Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/07/2014

Une authentique éducation affective et sexuelle, un devoir pour tous les parents

S’il te plaît parle-moi de l’amour – L'éducation affective et sexuelle de l'enfant de 3 à 12 ans

Inès Pélissié du Rausas

Préface de Xavier Lacroix

Edition Saint Paul, mai 2005

Livre-In%C3%A8s-Pellissi%C3%A9.jpgComment parler de sexualité à nos enfants ? Faut-il tout dire de l’acte sexuel, schémas à l’appui, au risque d’utiliser un vocabulaire trop technique ?

Comment, dans notre vie de famille, avoir un discours éducatif cohérent avec nos actes ? Comment assumer nos rôles respectifs de père et de mère en trouvant un langage approprié à chaque âge ?

Surinformés par l’école et les médias sur le sexe, de plus en plus de jeunes se sentent trompés. Ils attendent qu’on leur parle d’amour. Voulons-nous pour nos enfants le sexe « sans risque » ou bien l’amour vrai, qui engage deux personnes l’une envers l’autre ?

Beaucoup plus que d’une information scientifique sur la sexualité, c’est d’une éducation à l’amour dont l’enfant a besoin, qui tienne compte de sa psychologie et de l’expérience de son corps. Nous les parents, sommes les mieux placés pour la dispenser. Osons nous réapproprier cette mission : le bonheur de nos enfants est en jeu ! Qui d’autre leur parlera de l’amour, qui leur proposera une culture de vie ?

> S'il te plaît, parle-moi d'amour !

 

Sil-te-plait-Maman-346x260.jpgS’il te plaît, Maman, parle-moi de l’amour

Inès Pélissié du Rausas

Edition Saint Paul, juillet 2013

Que dire à ma fille pré-adolescente de 9 à 13 ans?

> S'il te plaît, Maman, parle-moi de l'amour

 

 

 

Papa, s’il te plaît, c’est beau, l’amour?

Inès Pélissié du Rausas

Que dire à mon fils préadolescent ?

Livre-Ines-p%C3%A8re-192x260.jpgCe livre est à destination des pères. L’auteur interpelle les papas à venir dialoguer avec leur fils, et ce, assez tôt (de 9 à 14 ans) sur la puberté masculine, la transformation du corps à l’heure de l’adolescence, sur l’identité masculine, la fécondité masculine, etc. Souvent silencieux et démuni, le père se décharge de ce rôle auprès de la mère ; devant les sollicitations et la place d’Internet dans les loisirs des enfants, la « confusion des genres » prônée dans les médias… toutes les questions de l’enfant sont ici évoquées dans un entretien d’homme à homme. C’est l’heure de responsabiliser les pères, de leur redonner leur place d’éducateur, au cœur de leur famille.

Courageux, le père n’évacue aucune impasse, conduit l’enfant à se construire dans une vision saine de la sexualité ; au cœur d’une société moderne.

Un parcours pédagogique réactualisé, truffé de témoignages. Sans vulgarité, toutes les questions sont abordées.

> Papa, s'il te plaît, c'est beau, l'amour ?

 

13/07/2014

La nécessité du jeu dans l'éducation chrétienne

Don Bosco a toujours souhaité que ses éducateurs considèrent chaque jeune dans toutes ses dimensions. Parmi elles, le loisir et le jeu tiennent une place essentielle, d’où l’importance de la cour dans sa maison du Valdocco, à Turin.

la cour de récréationSaint Jean Bosco donna à ses jeunes la passion du travail intellectuel et manuel, le goût pour les actes religieux et la foi, mais sans mésestimer le temps des loisirs. En effet, en tant qu’éducateur de jeunes, Don Bosco ne pouvait manquer de s’intéresser à leurs loisirs, en tenant compte de l’expérience de sa propre jeunesse. Une de ses intuitions était d’ailleurs que le loisir est un temps privilégié pour la construction de la personnalité.

Quand Jean Bosco insiste sur l’importance des loisirs et des jeux, il met aussi l’accent sur la liberté qui doit, selon lui, être laissée aux jeunes : « Qu’on donne ample liberté de sauter, de courir, de crier à cœur joie. La gymnastique, la musique, la déclamation, le théâtre, les sorties, favorisent puissamment la discipline et la bonne santé, soit physique, soit morale ».

En effet, si Don Bosco avait l’expérience du jeu, il en connaissait aussi la valeur pédagogique. C’est pourquoi il accordait la première place au jeu collectif. Mais il a étendu cette notion de détente éducative à toutes les formes de loisirs : le sport bien sûr, mais sans jamais oublier la musique et le théâtre, qu’il a toujours privilégiés.

Du côté du sport, Saint Jean Bosco accordait une grande importance aux grandes promenades à pied. Celle avec 300 détenus de la prison de Turin reste historique ; mais n’oublions pas les promenades d’automne avec ses pensionnaires. Ces promenades constituaient pour lui une merveilleuse forme de détente, ainsi qu’une occasion de provoquer la confiance. Il se montre d’ailleurs un guide fort intéressant, qui avait soin de renseigner les jeunes, sans jamais les lasser, tant son art de conteur était grand. Et sur la cour du Valdocco, se déroulaient des parties mémorables où les salésiens et les éducateurs se mêlaient aux jeunes.

La musique fut une autre passion de Jean Bosco, en même temps qu’un autre moyen d’éducation. Comme tout bon Italien, il a toujours aimé le chant, mais il fit figure de précurseur quand il lança autour de 1845 ses classes de chant populaire. A cette fin, il inaugura une méthode collective, et réussit à créer une chorale, dont les prestations étaient appréciées. La musique instrumentale est également une des caractéristiques des maisons salésiennes. La fanfare était d’ailleurs l’orgueil du Valdocco.
Dans le domaine purement artistique, le théâtre constitue un autre élément important des loisirs de l’Oratoire de Turin. Saint Jean Bosco lui assignait trois buts : distraire, instruire et éduquer.

Source: Salésiens de Don Bosco