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30/10/2013

Sentinelles, aux fondements de la société

Par une étudiante en lettres.

 

Qui n’a pas été frappé par la beauté de l’eau ? Mais quelle n’est pourtant pas sa force destructrice quand elle outrepasse ses limites naturelles… Il en va de même pour l’humanité. C’est pour cette raison que des instances ont été créées afin de protéger l’homme contre ses mauvais penchants et promouvoir les valeurs qui sont fondamentales pour la survie du genre humain et de toute civilisation. Mais cela ne suffit pas pour que nous soyons définitivement hors de danger. La preuve en est que de tout temps des gens ont dû protester pour réveiller les consciences. Les Veilleurs Debout (appelés « Sentinelles » en France et dans plusieurs autres pays) en sont une expression récente.

Des Sentinelles…

D’ailleurs que font-elles ces Sentinelles ? Protester ? Sans doute, oui. Mais il ne faut pas tomber dans le piège de limiter à cette seule facette le mouvement. Bien plus qu’une protestation, il s’agit d’une affirmation de l’importance que nous conférons aux valeurs que nous défendons debout. En fait, le Parlement devrait, en nous représentant, agir comme si nous étions toujours debout. Or comme tout le monde a beaucoup d’autres choses à faire, nous partons du principe que nos parlementaires n’ont pas besoin de notre soutien physique pour bien nous représenter. Mais quand le gouvernement tend à oublier ces valeurs fondatrices, il faut que nous nous organisions pour rappeler à l’ordre nos députés. Notre présence debout est donc cette réaffirmation, cette reconnaissance des valeurs et peut ainsi être interprétée comme une protestation contre les dérives qui suivraient.

Mais même si l’histoire démontre que régulièrement une phase de flou dans les valeurs survient, il ne faut pas se laisser aller au fatalisme, mais poser un regard critique sur notre implication. Qu’avons-nous fait pour que ces valeurs soient inscrites dans le cœur de la société ?

… de l’invisible

Tout admirable que soit le mouvement des Sentinelles, il faut bien concéder qu’il faut le pérenniser sans être tous les soirs debout en ville. En fait, il faudrait inclure cette affirmation de nos valeurs dans notre vie quotidienne selon l’appel que Jean-Paul II a lancé comme mission pour le début du nouveau millénaire. Même si l’appellation et la mission de « Sentinelles de l’Invisible » était avant tout confiée à la femme, il ne faut pas s’y méprendre : cela ne regarde pas qu’elles. C’est un travail d’équipe (qu’on parle de la transmission en société ou au sein d’une famille) ! L’homme incarne (ou du moins devrait incarner) l’autorité et par là toute la structure sociale. Mais une autorité sans valeurs est comme une structure sans fondement : elle devient arbitraire et par là peut être considérée comme malléable, voire accessoire (cf. ce que nous vivons actuellement). Mais des valeurs sans structures sont comme de belles idées qui n’ont pas de place concrète pour se développer. Les valeurs et les structures vont ensemble : elles sont complémentaires. Il faut donc que nous nous sentions tous concernés par l’urgence de notre mission : qui que nous soyons, où que nous soyons, avec les moyens dont nous disposons nous devons aider à redonner un sens à notre société !

Rosaire pour la vie ce samedi 2 novembre à Bruxelles

Nous relayons avec beaucoup d'enthousiasme l'invitation à prier ensemble, ce samedi 2 novembre, un rosaire pour la défense de la Vie.
Où?: Eglise Saint-Jacques sur Coudenberg
        Place Royale (Bxl)
Quand? 2 novembre à 16h30
N'hésitez pas à transférer l'info!!
 

 

Beste vrienden,
Graag sturen we de uitnodiging door om samen een rozenkrans te bidden voor de bescherming van het menselijk Leven.
Place to be: Sint-Jakob op Coudenberg
                    Koningsplein (Brussel) (Bij Centraal Station)
Wanneer? 2 november om 16u30
Aarzel niet om de uitnodiging door te sturen
Tot dan!

 

 

29/10/2013

Euthanasie des mineurs: ne pas forcer l'agenda!

Lu sur le site de La Libre Belgique.

52678dd935703b126534b017.jpgSciences - Santé M. Dupuis appelle à la prudence dans le débat politique en cours.

Certaines questions restent en suspens à propos de la mise en oeuvre de la loi de 2002 qui dépénalise l'euthanasie. Il convient de les examiner et de ne pas forcer l'agenda du débat sur l'euthanasie des mineurs, estime le philosophe et vice-président du comité consultatif de bio-éthique, Michel Dupuis. "Depuis l'installation de cette loi, depuis une dizaine d'années, nous ne disposons pas d'une information bien claire sur la façon dont cette loi est mise en pratique", a expliqué le professeur d'éthique bio-médicale de l'UCL qui s'exprimait à titre personnel sur les ondes de "La Première".

