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30/09/2015

Débat sur la 9ème vidéo du scandale Planned Parenthood avec Lila Rose

 

 

La 9ème vidéo du CMP (9 min 10 s):

 

La vidéo complète sans montage, également publiée par le CMP (24 min 57s):

 

9ème vidéo du CMP: une directrice médicale de Planned Parenthood discute de la vente de bébés avortés entiers

 

 

Le 'Center for Medical Progress' a publié sa 9ème vidéo dans la série de vidéos qui dénonce le commerce de bébés avortés et de morceaux de leurs corps par l'industrie de l'avortement Planned Parenthood.

 

Steven Ertelt | LifeNews | Sep 1, 2015   |   8:33AM    Washington, DC

The Center for Medical Progress released a new video this morning — the 9th in its series of videos catching the Planned Parenthood abortion business selling aborted babies and their body parts. This latest video catches a Planned Parenthood medical director discussing how the abortion company sells fully intact aborted babies — including one who “just fell out” of the womb.

The ninth video in the Planned Parenthood baby parts scandal focuses on Advanced Bioscience Resources, Inc. (ABR), the small and secretive company similar to StemExpress that has harvested and sold fetal body parts at Planned Parenthood clinics longer than any other entity.

The video features undercover conversations with Dr. Katharine Sheehan, the long-time medical director of Planned Parenthood of the Pacific Southwest until 2013; Perrin Larton, the Procurement Manager for ABR; and Cate Dyer, the CEO of rival fetal tissue procurement company StemExpress.

> Continue reading

 

07/09/2015

8ème vidéo du CMP: la CEO de StemExpress reconnaît que Planned Parenthood vend des corps entiers de bébés avortés

La 8ème vidéo du scandale Planned Parenthood Sells Baby Parts (PP SBP) montre un entretien filmé avec la CEO de StemExpress, Cate Dyer, au cours duquel celle-ci mentionne explicitement la vente de corps entiers de bébés avortés.

LOS ANGELES, 25 août 2015 (LifeSiteNews - Traduction: Espérance Nouvelle) - Planned Parenthood fournit "beaucoup" de corps de bébés avortés "intacts" aux chercheurs en biologie pour l'exploitation et l'expérimentation, a confirmé la CEO de StemExpress dans une nouvelle vidéo en caméra cachée publiée ce matin.

Au cours d'un déjeuner d'affaires enregistré le 22 mai, la CEO de Stem Express, Cate Dyer, dit aussi qu'elle pense que la vente de parties de corps de bébés avortés a été "profitable" pour l'industrie de l'avotement, ce qui indique, si l'information est avérée, que Planned Parenthood a commis un crime fédéral.

Dyer explique qu'une fois que StemExpress a les organes désirés, ils les expédient à des institutions académiques pour leur usage - ce que les académiques eux-mêmes ont certaines fois trouvé effrayant, surtout dans les cas de cadavres "intacts".

Comme dans la courte vidéo de prévisualisation publiée vendredi dernier, Dyer a plaisanté sur la nécessité d'avertir les techniciens de laboratoire lorsqu'un cadavre entier de bébé est expédié. "Si vous avez des spécimens intacts, ce que nous faisons beaucoup, parfois nous les réexpédions vers nos laboratoires dans leur entièreté", a-t-elle déclaré. "Prévenez le laboratoire que ça vient, pour éviter qu'ils ouvrent la boîte et" crient. "Leurs techniciens de laboratoire paniquent et font des crises de nerfs."

"Les laboratoires académiques ne peuvent pas travailler comme ça, ils en sont simplement incapables", dit Dyer. "C'est presque comme s'ils ne voulaient pas savoir d'où ça vient. Cela je le vois."

Elle dit qu'elle reçoit souvent des instructions de scientifiques qui font des expérimentations sur des bébés avortés, telles que "Nous avons besoin de membres, mais il ne doit pas y avoir de mains ne de pieds attachés".

"Et je pense, assez franchement, que c'est pour cela que les chercheurs finalement, certains d'entre eux, se dirigent vers d'autres activités."

