Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14/12/2016

Le FBI ouvre une enquête criminelle contre 'Planned Parenthood'

En cause : la vente illégale de tissus issus de foetus humains avortés. Le président du Comité Judiciaire du Sénat, le sénateur Chuck Grassley, a annoncé le renvoi de plusieurs sociétés affiliées à Planned Parenthood et des sociétés impliquées dans les ventes de tissus fœtaux, ainsi que la Fédération du Planning Familial des Etats-Unis, au FBI et au ministère de la Justice pour des poursuites éventuelles.

> Lire la suite

 

> Senate committee refers Planned Parenthood to FBI for criminal investigation

 

30/09/2015

10ème vidéo du CMP: Planned Parenthood reçoit 60 dollars par échantillon humain

 

 

Le 15 septembre 2015 - LifesiteNews met en ligne la 10e vidéo sur les trafics d’organes de bébés avortés par le Planning familial américain.

Sur celle-ci on voit notamment le Dr Carolyn Westhoff, conseillère en chef de la Fédération américaine du Planning familial, dire qu’elle peut extraire une grande variété de tissus et d’organes de bébés avortés : « Nous venons de travailler avec des gens qui veulent des tissus particuliers, comme, vous savez, cardiaques, ou ils veulent des yeux, ou ils veulent des neurones… oh mon Dieu, des gonades… Tout ce que nous fournissons est frais ! »

Deborah VanDerhei, directrice du Consortium des fournisseurs d’avortements du Planning familial (sic) dit : « Nous avons des collègues indépendants qui génèrent de beaux revenus en faisant cela. »

Cecile Richards, PDG du Planning familial, admet ouvertement qu’ils reçoivent « 60$ par échantillon de tissu », et que « les contrats avec StemExpress offrent des paiements par fœtus déterminés dans la clinique selon leur caractère utilisable ».

C’est complètement illégal ?

« Nous pensons que nous ne pouvons pas accepter d’être intimidés par des lois ridicules », répond Vanessa Russo, administratrice du Programme de conformité du Planning familial de Keystone en Pennsylvanie. « Une société qui veut donner de l’argent à notre organisation contre des tissus, je pense que c’est un échange valable. »

 

Source: Yves Daoudal

 

> Planned Parenthood caught: We make ‘fair amount’ selling ‘fresh’ baby eyes, gonads

> 10th Video Catches Planned Parenthood: We Sell “Fresh” Aborted Baby Eyes, Hearts and “Gonads”

 

Débat sur la 9ème vidéo du scandale Planned Parenthood avec Lila Rose

 

 

La 9ème vidéo du CMP (9 min 10 s):

 

La vidéo complète sans montage, également publiée par le CMP (24 min 57s):

 

9ème vidéo du CMP: une directrice médicale de Planned Parenthood discute de la vente de bébés avortés entiers

 

 

Le 'Center for Medical Progress' a publié sa 9ème vidéo dans la série de vidéos qui dénonce le commerce de bébés avortés et de morceaux de leurs corps par l'industrie de l'avortement Planned Parenthood.

 

Steven Ertelt | LifeNews | Sep 1, 2015   |   8:33AM    Washington, DC

The Center for Medical Progress released a new video this morning — the 9th in its series of videos catching the Planned Parenthood abortion business selling aborted babies and their body parts. This latest video catches a Planned Parenthood medical director discussing how the abortion company sells fully intact aborted babies — including one who “just fell out” of the womb.

The ninth video in the Planned Parenthood baby parts scandal focuses on Advanced Bioscience Resources, Inc. (ABR), the small and secretive company similar to StemExpress that has harvested and sold fetal body parts at Planned Parenthood clinics longer than any other entity.

The video features undercover conversations with Dr. Katharine Sheehan, the long-time medical director of Planned Parenthood of the Pacific Southwest until 2013; Perrin Larton, the Procurement Manager for ABR; and Cate Dyer, the CEO of rival fetal tissue procurement company StemExpress.

