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13/02/2014

Euthanasie: 65 % des Belges refuseraient une adoption du projet de loi aujourd'hui à la Chambre

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D'après le sondage mené hier par lalibre.be, une majorité relative de 45,6% des sondés seraient strictement opposés au projet de loi dépénalisant l'euthanasie des mineurs, tandis que 34,9% y seraient favorables. Les 19,6% restants veulent que le vote soit reporté, ce qui permettrait un vrai débat citoyen sur la question, avec l'intervention d'experts impartiaux issus du monde médical. Une étape essentielle bâclée par le Sénat et totalement omise par la Chambre. Au total, 65,2% souhaitent que le projet de loi ne soit pas soumis au vote de la Chambre aujourd'hui.

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Le sondage de La Libre est encore ouvert au vote. N'hésitez pas à y répondre sur la page d’accueil de lalibre.be.

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Ce sont exactement les mêmes résultats qui se sont dégagés du sondage mené par RTL, bien que la question ait été formulée différemment: 65% des 6497 Belges sondés demandent que le vote du projet de loi soit reporté. Les citoyens seront-ils entendus par ceux qui doivent les représenter ? Ils sauront ce soir si la démocratie belge peut encore faire ses preuves en montrant qu'elle est capable d'entendre la voix du peuple.

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12/02/2014

Euthanasie des mineurs: exprimez-vous maintenant

Les parlementaires ont voulu éviter le débat pour faire passer ce projet de loi purement idéologique sur l'euthanasie des enfants. Les programmes des partis politiques n'en avaient jamais parlé. Les citoyens n'ont pas pu s'exprimer sur la question.

Alors les médias ont décidé de prendre pour un temps le relais du débat démocratique, à leur manière.

Exprimez-vous sur la question en participant aux sondages de lalibre.be et de RTL.

Sur la page d'accueil de lalibre.be, en-dessous des 3 articles de tête, en-dessous des "Dernières dépêches", et juste en-dessous des deux articles qui suivent, il y a une rubrique "La question du jour". Vous pouvez alors répondre à la question "La loi sur l'euthanasie des mineurs, vous êtes pour/contre/c'est précipité". Allez-y: www.lalibre.be

Sur la page d'accueil de rtl.be, dans la colonne de droite, juste en-dessous de la rubrique "Les dernières infos", vous trouverez "La question RTL". La question proposée est "Le vote de la loi sur l’euthanasie des mineurs (qui doit intervenir demain à la chambre) doit-il être reporté selon-vous? Oui/Non/Sans avis". Allez-y: www.rtl.be/info

Il est difficile de savoir combien de temps ces deux sondages resteront en ligne. Si la question change chaque jour, le changement pourrait avoir lieu cette nuit. Dépêchez-vous d'y répondre !

11/02/2014

Euthanasie des mineurs: les pédiatres seront-ils entendus à la Chambre?

Ils demandent notamment une étude objective sur les besoins rencontrés sur le terrain, et une amélioration du niveau de formation aux soins palliatifs.

Source: RTL-TVI

07/02/2014

Euthanasie: la prière et le jeûne face aux lois inhumaines

RTBF | 6 février 2014


Ce jeudi, l’archevêque André-Joseph Léonard a invité ses fidèles à le suivre dans une journée de jeûne et de prière pour marquer leur opposition à l'extension de la loi sur l'euthanasie aux mineurs d'âge. Anne-Chantal André-Dumont, une étudiante membre de l’asbl "Jeunes pour la Vie", a emboîté le pas au primat belge. Invitée sur le plateau du 13h, elle a expliqué que le jeûne et la prière étaient leur façon de s'exprimer "par rapport aux lois qui nous paraissent inhumaines".

"Le but avant tout, a-t-elle ajouté, est de confier notre monde en souffrance à Dieu par la prière, et en rejoignant la souffrance par le jeûne."

Elle a dit vouloir ouvrir le débat en suivant l’appel de Monseigneur Léonard. Un débat qui n’a jusqu’ici été ouvert, selon elle, qu'à ceux qui sont pour l'élargissement de l’euthanasie.

Et si les propositions de loi ont été longuement discutées en commission puis sur la scène politique, Anne-Chantal André-Dumont réplique que "ces propositions de loi n’étaient pas inscrites dans le programme quand nous avons voté la dernière fois".

Personnellement concernée par ce sujet, elle a expliqué que son frère avait "une malformation cardiaque très grave", et qu’il a fait l’objet d’un "traitement très lourd". "C’est très difficile, on en souffre", a-t-elle confié en précisant que l’euthanasie n’est "pas une réponse à sa souffrance". "Quand il était au plus bas, il demandait de l’aide, pas qu’on supprime sa souffrance".