L'industrie de la recherche biologique en général, et StemExpress en particulier, préfère recevoir les bébés aussi intacts que possible pour maximiser le nombre d'organes qu'elle peut utiliser dans ses recherches.

"L'approvisionnement pour nous... peut vraiment déraper, en fonction du service, et alors nos échantillons sont détruits", dit Dyer, "alors nous avons commencé à les rapporter" entiers, "pour qu'ils soient maniés par des experts de l'approvisionnement".

Ce système est préférable, dit-elle, à la réalisation des dissections par Planned Parenthood en interne, une pratique qu'un dirigeant de Planned Parenthood a qualifiée d'"amusante".

Cet arrangement est aussi bénéfique pour Planned Parenthood, comme l'ont reconnu ses dirigeant dans de précédentes vidéos, puisqu'ils sont souvent payés sur base du nombre d'organes récupérables.

Les propos de Dyer semblent contredire les affirmations de Cecile Richards selon lesquelles Planned Parenthood ne ferait pas de profits illégaux de la vente d'organes fœtaux.

"Pensez-vous que ces centres d'avortement, comme ceux qui ont brûlé, pensez-vous qu'ils font tout cela pour la recherche et que ce n'est pas profitable pour eux ?", demande Dyer à un moment donné. "Je ne vois pas cela, en tout cas. Je n'ai jamais vu cela."

Faire du profit de la vente de tissus fœtaux humains et un crime fédéral passible de peines allant jusqu'à 10 ans de prison ou 500 000 dollars d'amende.

 

Par Ben Johnson de LifeSiteNews - traduit par Espérance Nouvelle

 

La vidéo de l'entretien complet (2h 17min 43s):

 

Lire aussi:

> Full, Unedited 8th Video Confirms Planned Parenthood Sells Fully Intact Aborted Babies

> Planned Parenthood Baby Parts Buyer StemExpress Wants “Another 50 Livers/Week,” Financial Benefits for Abortion Clinics

 

01/09/2015

Jubilé extraordinaire: le pape François, l'avortement, l'Année Sainte, les oeuvres de miséricorde et la Fraternité Saint-Pie X

 

Lettre du Saint-Père François au Président du Conseil Pontifical pour la Promotion de la Nouvelle Évangélisation à l'approche du Jubilé Extraordinaire de la Miséricorde

 

A mon vénéré frère
Mgr Rino Fisichella
président du Conseil pontifical
pour la promotion de la nouvelle évangélisation

L’approche du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde me permet de me concentrer sur certains points sur lesquels je considère qu’il est important d’intervenir afin de permettre que la célébration de l’Année Sainte soit pour tous les croyants un véritable moment de rencontre avec la miséricorde de Dieu. Je désire en effet que le Jubilé soit une expérience vivante de la proximité du Père, permettant presque de toucher du doigt sa tendresse, afin que la foi de chaque croyant se renforce et que le témoignage devienne ainsi toujours plus efficace.

Ma pensée va, en premier lieu, à tous les fidèles qui, dans chaque diocèse ou comme pèlerins à Rome, vivront la grâce du Jubilé. Je désire que l’indulgence jubilaire soit pour chacun une expérience authentique de la miséricorde de Dieu, qui va à la rencontre de tous avec le visage du Père qui accueille et pardonne, oubliant entièrement le péché commis. Pour vivre et obtenir l’indulgence, les fidèles sont appelés à accomplir un bref pèlerinage vers la Porte Sainte, ouverte dans chaque Cathédrale ou dans les églises établies par l’évêque diocésain, ainsi que dans les quatre basiliques papales à Rome, comme signe du désir profond de véritable conversion. De même, j’établis que l’on puisse obtenir l’indulgence dans les sanctuaires où est ouverte la Porte de la Miséricorde et dans les églises qui sont traditionnellement identifiées comme jubilaires. Il est important que ce moment soit uni, avant tout, au Sacrement de la Réconciliation et à la célébration de la sainte Eucharistie par une réflexion sur la miséricorde. Il sera nécessaire d’accompagner ces célébrations par la profession de foi et par la prière pour ma personne et pour les intentions que je porte dans mon cœur pour le bien de l’Église et du monde entier.