> Continue reading

 

07/09/2015

8ème vidéo du CMP: la CEO de StemExpress reconnaît que Planned Parenthood vend des corps entiers de bébés avortés

La 8ème vidéo du scandale Planned Parenthood Sells Baby Parts (PP SBP) montre un entretien filmé avec la CEO de StemExpress, Cate Dyer, au cours duquel celle-ci mentionne explicitement la vente de corps entiers de bébés avortés.

LOS ANGELES, 25 août 2015 (LifeSiteNews - Traduction: Espérance Nouvelle) - Planned Parenthood fournit "beaucoup" de corps de bébés avortés "intacts" aux chercheurs en biologie pour l'exploitation et l'expérimentation, a confirmé la CEO de StemExpress dans une nouvelle vidéo en caméra cachée publiée ce matin.

Au cours d'un déjeuner d'affaires enregistré le 22 mai, la CEO de Stem Express, Cate Dyer, dit aussi qu'elle pense que la vente de parties de corps de bébés avortés a été "profitable" pour l'industrie de l'avotement, ce qui indique, si l'information est avérée, que Planned Parenthood a commis un crime fédéral.

Dyer explique qu'une fois que StemExpress a les organes désirés, ils les expédient à des institutions académiques pour leur usage - ce que les académiques eux-mêmes ont certaines fois trouvé effrayant, surtout dans les cas de cadavres "intacts".

Comme dans la courte vidéo de prévisualisation publiée vendredi dernier, Dyer a plaisanté sur la nécessité d'avertir les techniciens de laboratoire lorsqu'un cadavre entier de bébé est expédié. "Si vous avez des spécimens intacts, ce que nous faisons beaucoup, parfois nous les réexpédions vers nos laboratoires dans leur entièreté", a-t-elle déclaré. "Prévenez le laboratoire que ça vient, pour éviter qu'ils ouvrent la boîte et" crient. "Leurs techniciens de laboratoire paniquent et font des crises de nerfs."

"Les laboratoires académiques ne peuvent pas travailler comme ça, ils en sont simplement incapables", dit Dyer. "C'est presque comme s'ils ne voulaient pas savoir d'où ça vient. Cela je le vois."

Elle dit qu'elle reçoit souvent des instructions de scientifiques qui font des expérimentations sur des bébés avortés, telles que "Nous avons besoin de membres, mais il ne doit pas y avoir de mains ne de pieds attachés".

"Et je pense, assez franchement, que c'est pour cela que les chercheurs finalement, certains d'entre eux, se dirigent vers d'autres activités."

L'industrie de la recherche biologique en général, et StemExpress en particulier, préfère recevoir les bébés aussi intacts que possible pour maximiser le nombre d'organes qu'elle peut utiliser dans ses recherches.

"L'approvisionnement pour nous... peut vraiment déraper, en fonction du service, et alors nos échantillons sont détruits", dit Dyer, "alors nous avons commencé à les rapporter" entiers, "pour qu'ils soient maniés par des experts de l'approvisionnement".

Ce système est préférable, dit-elle, à la réalisation des dissections par Planned Parenthood en interne, une pratique qu'un dirigeant de Planned Parenthood a qualifiée d'"amusante".

Cet arrangement est aussi bénéfique pour Planned Parenthood, comme l'ont reconnu ses dirigeant dans de précédentes vidéos, puisqu'ils sont souvent payés sur base du nombre d'organes récupérables.

Les propos de Dyer semblent contredire les affirmations de Cecile Richards selon lesquelles Planned Parenthood ne ferait pas de profits illégaux de la vente d'organes fœtaux.

"Pensez-vous que ces centres d'avortement, comme ceux qui ont brûlé, pensez-vous qu'ils font tout cela pour la recherche et que ce n'est pas profitable pour eux ?", demande Dyer à un moment donné. "Je ne vois pas cela, en tout cas. Je n'ai jamais vu cela."

Faire du profit de la vente de tissus fœtaux humains et un crime fédéral passible de peines allant jusqu'à 10 ans de prison ou 500 000 dollars d'amende.

