opérations était liée au secret qui existait également entre ceux qui les accomplissaient ou qui en bénéficiaient. Les gens qui entraient dans le réseau de protection organisé par Bergoglio ne connaissaient pas l’existence d’autres personnes qui se trouvaient dans la même situation qu’eux.
Des hommes et des femmes arrivaient au collège San Miguel et en partaient, apparemment en raison de leurs études, ou pour une retraite spirituelle, ou encore pour le discernement de leur vocation. En réalité il s’agissait de personnes qui étaient recherchées parce que "subversives". Le voyage destiné à les mettre à l’abri avait souvent pour but le Brésil, où existait d’autre part un réseau de protection du même genre, organisé par les jésuites locaux.
Mais c’est Bergoglio qui, seul, tirait toutes les ficelles. Le père Juan Manuel Scannone, un jésuite âgé qui est aujourd’hui le théologien le plus important d'Argentine et le plus apprécié par le pape actuel, était, lui aussi, à San Miguel à cette époque-là. Mais il ne s’est rendu compte de rien. Ce n’est que bien des années plus tard que lui et d’autres ont commencé à se confier et à comprendre : "Si l’un de nous avait été informé et si on l’avait enlevé et soumis à la torture, tout le réseau de protection aurait sauté. Le père Bergoglio était conscient de ce risque : voilà pourquoi il a fait en sorte que tout soit secret. Un secret qu’il a également maintenu par la suite, parce qu’il n’a jamais voulu se vanter de cette mission exceptionnelle qu’il avait accomplie".
La "liste" de Bergoglio est un ensemble d’histoires personnelles très différentes les unes des autres, qui constituent une lecture passionnante et dont le point commun est qu’elles se sont bien terminées grâce à lui.
Il y a Alicia Oliveira, la première femme à être devenue juge pénal en Argentine mais aussi la première à avoir été licenciée après le coup d’état militaire, non catholique et pas même baptisée, entrée dans la clandestinité. Bergoglio la transportait, dans le coffre de sa voiture, jusqu’à l’intérieur du collège San Miguel, pour qu’elle puisse y retrouver ses trois enfants.
Il y a les trois séminaristes de l’évêque de La Rioja, Enrique Angelelli, assassiné en 1976 par les militaires dans un accident de la route simulé, après qu’il eut découvert les véritables responsables de nombreux assassinats.
Il y a Alfredo Somoza, le lettré qui a été sauvé à son insu.
Il y a Sergio et Ana Gobulin, qui se dévouaient dans les bidonvilles et qui avaient été mariés par le père Bergoglio. Lui avait été arrêté, elle était recherchée, ils ont été sauvés tous les deux et conduits hors d’Argentine avec l’aide d’un autre héros de cette histoire, Enrico Calamai, qui était à cette époque-là vice-consul d’Italie en Argentine.
Comme Pape, mais avant cela comme homme, François ne cesse pas de surprendre.
__________
Le livre, en vente à partir du 3 octobre :
Nello Scavo, "La lista di Bergoglio. I salvati da Francesco durante la dittatura", préface d’Adolfo Pérez Esquivel, Editrice Missionaria Italiana, Bologne, 2013, 192 pages, 11,90 euros.
18:46 Publié dans Livres, Politique, Religion | Tags : livres | Lien permanent | Commentaires (0)
01/10/2013
Travailler le dimanche en bons esclaves du consumérisme
Lu sur Pro Liturgia (page "actualité").
28/9/2013 : Une décision de justice oblige les magasins Leroy Merlin et Castorama d’Ile-de-France à fermer le dimanche.
Des dizaines d’employés Leroy Merlin, rassemblés au sein du collectif des "Bricoleurs du Dimanche" ont manifesté vendredi devant les préfectures pour défendre le droit à travailler le dimanche. Donc le droit d'être les esclaves de la société de consommation.
Rappelons que dans les départements de Moselle, du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, les magasins sont fermés le dimanche. Or, à ce qu’on sait, dans ces régions d’Alsace et de Lorraine, on ne vit pas moins bien qu’ailleurs. Peut-être y vit-on même mieux dans la mesure où l'on a du temps à consacrer au repos, à la détente en famille... et à Dieu.
20:26 Publié dans Politique, Religion, Santé publique | Lien permanent | Commentaires (0)