Je pense, en outre, à ceux qui, pour divers motifs, n’auront pas la possibilité de se rendre à la Porte Sainte, en premier lieu les malades et les personnes âgées et seules, que leurs conditions empêchent souvent de sortir de chez eux. Pour ces personnes, il sera d’une grande aide de vivre la maladie et la souffrance comme expérience de proximité au Seigneur qui, dans le mystère de sa passion, mort et résurrection, indique la voie maîtresse pour donner un sens à la douleur et à la solitude. Vivre avec foi et espérance joyeuse ce moment d’épreuve, en recevant la communion ou en participant à la Messe et à la prière communautaire, également à travers les divers moyens de communication, sera pour elles la façon d’obtenir l’indulgence jubilaire. Ma pensée va aussi aux détenus, qui font l’expérience de la restriction de leur liberté. Le Jubilé a toujours constitué l’opportunité d’une grande amnistie, destinée à toucher de nombreuses personnes qui, bien que méritant une peine, ont toutefois pris conscience de l’injustice qu’elles ont commise, et désirent sincèrement s’insérer à nouveau dans la société en apportant leur contribution honnête. Qu’à toutes ces personnes parvienne de façon concrète la miséricorde du Père qui désire être proche de ceux qui ont le plus besoin de son pardon. Dans les chapelles des prisons, elles pourront obtenir l’indulgence et, chaque fois qu’elles passeront par la porte de leur cellule, en adressant leur pensée et leur prière au Père, puisse ce geste signifier pour elles le passage de la Porte Sainte, car la miséricorde de Dieu, capable de transformer les cœurs, est également en mesure de transformer les barreaux en expérience de liberté.

J’ai demandé que l’Église redécouvre en ce temps jubilaire la richesse contenue dans les œuvres de miséricorde corporelle et spirituelle. L’expérience de la miséricorde, en effet, devient visible dans le témoignage de signes concrets comme Jésus lui-même nous l’a enseigné. Chaque fois qu’un fidèle vivra l’une ou plusieurs de ces œuvres en première personne, il obtiendra certainement l’indulgence jubilaire. D’où l’engagement à vivre de la miséricorde pour obtenir la grâce du pardon complet et total en vertu de la force de l’amour du Père qui n’exclut personne. Il s’agira donc d’une indulgence jubilaire plénière, fruit de l’événement lui-même qui est célébré et vécu avec foi, espérance et charité.

Enfin, l’indulgence jubilaire peut être obtenue également pour les défunts. Nous sommes liés à eux par le témoignage de foi et de charité qu’ils nous ont laissé. De même que nous les rappelons dans la célébration eucharistique, ainsi, nous pouvons, dans le grand mystère de la communion des Saints, prier pour eux afin que le visage miséricordieux du Père les libère de tout résidu de faute et puisse les accueillir dans ses bras, dans la béatitude qui n’a pas de fin.

L’un des graves problèmes de notre temps est sans aucun doute le changement du rapport à la vie. Une mentalité très répandue a désormais fait perdre la sensibilité personnelle et sociale adéquate à l’égard de l’accueil d’une vie nouvelle. Le drame de l’avortement est vécu par certains avec une conscience superficielle, qui semble ne pas se rendre compte du mal très grave qu’un tel acte comporte. Beaucoup d’autres, en revanche, bien que vivant ce moment comme un échec, considèrent ne pas avoir d’autres voies à parcourir. Je pense, en particulier, à toutes les femmes qui ont eu recours à l’avortement. Je connais bien les conditionnements qui les ont conduites à cette décision. Je sais qu’il s’agit d’un drame existentiel et moral. J’ai rencontré de nombreuses femmes qui portaient dans leur cœur la cicatrice de ce choix difficile et douloureux. Ce qui a eu lieu est profondément injuste; pourtant, seule sa compréhension dans sa vérité peut permettre de ne pas perdre l’espérance. Le pardon de Dieu à quiconque s’est repenti ne peut être nié, en particulier lorsqu’avec un cœur sincère, cette personne s’approche du Sacrement de la Confession pour obtenir la réconciliation avec le Père. C’est également pour cette raison que j’ai décidé, nonobstant toute chose contraire, d’accorder à tous les prêtres, pour l’Année jubilaire, la faculté d’absoudre du péché d’avortement tous ceux qui l’ont provoqué et qui, le cœur repenti, en demandent pardon. Que les prêtres se préparent à cette tâche importante en sachant unir des paroles d’authentique accueil à une réflexion qui aide à comprendre le péché commis, et indiquer un itinéraire de conversion authentique pour pouvoir obtenir le pardon véritable et généreux du Père qui renouvelle tout par sa présence.