 

Par Ben Johnson de LifeSiteNews - traduit par Espérance Nouvelle

 

La vidéo de l'entretien complet (2h 17min 43s):

 

Lire aussi:

> Full, Unedited 8th Video Confirms Planned Parenthood Sells Fully Intact Aborted Babies

> Planned Parenthood Baby Parts Buyer StemExpress Wants “Another 50 Livers/Week,” Financial Benefits for Abortion Clinics

 

20/08/2015

7ème vidéo sur le Planning familial américain: le coeur du bébé battait encore pendant le prélèvement des organes

La technicienne chargée de faire des prélèvements sur les femmes et de récupérer des organes sur des fœtus à des fins de recherche au Planning familial des Etats-Unis, Holly O’Donnell, fait de nouvelles révélations sur la 7e vidéo mise en ligne par le Center for Medical Progress. Le dernier film rapporte son témoignage sur un avortement d’un fœtus déjà très développé dont elle a vu le cœur battre au moment des prélèvements. Etait-il né vivant ? C’est ce que semble indiquer le témoignage de l’ex-employée de StemExpress, qui raconte que c’est cet événement qui lui a fait prendre la décision de quitter ce travail qui avait ainsi fini de la révulser.

 

 

C’est dans la clinique Planned Parenthood Alameda de Mar Monte à San José, Californie, que Holly a vécu cette expérience traumatisante. A la suite d’un avortement, sa collègue, Jessica, était venue la chercher pour « voir quelque chose d’assez cool ». Holly s’était trouvée confrontée avec ce qu’elle avait « jamais vu de plus proche d’un bébé entièrement développé ».

« Il avait un visage. Il n’était pas complètement déchiré. Il avait un nez très prononcé. Jessica avait un de ses instruments à la main. Elle tape sur le cœur et il commence à battre. Je regarde ce fœtus, et son cœur commence à battre. Je ne sais pas si cela fait qu’il est techniquement mort, ou en vie. » Holly est saisie, mais Jessica lui explique : « C’est vraiment un bon fœtus, on dirait que nous allons récupérer beaucoup de choses dessus. »

C’est alors que Jessica lui demande de récupérer le cerveau de l’enfant à l’aide de ciseaux, à travers son visage. « Je ne peux même pas décrire ce que cela fait. C’est à ce moment que j’ai su que je ne pouvais plus travailler pour cette société – même si c’était le moyen de guérir telle ou telle maladie. »

Au cours de cette même vidéo, le Dr Ben Van Handel, vice-président de Novogenix Laboratories, confirme que « parfois, après la procédure d’avortement, le cœur bat encore ».

Le Planning familial continue de soutenir de son côté que le prélèvement d’organes sur des bébés avortés est une « entreprise humanitaire » et qu’il n’est coupable de rien. La nouvelle vidéo ajoute pourtant des éléments de plus en plus accablants aux révélations des vidéos précédentes qui avaient montré que les procédures d’avortement sont adaptées afin de récupérer des fœtus intacts permettant de récupérer le plus grand nombre d’organes et de tissus et par conséquent les meilleurs tarifs auprès des sociétés de biotechnologie.

L’adaptation des procédures se fait finalement au détriment des femmes ; dans la vidéo, Perrin Larton, directrice de l’approvisionnement d’Advanced Bioscience Resources, raconte qu’elle a vu des femmes entrer dans la salle d’opération et en sortir au bout  de trois minutes.

Holly O’Donnell a rompu désormais avec ce monde. Elle raconte comment après les avortements, elle prenait souvent les petits corps dans les mains en se demandant quelle aurait pu être la vie de ces enfants. « J’ai le sentiment qu’on gâche des vies : c’est si triste que tant de gens les considèrent comme de simples “erreurs”… »

David Daleiden, responsable du tournage des vidéos clandestine dans les cliniques du Planning et de la mise en ligne de ces preuves et témoignages, évoque à l’occasion de cette nouvelle publication la « barbarie absolue de la pratique de l’avortement par le Planning familial » qui utilise parfois des bébés nés intacts et vivants. « Planned Parenthood est une organisation criminelle du haut en bas de son échelle, elle doit être immédiatement privée de tout argent public et poursuivie en raison de ses atrocités contre l’humanité », a-t-il déclaré.

