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25/03/2014

Pourquoi venir à la Marche pour la Vie

MARCHE POUR LA VIE

DIMANCHE 30 MARS 2014  -  14H00

BRUXELLES

MONT DES ARTS

A CÔTÉ DE LA GARE CENTRALE

WWW.MARCH4LIFE.BE

Mars voor het Leven, Marche pour la Vie, Bruxelles, Brussel, 2014

17/03/2014

Espagne: des promoteurs de l'avortement appellent à brûler la Conférence épiscopale

Madrid | 12 mars 2014 | 9:02 pm (ACIprensa - traduction : Espérance Nouvelle)

Lors d'une marche pro-avortement organisée le 9 mars à Saint-Jacques de Compostelle (Espagne), la "Plateforme galicienne pour le droit à l'avortement", qui compte parmi ses membres le Parti Socialiste Ouvrier Espagnol (PSOE), a appelé à brûler le siège de la Conférence épiscopale espagnole.

Parmi les revendications du groupe abortiste qui a défilé dans les rues de Saint-Jacques de Compostelle, on pouvait entendre le cri "brûlons la Conférence épiscopale machiste et patriarcale", notamment devant la cathédrale de la ville.

Selon un journaliste commentant les faits, « les promoteurs de l'avortement appellent un "droit" le fait de tuer, démembrer et broyer des êtres humains innocents: de là à exiger qu'on brûle ceux qui ne sont pas d'accord, il n'y a qu'un pas. »

 

16/03/2014

Veillée de prière pour la Vie samedi 29 mars à Bruxelles

Pour soutenir spirituellement la Marche pour la Vie du 30 mars

En présence de l'Archevêque de Malines-Bruxelles Monseigneur André-Joseph Léonard

À 20h15 à l'église de la Madeleine

À deux pas de la Gare centrale

Samedi 29 mars 2014

Le Seigneur vous invite à témoigner par votre présence de la beauté de la Vie, du vrai Amour qui accueille les plus faibles et tout-petits.

veillée de prière pour la vie, Bruxelles, Madeleine, 29 mars

Génération pro-vie

En Europe, aux États-Unis et ailleurs dans le monde, une classe politique sans scrupules obnubilée par la quête du profit matériel s'est lancée dans une guerre sans merci contre la génération naissante. Partout où les lobbys de la mort ont déclenché cette guerre meurtrière ou ont tenté de le faire, des survivants se sont levés pour leur génération et les suivantes, abandonnées par les gouvernements aux mains des hôpitaux et cliniques de la mort. Des milliers et centaines de milliers de personnes à travers le monde, se sont engagées dans un mouvement de résistance à ces politiques d'extermination silencieuse, et ont résolu de se battre pour une justice qui reconnaisse la valeur sacrée et inviolable de toute vie humaine.

REJOIGNEZ-LES

WASHINGTON D.C. - ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE

LIMA - PÉROU

PARIS - FRANCE

BOGOTA - COLOMBIE

MEDELLIN - COLOMBIE

> Marcha por la Vida - Medellin

OTTAWA - CANADA

MADRID - ESPAGNE

SÉVILLE - ESPAGNE

 

REJOIGNEZ LA MARCHE POUR LA VIE

À BRUXELLES

DIMANCHE 30 MARS 2014

MONT DES ARTS - 14H

J - 14

www.march4life.be

 

03/03/2014

"Euthanasie: évaluation et perspectives pour le futur" lundi 10 mars 2014 à Bruxelles

Flyer_EuthanasiaAvocacyEvent.PNG

Correction: RSVP before the 7th of March

 

Events


Freedom and Pain Examined
March 10, 2014 7:00 pm -- March 10, 2014 10:00 pm


WYA Chamber Orchestra Performance
March 15, 2014 8:00 pm -- March 15, 2014 9:00 pm


Apply for the WYA Europe Internship Program in Brussels
March 19, 2014 -- March 19, 2014


Save the Date for the WYA 15th Birthday Celebrations
March 28, 2014 -- March 28, 2014


WYA 15th Birthday Ball
March 28, 2014 7:00 pm -- March 28, 2014 7:00 pm


WYA 15th Anniversary: Briefing on WYA's New Programs
March 29, 2014 -- March 29, 2014