Une dernière considération s’adresse aux fidèles qui, pour diverses raisons, désirent fréquenter les églises où les offices sont célébrés par les prêtres de la Fraternité Saint Pie X. Cette Année jubilaire de la Miséricorde n’exclut personne. Certains confrères évêques m’ont fait part en plusieurs occasions de leur bonne foi et pratique sacramentelle, unie toutefois à la difficulté de vivre une situation pastorale difficile. J’espère que dans un proche avenir, l’on pourra trouver les solutions pour retrouver une pleine communion avec les prêtres et les supérieurs de la Fraternité. Entre temps, animé par l’exigence de répondre au bien de ces frères, j’établis, par ma propre disposition, que ceux qui, au cours de l’Année Sainte de la Miséricorde, s’approcheront, pour célébrer le Sacrement de la Réconciliation, des prêtres de la Fraternité Saint Pie X recevront une absolution valide et licite de leurs péchés.

M’en remettant à l’intercession de la Mère de la Miséricorde, je confie à sa protection la préparation de ce Jubilé extraordinaire.

Du Vatican, le 1er septembre 2015.

FRANCISCUS

 

Source : Site officiel du Saint-Siège - Lettre du Saint-Père François - 1er septembre 2015

 

Les œuvres de miséricorde

 

Les sept œuvres de miséricorde corporelle :

 

1. Donner à manger à ceux qui ont faim.
2. Donner à boire à ceux qui ont soif.
3. Vêtir ceux qui sont nus.
4. Loger les pèlerins.
5. Visiter les malades.
6. Visiter les prisonniers.
7. Ensevelir les morts.

 

Les sept œuvres de miséricorde spirituelle :

 

1. Conseiller ceux qui doutent.
2. Enseigner ceux qui sont ignorants.
3. Réprimander les pécheurs.
4. Consoler les affligés.
5. Pardonner les offenses.
6. Supporter patiemment les personnes importunes.
7. Prier Dieu pour les vivants et pour les morts.

 

Compendium du Catéchisme de l’Église Catholique, "Formules de la doctrine catholique", p.198

 

 

Communiqué de la Maison générale de la Fraternité Saint-Pie X sur la lettre du pape François à l’approche de l’Année sainte

1er septembre 2015

 

La Fraternité Saint-Pie X apprend, par la presse, les dispositions que le pape François a prises à l’occasion de la prochaine Année sainte. Dans le dernier paragraphe de sa lettre adressée, ce 1er septembre 2015, à Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, le Saint-Père écrit : « J’établis, par ma propre disposition, que ceux qui, au cours de l’Année sainte de la Miséricorde, s’approcheront, pour célébrer le sacrement de la Réconciliation, des prêtres de la Fraternité Saint-Pie X recevront une absolution valide et licite de leurs péchés. »

La Fraternité Saint-Pie X exprime sa reconnaissance au Souverain Pontife pour ce geste paternel. Dans le ministère du sacrement de pénitence, elle s’est toujours appuyée, en toute certitude, sur la juridiction extraordinaire que confèrent les Normae generales du Code de droit canonique. A l’occasion de cette Année sainte, le pape François veut que tous les fidèles qui souhaitent se confesser aux prêtres de la Fraternité Saint-Pie X puissent le faire sans être inquiétés.