 

Source: Jeanne Smits - La 7e vidéo du Planning familial est en ligne

Lire aussi: FC - Planning Familial/USA : une nouvelle vidéo-choc mise en ligne

14/08/2015

Une 6ème vidéo dans le scandale du Planning familial américain: le témoignage d'une ancienne employée de StemCell Inc.

 

Depuis le 14 juillet 2015, le Center for Medical Progress a publié 5 vidéos filmées en caméra cachée, qui dénoncent la réalité du trafic d'organes pratiqué par le Planning familial américain, "Planned Parenthood".

 

La sixième vidéo vient d’être publiée : c’est une interview avec une ancienne employée de StemCell Inc., chargée d’obtenir des échantillons sanguins sur les femmes qui avortent et des tissus fœtaux prélevés à la suite de l’intervention. Holly O’Donnell a quitté depuis cet emploi qui la mettait au contact des établissements du Planned Parenthood où elle était chargée de procurer les organes pour sa société. Elle devait théoriquement obtenir le consentement préalable des mères. Dans la pratique, Holly O’Donnell a pu constater que des organes étaient souvent prélevés sans que les femmes n’en sachent rien – « et elles n’avaient aucun moyen de savoir », précise-t-elle.

 

 

Une nouvelle ligne de défense du Planned Parenthood est en train de tomber avec ce témoignage : alors que les responsables des avortoirs affirment qu’ils demandent toujours le consentement des patients en vue de procurer des échantillons pour la recherche, voici une indication sérieuse selon laquelle ils ont menti. O’Donnell a travaillé pour StemCell et elle est formelle : « Non, on n’obtient pas le consentement à chaque fois. » Elle cite même le cas d’une femme qui avait expressément refusé et dont on a quand même pris le fœtus après l’avortement.

O’Donnell s’en est rendue compte en voyant une autre technicienne sortir de la chambre où la femme attendait son avortement avec des tubes de sang. « Qu’est-ce que tu lui as dit pour avoir ce sang ? », demanda Holly. Réponse : « Rien. »

Son témoignage, profondément choquant, ne s’accompagne pas comme les précédentes vidéos d’images choc d’avortements. Mais ses paroles sont glaçantes : elle explique comment le matin, les personnes représentant les sociétés, universités et autres institutions qui récupèrent les organes viennent exposer leurs demandes du jour : un fœtus de quinze semaines, tel organe en bon état… Une feuille de commande est réalisée et comparée avec les avortements programmées du jour : jusqu’à 40 par jour, dans les cliniques du Planning implantées dans des zones pauvres.

On voit ainsi des demandes de « cerveau intact ou en morceaux »… Et les travailleurs du Planning osent encore prétendre que ce qui est récupéré n’appartient pas à un être humain ?

Qu’il y ait donc « don » à chaque fois, comme le prétend le Planning, est bien douteux. L’idée est de récupérer le maximum de spécimens : « Même les tests de grossesse » sont considérés comme des sources potentielles, et Holly O’Donnell était réprimandée dès lors qu’elle ne poussait pas les femmes venues pour un avortement à passer à l’acte et à faire don des organes de leur enfant.

« Mais si on était en présence d’une gestation plus avancée, et que les techniciens en avaient besoin, il arrivait qu’ils se contentent de prendre ce qu’ils voulaient. Et ces mères ne le savent pas. Il n’y a aucun moyen pour qu’elles le sachent », explique l’ex-employée de StemCell.

Loin de se préoccuper du sort des femmes, les employées du Planning ne cherchent que le profit, accuse Holly O’Donnell.