Film Screening at the United Nations
April 02, 2014 6:30 pm -- April 02, 2014 8:00 pm


WYA Chamber Orchestra Performance at the United Nations
April 02, 2014 -- April 02, 2014


Apply for the WYA Europe Internship Program in Brussels
July 28, 2014 -- July 28, 2014


Submission deadline: Manhattan International Film Festival 2015
December 08, 2014 7:00 pm -- December 08, 2014 7:00 pm


Manhattan International Film Festival
March 20, 2015 7:00 pm -- March 22, 2015 7:00 pm


 

02/03/2014

L'initiative citoyenne "Un de nous" officiellement validée par la Commission européenne

Un de nous | 28 février 2014

Communiqué de presse de la Commission européenne du 28 février 2014:

La Commission européenne a officiellement agréé la seconde Initiative Citoyenne Européenne, avec des formulaires validés d’au moins un million de citoyens européens dans au moins 7 Etats membres.

Les formulaires de l’Initiative Citoyenne Un de nous dont les organisateurs demandent à l’Union Européenne d’établir une interdiction du financement des actions qui conduisent à la destruction d’embryons humains, spécialement dans le domaine de la recherche, de l’aide au développement et la santé publique, ont été contrôlés et validés par les autorités nationales des états membres.

Le nombre de citoyens soutenant cette initiative a dépassé la première Initiative validée le mois dernier  “Right2water”. 18 états membres ont dépassé le seuil minimal : Autriche, Croatie, Chypre, France, Allemagne, Grèce, Hongrie, Italie, Lettonie, Lithuanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie et Espagne. Globalement, les déclarations de 1 721 626 citoyens ont été validées. La balle est maintenant dans le camp de la Commission. Dans un délai de trois mois, les organisateurs doivent être invités à intervenir à Bruxelles pour expliquer plus profondément leur position et une audition publique doit être organisée au Parlement. Ensuite la Commission doit décider si elle adopte une nouvelle législation en la matière, ou si elle prend en compte d’une manière ou d’une autre cette demande ou encore si elle ne fait rien en ce sens.

Quelle que soit l’issue, la Commission devra expliquer les raisons de sa position en associant l’ensemble du collège des commissaires.

 

Le communiqué du 21 février 2014 sur le succès de l'initiative Un de nous:

Un de nous confirmé comme l'initiative citoyenne européenne ayant recueilli le plus grand nombre de signatures 

01/03/2014

L'Allemagne replonge dans l'eugénisme d'État

Abbé Ralph Weimann | L'Homme Nouveau | 1 mars 2014

Pour conjurer le démon de l’eugénisme auquel le IIIe Reich avait cédé, l’Allemagne s’était dotée en 1949 d’une Constitution qui proclamait l’intangibilité de la vie humaine. Depuis le 1er février une brèche a été ouverte dans cette loi fondamentale garante de l’éthique de l’État allemand.

L'eugénisme étatique

Le 1er février dernier, l’Allemagne a plongé de nouveau – du moins en partie – dans ce qu’il faut bien appeler l’eugénisme étatique, celui de l’État démocratique. Dans ce pays, la loi sur la protection de l’embryon du 13 décembre 1990 avait été amendée et élargie par la loi sur la réglementation du diagnostic préimplantatoire (DPI), entrée en vigueur le 21 novembre 2011. Ce sont les lignes directrices de cette loi, approuvées par le Bundestag (Chambre des députés), le 14 novembre 2012, qui sont entrées en vigueur le 1er février 2014.

D’âpres discussions

La loi sur le DPI a fait l’objet de discussions très âpres, car la classe politique dirigeante, tant de la CDU-CSU (les ­chrétiens-démocrates au pouvoir) que du SPD (les sociaux-démocrates), craignait avant tout de réveiller les vieux démons du nazisme. En effet, le cauchemar du Troisième Reich risquait bien de resurgir, même si, bien évidemment, il ne s’agissait plus de se référer au terrible concept, inspiré du darwinisme, de « lebenswerten » et de « lebensunwerten », ou de vie digne ou indigne d’être vécue, qui constituait le fondement de l’eugénisme de l’État totalitaire nazi.