Enfin, si elle reconnaît que l’élargissement de la loi n’impose pas l’euthanasie aux mineurs, elle estime qu’il s’agit d’une "proposition malsaine": "C’est au moment où on est mal qu’on a envie de choisir la mort et d’arrêter sa souffrance".

Pour elle, "c’est en accompagnant les personnes qui souffrent qu’on les aide le mieux".

 

06/02/2014

Notre Oui à la Vie

Editorial de Mgr Marc Aillet - Notre Église n°45 - Février 2014

Avec le projet de loi discuté à l’Assemblée nationale à partir du 20 janvier, c’est le drame de l’avortement qui revient sur le devant de la scène. L’intention du législateur est de passer d’une loi de dépénalisation à la reconnaissance d’un véritable « droit », en supprimant la clause de détresse qui devait en garantir le caractère d’exception, au profit d’une simple convenance personnelle : « si la femme ne désire pas poursuivre sa grossesse ». Les évêques de France, par le biais du Conseil permanent, ont publié un communiqué clair et ferme sur cette nouvelle menace contre la vie naissante, tout comme ils ont contesté énergiquement l’annonce d’une loi sur la fin de vie qui conduirait à légaliser l’euthanasie active ou le suicide assisté.

Dans son exhortation apostolique La joie de l’Evangile, et plus particulièrement en abordant la dimension sociale de l’évangélisation et l’intégration sociale des plus pauvres, le Pape François nous a invités à prendre soin de toute fragilité. Parmi les situations de fragilité qu’il évoque, il s’étend plus longuement sur les enfants à naître, « qui sont les plus sans défense et innocents de tous ». Celui que la presse salue comme « le Pape François superstar » n’hésite pas à aller à contre-courant de la « culture du déchet » qui caractérise la mentalité moderne : « Fréquemment, pour ridiculiser allègrement la défense que l’Eglise fait des enfants à naître, on fait en sorte de présenter sa position comme quelque chose d’idéologique, d’obscurantiste et de conservateur ». Il ne faut pas s’attendre à ce que l’Eglise change de position sur cette question, martèle-t-il : « Ce n’est pas un progrès de prétendre résoudre les problèmes en éliminant une vie humaine ». Rejoignant le langage rugueux et prophétique de saint Jean-Baptiste, il s’exprime devant le Corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège en des termes que l’on n’apprend pas vraiment à l’école des Nonces : « La seule pensée que des enfants ne pourront jamais voir la lumière, victimes d’avortement, nous fait horreur ». On y retrouve le langage sans concessions du Concile Vatican II dans la constitution pastorale Gaudium et spes, à propos du caractère sacré et inviolable de toute vie humaine : « L’avortement et l’infanticide sont des crimes abominables » (n. 51).

Sans doute faut-il reconnaître aussi, comme l’affirme encore le Saint-Père, que nous n’avons pas assez fait  « pour accompagner comme il convient les femmes qui se trouvent dans des situations très dures », et où l’avortement se présente souvent comme la seule alternative à leur angoisse : pressées par le milieu, à grand renfort de moyens médiatiques et législatifs, elles sont contraintes, souvent contre leur gré, à éliminer le bébé qu’elles portent en elles, n’hésitant pas, dans la précipitation, à aller au-devant de souffrances et de traumatismes dont on mesure mieux aujourd’hui l’ampleur destructrice. Il faut non seulement prendre énergiquement la défense des enfants à naître, mais il convient de rejoindre les mamans en difficulté, en ne les privant pas de l’information sur les alternatives sociales à l’avortement, et en leur offrant une assistance concrète. Je ne saurais trop signaler, en ce sens, les initiatives de l’association Naissance et vie 64, mettant en place, sur Bayonne, des structures d’accueil et d’écoute, voire d’hébergement, pour les femmes enceintes en difficulté.

Le combat pour le respect de la vie n’est pas seulement un combat politique, je veux parler de la politique au sens noble du terme, « cette forme éminente de la charité », qui recherche le Bien commun, ce Bien que tous peuvent rechercher en commun car il garantit la dignité de toute personne humaine, sans exception, à commencer par la plus faible et la plus fragile. Mais il s’agit de la grande œuvre du Salut accomplie par le Christ, car derrière le drame de l’avortement, se cachent le « Mystère d’iniquité », dont parle saint Paul, et une multiplicité de complicités qui constituent le « péché du monde » dont le Christ Jésus est précisément venu nous libérer. Loin de condamner quiconque ou de désigner des coupables, « car ce n’est pas contre des adversaires de chair et de sang que nous avons à lutter » (Eph 6, 12), nous avons à désigner celui qui est « l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde » (Jn 1, 29). La prise de conscience de « l’horreur » de l’avortement, qui se fait jour aujourd’hui en France comme en Espagne, en particulier chez les femmes et chez les jeunes, doit s’accompagner d’un vrai combat spirituel.