Parmi les éléments qui interpellent le professeur, figure la grande différence entre le nombre d'euthanasies (un rapport d'environ 80 pc-20 pc) pratiquées du côté néerlandophone et francophone du pays. A ce jour, il n'y a pas d'explication, a-t-il relevé.

"Ca m'importe beaucoup, avant de décider de modifier la loi, de voir comment elle est réellement appliquée. Je crois que nous aurions quelques surprises à étudier mieux les situations."

M. Dupuis appelle donc à la prudence dans le débat politique en cours. Depuis quelques mois, une commission du Sénat se penche sur plusieurs aspects de l'euthanasie. Elle en est au stade de l'examen d'une proposition de loi des socialistes et des libéraux qui étend la possibilité d'une euthanasie aux mineurs.

"L'agenda politique, qui a raison de s'occuper de ce problème de société qu'est l'euthanasie, force l'agenda du dossier euthanasie à entrer dans des moules et, finalement, ça n'est pas une bonne chose. J'ai d'ailleurs le sentiment que les choses patinent au niveau du débat politique parce que beaucoup d'informations ne sont pas disponibles", a-t-il souligné.

28/10/2013

Euthanasie: à Bruxelles, des Veilleurs debout font barrage à la barbarie

Mise à jour concernant la discipline des participants à cette action pacifique.

Citoyens, élus, législateurs, présidents de partis, sénateurs: ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas ce qui se passait dans les hôpitaux et centres de "soins".

Les discussions concernant l'élargissement de la loi sur l'euthanasie en Belgique ont repris au Sénat le mercredi 9 octobre 2013.

En signe de protestation face aux projets de loi visant à élargir cette pratique aux mineurs et aux personnes démentes, les Veilleurs debout se posteront devant le Sénat belge (Place de la Nation 1, 1000 Bruxelles - en face du Parc royal, rue de la Loi):

- mardi 29 octobre 2013 à 18h30

- dimanche 3 novembre 2013 à 16h

- mardi 5 novembre 2013 à 18h30

- dimanche 10 novembre 2013 à 16h

ATTENTION

Ce n'est pas une manifestation! Les manifestations doivent obtenir un accord préalable de la police.

Nous respecterons la norme légale d'une distance minimale de 3 mètres entre chaque veilleur debout. Ainsi, nous agirons en toute légalité en évitant l'effet de rassemblement.

Merci de respecter la distance et le silence pendant toute la durée de la protestation (sauf pour parler individuellement avec les passants qui souhaitent être informés sur les projets de loi et sur la pratique de l'euthanasie dans notre pays). Si vous souhaitez discuter par après avec d'autres veilleurs debout, veuillez quitter les lieux le plus rapidement possible. Tout attroupement devant le Sénat est à proscrire absolument.

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Voir aussi:

Extension de l’euthanasie débattue en Belgique : les citoyens veillent devant le Sénat

L'euthanasie va toujours plus loin: des Veilleurs debout disent STOP à Bruxelles

www.euthanasiestop.be      et     www.leuthanasiejusquou.com


 


24/10/2013

Le Téléthon en question

Par Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron.

telethon-2.jpgA l’approche de la 27ème édition du Téléthon, qui aura lieu le week-end des 6 et 7 décembre 2013, quelques diocésains ont souhaité connaitre ma position et celle de l’Eglise catholique à propos de cet événement dans lequel certains d’entre eux sont parfois impliqués.


Je tiens avant toute chose à saluer le dévouement des bénévoles engagés dans la préparation du téléthon et bien entendu, la grande générosité des Français qui par solidarité vis-à-vis des personnes atteintes de myopathie et leurs familles, participent chaque année à cette formidable campagne médiatique de collecte de fonds au profit de la recherche médicale et de la lutte contre les maladies génétiques.

Au cours des dernières années, l’Eglise catholique n’a cependant pas manqué d’exprimer, par la voix de plusieurs évêques ou de ses responsables, ses réserves et ses inquiétudes à propos du téléthon. C’est ainsi que le cardinal Ricard, alors président de la conférence des évêques de France, considérait dès le mois de décembre 2006, qu’il était « légitime qu’à l’occasion du téléthon, beaucoup de catholiques s’interrogent sur l’affectation de leurs dons », ou que le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, estimait il y a quelques années, qu’on ne saurait « signer des chèques en blanc » en faveur du téléthon. De même, un communiqué de presse du 2 décembre 2011 disponible sur le site du diocèse de Paris souligne qu’il est nécessaire de « s’engager résolument pour des recherches qui respectent pleinement la vie humaine ».