Lors de cette année de conversion, les prêtres de la Fraternité Saint-Pie X auront à cœur d’exercer avec une générosité renouvelée leur ministère au confessionnal, suivant l’exemple de dévouement inlassable que le saint Curé d’Ars a donné à tous les prêtres.

Menzingen, le 1er septembre 2015

 

Source : FSSPX/MG – DICI du 01/09/2015

 

Histoire de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X

Témoignage de Mgr Jacques Masson

Ami du pape Jean-Paul II, entré dans la Fraternité Saint-Pie X à sa fondation et sorti quelques années plus tard, puis incardiné à Rome par le pape Jean-Paul II

 

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 1

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 2

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 3

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 4

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 5

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 6

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 7

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 8

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 9

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 10

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 11

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 12

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 13

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 14

 

Copie sur un autre site: Témoignage de Mgr Jacques Masson

 

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 1

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 2

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 3

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 4

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 5

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 6

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 7

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 8

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 9

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 10

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 11

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 12

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 13

Histoire de la FSSPX: témoignage de Mgr Jacques Masson - 14

 

25/08/2015

Lila Rose commente le scandale 'Planned Parenthood' sur Louder with Crowder

 

 

Source : Louder with Crowder

 

20/08/2015

7ème vidéo sur le Planning familial américain: le coeur du bébé battait encore pendant le prélèvement des organes

La technicienne chargée de faire des prélèvements sur les femmes et de récupérer des organes sur des fœtus à des fins de recherche au Planning familial des Etats-Unis, Holly O’Donnell, fait de nouvelles révélations sur la 7e vidéo mise en ligne par le Center for Medical Progress. Le dernier film rapporte son témoignage sur un avortement d’un fœtus déjà très développé dont elle a vu le cœur battre au moment des prélèvements. Etait-il né vivant ? C’est ce que semble indiquer le témoignage de l’ex-employée de StemExpress, qui raconte que c’est cet événement qui lui a fait prendre la décision de quitter ce travail qui avait ainsi fini de la révulser.

 

 

C’est dans la clinique Planned Parenthood Alameda de Mar Monte à San José, Californie, que Holly a vécu cette expérience traumatisante. A la suite d’un avortement, sa collègue, Jessica, était venue la chercher pour « voir quelque chose d’assez cool ». Holly s’était trouvée confrontée avec ce qu’elle avait « jamais vu de plus proche d’un bébé entièrement développé ».

« Il avait un visage. Il n’était pas complètement déchiré. Il avait un nez très prononcé. Jessica avait un de ses instruments à la main. Elle tape sur le cœur et il commence à battre. Je regarde ce fœtus, et son cœur commence à battre. Je ne sais pas si cela fait qu’il est techniquement mort, ou en vie. » Holly est saisie, mais Jessica lui explique : « C’est vraiment un bon fœtus, on dirait que nous allons récupérer beaucoup de choses dessus. »

C’est alors que Jessica lui demande de récupérer le cerveau de l’enfant à l’aide de ciseaux, à travers son visage. « Je ne peux même pas décrire ce que cela fait. C’est à ce moment que j’ai su que je ne pouvais plus travailler pour cette société – même si c’était le moyen de guérir telle ou telle maladie. »

Au cours de cette même vidéo, le Dr Ben Van Handel, vice-président de Novogenix Laboratories, confirme que « parfois, après la procédure d’avortement, le cœur bat encore ».

Le Planning familial continue de soutenir de son côté que le prélèvement d’organes sur des bébés avortés est une « entreprise humanitaire » et qu’il n’est coupable de rien. La nouvelle vidéo ajoute pourtant des éléments de plus en plus accablants aux révélations des vidéos précédentes qui avaient montré que les procédures d’avortement sont adaptées afin de récupérer des fœtus intacts permettant de récupérer le plus grand nombre d’organes et de tissus et par conséquent les meilleurs tarifs auprès des sociétés de biotechnologie.