Comme le Bienheureux Jean Paul II l’affirmait devant les jeunes rassemblés à Czestochowa pour les Journées mondiales de la jeunesse en 1991 : « Je veille, cela veut dire : je m’efforce d’être un homme de conscience. Je n’étouffe pas cette conscience et je ne la déforme pas ; j’appelle le bien et le mal par leur nom, je ne les confonds pas ; j’accrois le bien en moi et j’essaie de corriger le mal, le surmontant en moi-même ». Engageons-nous dans ce combat par la prière et par l’action, réveillons en nous les forces morales et spirituelles que le Seigneur nous a communiquées par son Esprit, et la culture de vie fera reculer la culture de mort. Ne l’oublions pas : c’est par l’envie du diable que le péché est entré dans le monde et par le péché la mort. Mais le Christ a vaincu la mort et nous a donné la Vie.

+ Mgr Marc AILLET,
Évêque de Bayonne, Lescar et Oloron.

Source : site officiel du diocèse de Bayonne.

29/01/2014

Programme pour ce week-end à Bruxelles

 

Samedi 1er février:

Prier pour la Vie

Rosaire pour la Vie - 16h30 à l'église Saint-Jacques sur Coudenberg - 1000 Bruxelles.

Veillée de la Chandeleur - 20h à 22h à l'église Saint-Jacques-sur-Coudenberg - 1000 Bruxelles.

Dimanche 2 février:

Mobilisations citoyennes pour la famille et pour une médecine qui respecte la vie humaine

Rassemblement « Tous pour la famille : halte à la familiphobie ! » - 14h à 15h Place du Luxembourg (gare de Bruxelles-Luxembourg).

Grande manifestation citoyenne des Dossards Jaunes « Contrôle de l'euthanasie en panne: carton rouge pour la commission ! » - 15h30 à 17h00 rue de l’Autonomie, 4 – 1070 Bruxelles (gare du Midi).

 

16/01/2014

Pourquoi les jeunes défendent la vie des tout-petits

L'antimoralité française confrontée au bon sens et à l'humanité toute simple des jeunes espagnols:

Heureusement pour le présentateur et pour toute la société, notre pays prévoit des lois s'opposant au "droit" des personnes à "décider librement d'avoir recours" à l'assassinat des journalistes, y compris ceux qui promeuvent une culture de mort. Ces lois qui les protègent eux et devraient protéger tout être humain sont bonnes et tout-à-fait indispensables, justement parce qu'elles limitent la liberté en l'empêchant de s'exercer à l'encontre de la vie humaine.

13/01/2014

Le Pape exprime «l'horreur» que lui inspire l'avortement

Lundi 13 janvier 2014

Lors de son discours au corps diplomatique, le Pape a dit toute «l’horreur» que lui inspirent l’avortement, l’utilisation des enfants comme soldats ou les formes de traites d’êtres humains dont ces derniers sont victimes :

franciscobebe.jpgLa paix, de plus, est blessée par certaines négations de la dignité humaine, en premier lieu par l’impossibilité de se nourrir de manière suffisante. Les visages de tant de personnes qui souffrent de la faim, surtout des enfants, ne peuvent nous laisser indifférents, si l’on pense à tant de nourriture gaspillée chaque jour en de nombreux endroits dans le monde, immergés dans ce que j’ai plusieurs fois défini comme « la culture du déchet ». Malheureusement, ce ne sont pas seulement la nourriture ou les biens superflus qui sont objet de déchet, mais souvent les êtres humains eux-mêmes, qui sont « jetés » comme s’ils étaient des « choses non nécessaires ». Par exemple, la seule pensée que des enfants ne pourront jamais voir la lumière, victimes de l’avortement, nous fait horreur ; ou encore ceux qui sont utilisés comme soldats, violentés ou tués dans les conflits armés, ou ceux qui sont objets de marché dans cette terrible forme d’esclavage moderne qu’est la traite des êtres humains, qui est un crime contre l’humanité.

 

> Le texte intégral du discours au corps diplomatique

 

D'après l'AFP:

Le Pape François a condamné "l'horreur" de l'avortement et "le crime" de la traite humaine, lundi devant le corps diplomatique, auquel il a réclamé un engagement pour la paix et le droit humanitaire.