Nul ne peut en effet ignorer que les orientations et les choix de l’Association Française contre les Myopathies (AFM), qui est à l’origine du téléthon et qui l’organise chaque année, ne font pas l’unanimité et soulèvent de graves problèmes d’ordre éthique.

Première difficulté : certaines recherches financées par le Téléthon concernent l’utilisation de cellules souches embryonnaires qui se traduit nécessairement par la destruction d’embryons humains (1).

D’un point de vue strictement médical, l’utilisation de cellules souches embryonnaires est d’autant plus discutable que leur efficacité thérapeutique n’a jamais été démontrée, contrairement aux espoirs que font naître l’utilisation de cellules souches issues du sang de cordon ombilical, ou depuis deux ans, le recours aux cellules pluripotentes induites (dites cellules iPS) issues de la reprogrammation de cellules souches adultes (2).

Mais quoi qu’il en soit, la destruction d’embryons humains est éthiquement inacceptable. Certes, la loi française autorise aujourd’hui l’expérimentation sur les embryons humains, mais faut-il rappeler que le « légal » n’est pas nécessairement « moral » ? Pour sa part, l’Eglise catholique défend, comme elle l’a toujours fait, le respect de la vie humaine de la conception jusqu’à la mort naturelle, en insistant particulièrement sur le fait que l’embryon humain doit être considéré comme une personne humaine.

Seconde difficulté : le Téléthon revendique la mise en œuvre de pratiques d’inspiration eugéniste :

Le diagnostic prénatal est utilisé pour repérer les fœtus atteints de myopathie qu’une « interruption médicale de grossesse » permet ensuite d’éliminer. Dans le même esprit, la technique du « diagnostic pré-implantatoire » consiste à sélectionner puis à supprimer tous les embryons conçus in vitro porteurs de la myopathie. Ainsi, et comme le soulignait dès 2006 le spécialiste en éthique médicale qu’est Mgr Michel Aupetit, aujourd’hui évêque auxiliaire de Paris, dans une note publiée sur le site internet du diocèse de Paris, « les "bébéthons" qui sont présentés comme un grand succès thérapeutique ne sont pas le fruit d’une guérison due à la recherche sur le génome, comme on aurait pu l’espérer, mais le fruit d’une sélection embryonnaire. On pratique une fécondation in vitro de plusieurs embryons et on sélectionne l’embryon sain en éliminant les autres. Ce n’est donc pas un bébé "guéri" mais un bébé "survivant" ».

Troisième et dernière difficulté : les responsables du téléthon refusent obstinément la mise en place d’un système de fléchage des dons qui permettrait à de nombreux donateurs d’affecter leurs dons aux recherches de leur choix, en évitant de contribuer au financement de programmes impliquant l’utilisation et la destruction d’embryons.

Ce fléchage des dons et la transparence financière qui en découlerait sont pourtant réclamés depuis plusieurs années par un certain nombre de personnalités et d’associations ainsi que par plusieurs diocèses. Telles sont les considérations qu’après avoir consulté l’Académie diocésaine pour la Vie et les experts qui travaillent en lien avec elle, je souhaite porter à la connaissance des fidèles du diocèse.

Si l’Eglise est pleinement dans son rôle lorsqu’elle s’efforce d’éclairer ou d’alerter les consciences vis-à-vis de certaines dérives contraires au respect de la vie et de la dignité de la personne humaine, je ne peux pour ma part qu’inviter les personnes qui s’interrogent sur l’opportunité de soutenir ou non le téléthon, à faire preuve, en la matière, d’une grande prudence et d’un authentique discernement moral et spirituel.

+ Marc Aillet le 23 octobre 2013

1) L’AFM souligne que le financement de recherches entrainant la destruction d’embryons ne dépasse pas un ou deux millions d’euros par an (soit moins de 2% du total des fonds collectés par le téléthon) ; ces programmes n’en sont pas pour autant plus légitimes...

2) C’est pour cette découverte d’un intérêt scientifique considérable que le japonais Yamanaka a reçu, en 2012, le prix Nobel de médecine.

Source: site officiel du diocèse de Bayonne.

18/10/2013

Le doyen de l’humanité : un paysan bolivien

Son âge est estimé à plus de 123 ans. Il est encore en forme… et heureux avec ça !

Cet homme est à bien des égards un attendrissant exemple pour l’humanité : piété, simplicité, pauvreté, humilité, confiance en Dieu, mode de vie traditionnel, travail manuel en contact permanent avec la nature,…

L’homme le plus vieux du monde

Samedi 31 août 2013.

Frasquia, Bolivie.

Cet homme pourrait-il être le plus vieux encore en vie ?

Il affirme avoir plus de 123 ans.