L’adaptation des procédures se fait finalement au détriment des femmes ; dans la vidéo, Perrin Larton, directrice de l’approvisionnement d’Advanced Bioscience Resources, raconte qu’elle a vu des femmes entrer dans la salle d’opération et en sortir au bout  de trois minutes.

Holly O’Donnell a rompu désormais avec ce monde. Elle raconte comment après les avortements, elle prenait souvent les petits corps dans les mains en se demandant quelle aurait pu être la vie de ces enfants. « J’ai le sentiment qu’on gâche des vies : c’est si triste que tant de gens les considèrent comme de simples “erreurs”… »

David Daleiden, responsable du tournage des vidéos clandestine dans les cliniques du Planning et de la mise en ligne de ces preuves et témoignages, évoque à l’occasion de cette nouvelle publication la « barbarie absolue de la pratique de l’avortement par le Planning familial » qui utilise parfois des bébés nés intacts et vivants. « Planned Parenthood est une organisation criminelle du haut en bas de son échelle, elle doit être immédiatement privée de tout argent public et poursuivie en raison de ses atrocités contre l’humanité », a-t-il déclaré.

 

Source: Jeanne Smits - La 7e vidéo du Planning familial est en ligne

Lire aussi: FC - Planning Familial/USA : une nouvelle vidéo-choc mise en ligne

14/08/2015

Une 6ème vidéo dans le scandale du Planning familial américain: le témoignage d'une ancienne employée de StemCell Inc.

 

Depuis le 14 juillet 2015, le Center for Medical Progress a publié 5 vidéos filmées en caméra cachée, qui dénoncent la réalité du trafic d'organes pratiqué par le Planning familial américain, "Planned Parenthood".

 

La sixième vidéo vient d’être publiée : c’est une interview avec une ancienne employée de StemCell Inc., chargée d’obtenir des échantillons sanguins sur les femmes qui avortent et des tissus fœtaux prélevés à la suite de l’intervention. Holly O’Donnell a quitté depuis cet emploi qui la mettait au contact des établissements du Planned Parenthood où elle était chargée de procurer les organes pour sa société. Elle devait théoriquement obtenir le consentement préalable des mères. Dans la pratique, Holly O’Donnell a pu constater que des organes étaient souvent prélevés sans que les femmes n’en sachent rien – « et elles n’avaient aucun moyen de savoir », précise-t-elle.

 

 

Une nouvelle ligne de défense du Planned Parenthood est en train de tomber avec ce témoignage : alors que les responsables des avortoirs affirment qu’ils demandent toujours le consentement des patients en vue de procurer des échantillons pour la recherche, voici une indication sérieuse selon laquelle ils ont menti. O’Donnell a travaillé pour StemCell et elle est formelle : « Non, on n’obtient pas le consentement à chaque fois. » Elle cite même le cas d’une femme qui avait expressément refusé et dont on a quand même pris le fœtus après l’avortement.

O’Donnell s’en est rendue compte en voyant une autre technicienne sortir de la chambre où la femme attendait son avortement avec des tubes de sang. « Qu’est-ce que tu lui as dit pour avoir ce sang ? », demanda Holly. Réponse : « Rien. »

Son témoignage, profondément choquant, ne s’accompagne pas comme les précédentes vidéos d’images choc d’avortements. Mais ses paroles sont glaçantes : elle explique comment le matin, les personnes représentant les sociétés, universités et autres institutions qui récupèrent les organes viennent exposer leurs demandes du jour : un fœtus de quinze semaines, tel organe en bon état… Une feuille de commande est réalisée et comparée avec les avortements programmées du jour : jusqu’à 40 par jour, dans les cliniques du Planning implantées dans des zones pauvres.

On voit ainsi des demandes de « cerveau intact ou en morceaux »… Et les travailleurs du Planning osent encore prétendre que ce qui est récupéré n’appartient pas à un être humain ?