Une brèche dans la digue

Pourtant, le 1er février, la nouvelle loi a ouvert une brèche dans la digue constituée par la Loi fondamentale allemande du 8 mai 1949 (la Constitution de l’Allemagne fédérale), érigée pour protéger la société contre l’éventuelle résurgence d’un régime légalisant l’eugénisme. De fait, l’article 1 de cette Loi fondamentale proclamant l’intangibilité de la vie humaine, avait jusqu’à maintenant inspiré une législation et une jurisprudence interdisant, ou du moins restreignant considérablement, l’application des technologies modernes visant à la « sélection des vies humaines ». Après l’auto-dénonciation provocatrice d’un gynécologue berlinois, le Dr Mattias Bloeche, affirmant avoir pratiqué clandestinement des DPI, qui fut suivie de son acquittement par le Tribunal fédéral en 2010, le Parlement allemand dut se saisir de ce sujet, ce qui déclencha inévitablement un débat de fond très délicat, celui du rapport entre le progrès scientifique et le caractère intangible de la vie humaine.

Trois options

Trois options s’offraient au législateur :

1. Interdire le DPI.

2. L’autoriser.

3. Le permettre dans des cas bien déterminés.

Très rapidement, les députés allemands ont été confrontés à l’option suivante : faut-il privilégier la souffrance de la femme confrontée à la naissance d’un enfant atteint d’une malformation physique ou mentale, ou le droit à la vie de tout embryon ? L’attention de la majorité d’entre eux s’est particulièrement focalisée sur le désir d’enfant de ces couples qui risquent de transmettre une maladie héréditaire à leur descendance. En omettant de se prononcer sur la question du caractère éthique ou non du DPI, les parlementaires se sont de facto rendus à cette nouvelle conception de la personne humaine, qui est fondée avant tout sur le pouvoir de la science sur la vie humaine, et le critère de la « qualité », un substantif qui fait écran à celui d’« eugénisme ».

Ambiguïté

Les débats ont aussi mis en évidence le dilemme auquel est confrontée la classe politique allemande : alors que dans le contexte de la société dite multiculturelle, l’État proclame sa neutralité, et donc refuse de faire sienne une vision spécifique de l’être humain, il est encore tributaire d’une Loi fondamentale qui – en particulier dans son article premier – est l’expression des racines chrétiennes de ce pays. D’où l’ambiguïté de la loi sur le DPI, qui, d’un côté interdit en principe ce dernier, tout en l’autorisant dans certains cas… Une législation digne de la personne humaine aurait dû avoir pour fondement un « oui » sans condition à la vie humaine, ce « oui » responsable « devant Dieu et devant les hommes », dont parle justement la Loi fondamentale allemande.

Pour aller plus loin : Enquête au cœur de l'eugénisme, hors série de L'Homme Nouveau.

25/02/2014

Avortement : "Travailler dans un centre IVG, la pire chose que j’ai faite dans ma vie"

Aleteia | 24 février 2014

« Le bruit de la pompe d’aspiration me hante toujours », raconte l’infirmière Marianne Anderson après deux années de travail dans un des plus grands centres d’avortements de l’Indiana, aux Etats-Unis.

Marianne Anderson a travaillé de début 2010 à juillet 2012 dans un centre d’avortement du Planning familial (Planned Parenthood) à Indianapolis, le plus grand de l'Etat de l'Indiana, aux Etats-Unis. Aujourd'hui elle affirme que c’est « la pire chose qu'elle ait faite » dans sa vie.

Quand elle a commencé à y travailler, elle ne savait pas trop quoi penser de l'avortement : parfois elle le justifiait en voyant dans son hôpital des filles qui avaient tenté de s’avorter elles-mêmes, ce qui l’incitait à souhaiter « un endroit sûr » pour cela.

Mais dans son nouveau lieu de travail, se souvient Marianne Anderson, « à plusieurs reprises des difficultés ont surgi avec des avortements, et il a fallu appeler l'hôpital pour venir chercher les femmes [en danger]. Une fois, c’était une femme qui perdait tout son sang. Des caillots de sang se formaient, sa pression artérielle tombait ».