Carmelo Flores Laura est encore en pleine forme.

La question de savoir s’il détient réellement le record est toujours en débat, puisque la Bolivie n’avait pas de certificat de naissance officiel jusqu’en 1940, 50 ans après l’année de naissance déclarée de Carmelo !

Carmel Flores Laura, 123 ans (Aymara) :

« Je ne sais pas combien de temps je vais vivre. Je ne sais pas. Dieu seul le sait. Il décidera combien de temps je vivrai. Il me dira si je mourrai ou si je continuerai à vivre. Lui seul décide. »

Une chose est certaine : pour son prochain anniversaire, sa famille aura besoin d’un certain nombre de bougies et d’un bon gros gâteau pour les mettre dessus !

17/10/2013

Extension de l’euthanasie débattue en Belgique : les citoyens veillent devant le Sénat

En matière de législation sur l’euthanasie, le monde entier a les yeux rivés sur la Belgique, l’un des seuls pays avec les Pays-Bas et le Luxembourg à avoir dépénalisé cette pratique.

La dépénalisation « encadrée » de l’euthanasie conduira-t-elle les Belges à euthanasier des mineurs et les personnes démentes ? C’est la question que les sénateurs sont en train de débattre actuellement.

En veillant debout devant le Sénat, les citoyens manifestent leur inquiétude et leur indignation. Ils lancent un appel à la conscience des responsables politiques. Rejoignez-les ! Prochain rendez-vous: ce dimanche 20 octobre 2013 à 16h.

Plus d’informations : L'euthanasie va toujours plus loin: des Veilleurs debout disent STOP à Bruxelles

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Mardi soir 15 octobre, des Veilleurs debout devant le Sénat: parce qu'en Belgique, être hospitalisé devient de plus en plus MORTEL.


14/10/2013

L'euthanasie va toujours plus loin: des Veilleurs debout disent STOP à Bruxelles

Maintenir la contestation, c'est vital.

Les discussions concernant l'élargissement de la loi sur l'euthanasie en Belgique ont repris au Sénat le mercredi 9 octobre 2013.

En signe de protestation face aux projets de loi visant à élargir cette pratique aux mineurs et aux personnes démentes, les Veilleurs debout se posteront devant le Sénat belge (Place de la Nation 1, 1000 Bruxelles - en face du Parc royal, rue de la Loi):

- mardi 15 octobre 2013 à 19h

- dimanche 20 octobre 2013 à 16h

- mardi 22 octobre 2013 à 19h

- dimanche 27 octobre 2013 à 16h

ATTENTION

Ce n'est pas une manifestation! Les manifestations doivent obtenir un accord préalable de la police.

Nous respecterons la norme légale d'une distance minimale de 3 mètres entre chaque veilleur debout. Ainsi, nous agirons en toute légalité en évitant l'effet de rassemblement.

 

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Qu'il pleuve ou qu'il vente, la résistance pacifique tient bon!

Mobilisez-vous avant qu'ils commencent à euthanasier les contestataires.

 

Voir aussi:

Euthanasie en Belgique: des Veilleurs debout à Bruxelles

Euthanasie: les Veilleurs debout continuent à Bruxelles

http://www.leuthanasiejusquou.com/                http://www.euthanasiestop.be/


12/10/2013

Euthanasie: les Veilleurs debout continuent à Bruxelles

C'est ce dimanche 13 octobre à 16h devant le Sénat.

Plus d'informations:

Euthanasie en Belgique: des Veilleurs debout à Bruxelles

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Merci à Jeunes pour la Vie d'avoir soutenu cette action.

05/10/2013

Euthanasie en Belgique: des Veilleurs debout à Bruxelles

201003270800-1_veel-meer-euthanasie-dan-artsen-aangeven.jpgLes discussions concernant l'élargissement de la loi sur l'euthanasie en Belgique reprendront au Sénat ce mercredi 9 octobre.

En signe de protestation face aux projets de loi visant à élargir cette pratique aux mineurs et aux personnes démentes, les Veilleurs debout se posteront devant le Sénat belge (Place de la Nation 1, 1000 Bruxelles - en face du Parc royal, rue de la Loi):

- ce dimanche 6 octobre 2013 à 16h

- ce mardi 8 octobre 2013 à 18h

- ce dimanche 13 octobre 2013 à 16h

ATTENTION

Ce n'est pas une manifestation! Les manifestations doivent obtenir un accord préalable de la police.

Nous respecterons la norme légale d'une distance minimale de 3 mètres entre chaque veilleur debout. Ainsi, nous agirons en toute légalité en évitant l'effet de rassemblement.


Voir aussi: www.euthanasiestop.be      et     www.leuthanasiejusquou.com