Elle était chargée en fin de journée d’aller porter les colis avec les tissus et organes chez FedEx. Elle avoue ne jamais avoir su quoi dire lorsqu’on lui demandait ce qu’il y avait dans les boîtes qu’elle déposait. « Qu’est-ce que j’allais leur dire ? Des morceaux de bébés ? »

 

Source: Jeanne Smits - La 6e vidéo sur le trafic d’organes de bébés avortés

 

08/08/2015

Une 5ème vidéo dénonce le trafic d'organes par le Planning familial américain images à l'appui

La 5ème vidéo qui dénonce un trafic d'organes de bébés avortés par l'organisation Planned Parenthood a été publiée le 4 août 2015.

> 5th Shocking Video Catches Planned Parenthood Official Selling “Fully Intact” Aborted Babies

 

Mercredi 5 août 2015 - C’est peut-être la plus choquante des vidéos mises en ligne par le Center for Medical Progress, qui dénonce le trafic d’organes de fœtus avortés par la fédération américaine de Planning familial, sur la foi d’une enquête menée depuis 30 mois. La 5e vidéo montre des images insoutenables tournées lors de la présentation d’un fœtus de 20 semaines tandis que la directrice de la recherche du Planned Parenthood de Gulf Coast (les Etats riverains du Golfe du Mexique), Melissa Farrell, explique que les avorteurs sont parfois à même de livrer des corps « intacts » aux acheteurs pour le prélèvement d’organes et pour l’expérimentation. On y voit des images extrêmement troublantes de bras et de jambes parfaitement identifiables.

 

 

Melissa Farrell précise aux « acheteurs » – qui se présentent comme intermédiaires pour la récupération d’organes de fœtus avortés recherchés par l’industrie de la biotechnologie humaine – que les procédures d’avortement peuvent être modifiées afin de procurer des organes intacts, voire pour obtenir un corps de bébé intact.
« Ils peuvent s’organiser pour que cela se fasse. Nous tricotons cela dans le contrat, et dans notre protocole… nous nous écartons de nos normes habituelles afin de l’obtenir. (…) Certains parmi nos médecins le font de manière à obtenir les meilleurs spécimens, je sais donc que cela peut se faire. »
Lors d’un déjeuner avec l’équipe d’enquêteurs clandestins, Farrell explique que les sommes payées pour les organes et tissus de fœtus permettent d’obtenir une belle « diversification du flux de revenus » pour Planned Parenthood Gulf Coast. C’est un propos important, qui est même au cœur de cette affaire. Car s’il s’agit de l’aveu du fait que la fourniture d’organes prélevés sur des fœtus humains avortés procure un profit au Planning familial, cela donnerait plus de poids aux soupçons de trafic. Et indiquerait que Planned Parenthood se livre à des activités illégales : si la fourniture d’organes ne contrevient pas en soi à la loi fédérale, la vente, elle, est sévèrement punie.
Melissa Farrell propose dans la vidéo de facturer les organes à l’unité, en faisant varier les prix en fonction de leur qualité qui correspondrait à la nécessité pour les avorteurs de travailler de manière plus précautionneuse : « Si nous modifions notre procédure, et que nous parvenons à obtenir des cadavres fœtaux intacts, nous pouvons intégrer dans le budget » la couverture des « dissections » afin de détailler les spécimens pour des livraisons distinctes », l’entend-on dire.
Pour David Daleiden, qui est à l’origine du projet CMP, la preuve est désormais faite que le Planning familial recherche bien un profit à travers ces opérations. « Nous en sommes au cinquième responsable du Planned Parenthood qui évoque des paiements d’organes prélevés sur des bébés avortés sans faire le moindre lien avec les coûts réels de la “donation d’organes”. La conspiration étendue du Planning en vue de contourner la loi et gagner de l’argent au moyen de tissus de fœtus avortés est désormais incontestable », a-t-il déclaré.
Les dernières minutes de cette séquence d’un quart d’heure montrent comment une employée du Planning de Houston, Texas, sort d’un réfrigérateur une grande coupelle contenant les restes d’un bébé avorté à 20 semaines.