Sa dramatique expérience l’amène aujourd’hui à dire que ce centre d’avortement est « une affaire d’argent, un endroit triste, triste à mourir pour y  travailler ». Anderson était chargée d'injecter la sédation, par voie intraveineuse, à ses patientes.
 « On nous disait que si  nous ne répondions pas à la troisième sonnerie du téléphone, nous serions renvoyées, car ils avaient besoin d’argent » explique-t-elle. « À notre réunion hebdomadaire du personnel, on nous rappelait que nous devions dire aux clientes d’éviter les personnes leur conseillant sur les dangers de l’avortement, car on avait besoin d’argent ».

Anderson a fini par tomber malade du fait de ce qu’elle a vu dans la salle ‘POC' du Centre: POC signifie ‘Product of Conception' (Produit de la conception). « On devait les verser (les produits de la conception) dans une passoire, et ensuite évacuer les restes dans les toilettes ».

L’infirmière se souvient : « Un jour, un médecin parlait au bébé avorté en cherchant toutes les parties [de son corps]: ‘’Allez, petit bras, je sais que tu es là! ¡ Maintenant arrête de te cacher de moi!'’ Cela me rendait malade, me tordait l’estomac ». « Le bruit de l’appareil d’aspiration quand il était mis en marche me hante toujours », soupire Marianne Anderson.

Un jour, elle a vu une annonce pour le livre Unplanned, écrit par Abby Johnson, ancienne directrice du  Planned Parenthood au Texas, et qui a quitté son poste en 2009 pour devenir militante pro-vie. L’infirmière a lu le livre, pris contact avec l’auteur, et celle-ci l’a mise en rapport avec Eileen Hartman, avocate locale pro-vie qui dirige le projet Gabriel, un réseau de bénévoles de l'Église qui aident les femmes confrontées à des grossesses difficiles ou imprévues.
 Par l’entremise d’Eileen, l’infirmière Marianne  Anderson a pris contact avec l'ensemble du réseau pro-vie. Elle a beaucoup  parlé avec Eileen, et fait la connaissance de plusieurs personnes, qui  ont commencé à prier pour elle.

L’infirmière a fini par représenter un « problème » au sein de ce centre d'avortement, car elle « parlait trop avec les filles (qui allaient avorter), leur demandant si elles étaient sûres de vouloir le faire ». Un jour de juillet, on l’a renvoyée, mais juste à ce moment-là, son téléphone s’est mis à vibrer dans son sac : c’était un appel  du Community North Hospital à Indianapolis, qui lui proposait un nouveau poste, celui qu’elle a toujours. « J’aime maintenant mon travail », se réjouit-elle. « Je travaille avec des personnes chrétiennes merveilleuses ».

L'infirmière a raconté ses expériences lors d’un dîner du projet Gabriel, le 6 Février dernier.  « Cela a été un chemin continu pour moi. Parler de tout cela est douloureux pour moi, mais en même temps curatif".

Récemment, l'infirmière a suivi une retraite consacrée à la guérison spirituelle des personnes qui ont travaillé dans des centres d'avortement. On a demandé aux participants de donner un nom, à chaque jour qui passe, à un enfant avorté, dans des avortements auxquels elle a participé. Elle ne se souvient pas du nombre d’avortements, mais on imagine qu’il lui  faudra « plusieurs années avant de parvenir au bout de la liste ». Cependant, au milieu de sa douleur, maintenant elle se dit heureuse. (Gaudium Press)

 

22/02/2014

Le business de l'euthanasie esthétique

La Dépêche | 21 février 2014

Une Italienne s'est fait euthanasier dans un centre en Suisse en échange de 10 000 euros. En parfaite santé aussi bien physique que psychique, elle a fait ce choix catégorique pour une raison : elle ne supportait plus de se trouver laide en vieillissant.

Un suicide assisté dans le secret

 Oriella Caszzenello était âgée de 85 ans et vivait très mal les effets du passage du temps sur son physique dont elle était très fière, rapporte l'agence de presse italienne ANSA. Elle a disparu un beau jour sans même prévenir ses proches, pour aller se faire euthanasier dans un centre suisse d'assistance au suicide, moyennant la somme de 10 000 euros. Sa famille, qui n'avait plus de nouvelles d'elle depuis janvier, a reçu par la poste un certificat de décès, apprenant ainsi la triste nouvelle

20/02/2014

Marche pour la Vie à Bruxelles - Mars voor het leven in Brussel - 30 mars 2014 - 30 maart 2014

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www.march4life.be