"La traite des êtres humains, crime contre l'humanité", a été le moment le plus fort de son discours, quand il a dénoncé "les enfants utilisés comme soldats, violentés ou tués dans les conflits armés, ou ceux qui sont objet d'un marché dans cette terrible force d'esclavage moderne qu'est la traite". "La paix est blessée par certaines négations de la dignité humaine", a-t-il poursuivi, exprimant son "horreur à la pensée que des enfants ne pourront jamais voir le jour, victimes de l'avortement". Sa plus solennelle dénonciation de l'interruption de grossesse à ce jour.

Conformément à sa vision franciscaine de la création, il s'en est aussi pris à "l'exploitation avide des ressources environnementales". "Je me souviens d'un dicton populaire : 'Dieu pardonne toujours; nous, nous pardonnons parfois; la nature ne pardonne jamais quand elle est maltraitée'", a observé Jorge Mario Bergoglio, évoquant "les effets dévastateurs de certaines catastrophes naturelles récentes". Il a aussi évoqué la malnutrition du fait de "la nourriture gaspillée, en de nombreux endroits immergés dans la culture du déchet". Mais a-t-il dit, "ce ne sont pas seulement les biens superflus qui sont objet de déchets, mais souvent les êtres humains qui sont jetés comme s'ils étaient des choses non nécessaires".

Les réfugiés, "numéros anonymes"

Le Pape a appelé une nouvelle fois à "ne pas exclure les personnes âgées de la vie sociale" et a défendu la famille, "lexique de paix" pour la société, que les Etats doivent "soutenir, favoriser et consolider". Il a aussi réitéré son inquiétude face aux "multitudes" de personnes déplacées et de réfugiés, "numéros anonymes" dans des camps et victimes de naufrages "dans l'indifférence générale" comme près de l'île italienne de Lampedusa.

Pour la Centrafrique, le Pape a demandé à la communauté internationale de s'impliquer davantage, la France regrettant un manque de mobilisation à ses côtés. Le Souverain Pontife a évoqué le centenaire cette année de la Première guerre mondiale, "désastre inutile", saluant les efforts du Pape d'alors, Benoît XV, qui avait invité les responsables des Nations européennes à faire prévaloir "la force morale du droit" sur "la force matérielle des armes".

Cardinal nommé Fernando Sebastián: « pour un catholique, l'avortement légal c'est non »

InfoCatólica | 13 janvier 2014

sebastcar.jpgLors de la conférence de presse qu'il a donnée suite à sa nomination comme cardinal par le Pape François, Mgr Fernando Sebastián, archevêque émérite de Pamplune, a répondu à des questions sur la réforme de la loi sur l'avortement: « Pour un catholique, l'avortement ne peut être légal en aucun cas. Le débat sur l'avortement en Espagne est perverti depuis le début parce qu'ils ne veulent pas reconnaître la vérité sur l'avortement. On parle d'interruption de grossesse comme si c'était une rougeole ou des varices, on parle de mille choses, mais jamais de ce qu'est vraiment l'avortement: éliminer la vie d'un être humain dans les premières phases de son développement dans le ventre de sa mère. Y a-t-il une femme qui se sente le droit de tuer son propre enfant ? C'est à cette question que doit répondre monsieur Rubalcaba».

12/01/2014

Marche pour la Vie: car Bruxelles-Paris aller-retour le 19 janvier

Communiqué des Jeunes pour la Vie | 12 janvier 2013

8633634.jpg?298Chers amis,
De tout coeur, nous vous invitons à nous rejoindre ce 19 janvier pour participer à la Marche Pour la Vie à Paris!
Pour soutenir cet évènement, les Jeunes Pour la Vie organisent un car qui partira le dimanche 19 janvier au matin (9h30) du parvis de la Basilique.
N'hésitez donc surtout pas à vous inscrire et à nous accompagner!
Comment faire?
Pour le voyage aller-retour nous vous demandons 20€ par personne à payer à l'avance sur le compte suivant: 088-2142578-37.
Afin d'éviter toute confusion, nous ne retiendrons que les inscriptions payées à l'avance. Mais n'hésitez surtout pas à nous contacter en cas de problèmes par mail ou au 02.649.08.79! Il y a des réductions pour les familles, groupes et étudiants.
Vous connaissez des gens qui seraient intéressés? Parlez-en autour de vous! Nous ne sommes jamais trop pour défendre la cause de la vie!
Au plaisir de vous y voir!
Les JPV
Participez également à la Marche pour la Vie de Bruxelles qui aura lieu le 30 mars 2014 à 14h, au départ du Mont des Arts, situé entre la Gare Centrale et la Place Royale.