« C’était un jumeau », précise la jeune employée pendant qu’un technicien trie dans les restes pour récupérer un poumon. On voit clairement des mains et des pieds. Les employés expliquent ensuite qu’on arrive à trouver des organes « vraiment intacts », qui « sortent vraiment, vraiment bien », surtout sur les spécimens de « 20, 22 semaines ».

 

Source: Jeanne Smits - Le Planning familial américain face aux images insoutenables

 

07/08/2015

La vente d'organes par le Planning familial américain dénoncée dans une 4ème vidéo compromettante

 

 

La 4ème vidéo dénonçant un trafic d'organes par le Planning familial américain "Planned Parenthood" a été publiée par le Center for Medical Progress le 30 juillet 2015.

> 4th Video Catches Planned Parenthood VP Discussing How to Break the Law to Sell Aborted Babies

Dimanche 2 août 2015 - Au cours de la discussion qui met en scène l’acteur qui prétend acheter des organes pour un laboratoire de biotechnologie humaine et le Dr Savita Ginde, vice-présidente et directrice médicale du Planned Parenthood des Rocky Mountains, celle-ci suggère que l’objectif de l’« approvisionnement » apparaisse comme relevant de la recherche, et non l’utilisation commerciale, dans la mesure où cela apparaît comme plus « acceptable » dans la sphère publique.
Elle propose alors d’« uniformiser » le discours des différents Plannings qui se livrent à ce type d’approvisionnement et insiste pour qu’ils s’accordent à la fois sur le discours public à tenir et sur la tarification, qui aura pour motif le temps passé et le coût des opérations de prélèvement. Il est important, souligne-t-elle, que cela apparaisse comme un défraiement, et l’« acheteur » approuve, ajoutant que l’approvisionneur doit être « heureux » des tarifs proposés afin que chacun s’y retrouve.
La discussion porte également sur la qualité des organes et tissus fournis qui doivent faire l’objet d’un contrôle visuel préalable avant d’être transmis de manière à assurer leur utilité.
Les images, violentes, s’achèvent sur ces mots du laborantin qui examine froidement le cœur, les reins, les petites jambes, évidemment humaines, dont il fait le tri : « C’est encore un garçon ! »
Tout cela est si macabre et si révoltant que Planned Parenthood multiplie les lignes de défense. Avec le soutien de la Maison Blanche…
Lors d’une conférence de presse, jeudi, l’attaché de presse Josh Earnest a déclaré que les quatre vidéos mise en ligne par le Center for Medical Progress étaient « totalement inexactes ». Interrogé par un journaliste de Breitbart sur ses sources, Earnest a reconnu qu’il ne faisait « que répéter ce qu’avait dit le Planning familial », et que personne à la Maison Blanche ne les avait regardées. Surtout pas Obama. Il n’en a pas moins dénoncé les vidéos comme éléments d’une « tactique extrémiste », accusant le CMP d’avoir « tordu » le sens des propos tenus par un habile montage.
L’accusation ne tient pas une seconde, puisque l’ensemble des vidéos montées ont été mises en ligne en même temps que les rushes complets, permettant à chacun de constater que leur sens n’a pas été modifié.
Deux procédures judiciaires ont été engagées contre le CMP.
La Cour supérieure de la Californie a émis mercredi une ordonnance empêchant temporairement le CMP de mettre en ligne des vidéos montrant trois membres de la direction de StemExpress, acheteur d’organes de fœtus avortés auprès du Planning des Etats-Unis, en attendant un examen sur le fond, le 19 août.
Il faut savoir que le Planning ne nie pas le transfert d’organes vers ce type d’entreprise de biotechnologie, parfaitement légal, mais il affirme qu’il ne reçoit aucun paiement hormis la couverture des coûts du prélèvement, de la conservation et de la remise des organes fœtaux, ce qui tomberait sous le coup de la loi. C’est ce que suggèrent cependant les vidéos dont l’authenticité n’est pas niée et où l’on retire cette impression des propos mêmes des employés du Planned Parenthood tels que les vidéos permettent de les entendre.
David Daleiden a réagi en soulignant que l’ordonnance n’allait pas empêcher que l’affaire ne continue d’éclore, étant donné qu’elle vise seulement les images où les employés de StemExpress sont visibles et s’expriment – alors même que la société demandait la suppression de l’ensemble des vidéos.
Daleiden a ajouté dans une interview à CNN que la demande de StemExpress semble indiquer que cette société veut éviter à tout prix la mise en ligne d’une vidéo montrant qu’il y a des cas de récupération d’organes sur des enfants nés vivants à la suite d’un avortement raté.
« Lors d’une réunion avec les chefs de la direction, ceux-ci ont avoué qu’il leur arrive d’obtenir des fœtus intacts de la part des cliniques d’avortement avec lesquelles ils travaillent, ce qui pourrait constituer un élément de preuve de (l’utilisation) de bébés nés vivants. Et c’est pour cela qu’ils essaient de faire empêcher la publication de ces vidéos ; ils en ont très peur », a-t-il expliqué.
Dans la deuxième affaire, un juge fédéral de Californie a rendu une ordonnance, vendredi, à la demande du National Abortion Federation des Etats-Unis, pour empêcher la mise en ligne de vidéos mettant en scène des employés ou des responsables du syndicat national professionnel des avorteurs.

Le juge de district William H. Orrick de San Francisco a dit prendre cette décision en attendant de juger l’affaire au fond, lundi, au motif qu’en son absence, « la NAF risquerait de souffrir de dommages irréparables, sous forme de harcèlement, d’intimidation, de violence, de violation de la vie privée, d’atteinte à la réputation », ajoutant que sa décision a été prise « dans l’intérêt du public ».

 

Source: Jeanne Smits - Vidéos du trafic d’organes fœtaux  : 4e publication

 

La vidéo de l'entretien complet (2h 40min 53s)

 

Trafic d'organes: une 3ème vidéo à charge contre le Planning familial américain et 10 enquêtes en cours

 

14 juillet 2015 : après 30 mois d'infiltration, The Center for Medical Progress publie une première vidéo filmée le 25 juillet 2014 accusant le Planning familial américain ("Planned Parenthood", qui gère des avortoirs) de vendre des organes de bébés avortés et de pratiquer, dans certains cas, des avortements par naissance partielle pour s'assurer de récupérer ces organes intacts.

> La 1ère vidéo, publiée le 14 juillet 2015

17 juillet 2015 : la commission des affaires énergétiques et commerciales de la Chambre des représentants convoque la directrice générale des services médicaux du Planning familial, mise en cause dans la vidéo. L'organisation refuse que ce soit ce médecin qui soit auditionné et affirme rester dans le cadre de la loi, qui autorise le don d'organes de foetus pour la recherche médicale, et non leur vente. Les prix indiqués ne correspondraient qu'au dédommagement des frais médicaux et de transports.

21 juillet 2015 : deuxième vidéo, dans laquelle une responsable du Planning familial américain négocie le prix d'organes de bébés avortés.

> La 2ème vidéo, publiée le 21 juillet 2015

En l'espace de deux semaines, des membres du Congrès ainsi que neuf Etats américains annoncent avoir lancé une enquête visant l'organisation.

28 juillet 2015 : troisième vidéo. On y voit la tarification pratiquée par une société servant d'intermédiaire entre une branche régionale du Planning familial et le monde de la recherche. Le prospectus d'une société concurrente vante quant à lui les "profits" que feront les avortoirs s'ils lui fournissent des organes. Ce que confirme une jeune femme, employée six mois dans cette entreprise. Elle décrit ce que fut son travail : identifier les femmes enceintes, hospitalisées dans un avortoir du Planning familial, qui répondaient aux critères pour les commandes et récolter les organes de foetus après leur avortement.

Une autre séquence montre la vice-présidente du Planning familial des Montagnes rocheuses superviser la dissection d'un foetus et donner sa préférence pour un paiement par organe.

 

La 3ème vidéo sur le trafic d'organes par le Planning familial américain en anglais:

 

Source: Le Planning familial américain accusé par une 3ème vidéo