Qu’il y ait donc « don » à chaque fois, comme le prétend le Planning, est bien douteux. L’idée est de récupérer le maximum de spécimens : « Même les tests de grossesse » sont considérés comme des sources potentielles, et Holly O’Donnell était réprimandée dès lors qu’elle ne poussait pas les femmes venues pour un avortement à passer à l’acte et à faire don des organes de leur enfant.

« Mais si on était en présence d’une gestation plus avancée, et que les techniciens en avaient besoin, il arrivait qu’ils se contentent de prendre ce qu’ils voulaient. Et ces mères ne le savent pas. Il n’y a aucun moyen pour qu’elles le sachent », explique l’ex-employée de StemCell.

Loin de se préoccuper du sort des femmes, les employées du Planning ne cherchent que le profit, accuse Holly O’Donnell.

Elle était chargée en fin de journée d’aller porter les colis avec les tissus et organes chez FedEx. Elle avoue ne jamais avoir su quoi dire lorsqu’on lui demandait ce qu’il y avait dans les boîtes qu’elle déposait. « Qu’est-ce que j’allais leur dire ? Des morceaux de bébés ? »

 

Source: Jeanne Smits - La 6e vidéo sur le trafic d’organes de bébés avortés

 

08/08/2015

Une 5ème vidéo dénonce le trafic d'organes par le Planning familial américain images à l'appui

La 5ème vidéo qui dénonce un trafic d'organes de bébés avortés par l'organisation Planned Parenthood a été publiée le 4 août 2015.

> 5th Shocking Video Catches Planned Parenthood Official Selling “Fully Intact” Aborted Babies

 

Mercredi 5 août 2015 - C’est peut-être la plus choquante des vidéos mises en ligne par le Center for Medical Progress, qui dénonce le trafic d’organes de fœtus avortés par la fédération américaine de Planning familial, sur la foi d’une enquête menée depuis 30 mois. La 5e vidéo montre des images insoutenables tournées lors de la présentation d’un fœtus de 20 semaines tandis que la directrice de la recherche du Planned Parenthood de Gulf Coast (les Etats riverains du Golfe du Mexique), Melissa Farrell, explique que les avorteurs sont parfois à même de livrer des corps « intacts » aux acheteurs pour le prélèvement d’organes et pour l’expérimentation. On y voit des images extrêmement troublantes de bras et de jambes parfaitement identifiables.

 

 

Melissa Farrell précise aux « acheteurs » – qui se présentent comme intermédiaires pour la récupération d’organes de fœtus avortés recherchés par l’industrie de la biotechnologie humaine – que les procédures d’avortement peuvent être modifiées afin de procurer des organes intacts, voire pour obtenir un corps de bébé intact.
« Ils peuvent s’organiser pour que cela se fasse. Nous tricotons cela dans le contrat, et dans notre protocole… nous nous écartons de nos normes habituelles afin de l’obtenir. (…) Certains parmi nos médecins le font de manière à obtenir les meilleurs spécimens, je sais donc que cela peut se faire. »
Lors d’un déjeuner avec l’équipe d’enquêteurs clandestins, Farrell explique que les sommes payées pour les organes et tissus de fœtus permettent d’obtenir une belle « diversification du flux de revenus » pour Planned Parenthood Gulf Coast. C’est un propos important, qui est même au cœur de cette affaire. Car s’il s’agit de l’aveu du fait que la fourniture d’organes prélevés sur des fœtus humains avortés procure un profit au Planning familial, cela donnerait plus de poids aux soupçons de trafic. Et indiquerait que Planned Parenthood se livre à des activités illégales : si la fourniture d’organes ne contrevient pas en soi à la loi fédérale, la vente, elle, est sévèrement punie.
Melissa Farrell propose dans la vidéo de facturer les organes à l’unité, en faisant varier les prix en fonction de leur qualité qui correspondrait à la nécessité pour les avorteurs de travailler de manière plus précautionneuse : « Si nous modifions notre procédure, et que nous parvenons à obtenir des cadavres fœtaux intacts, nous pouvons intégrer dans le budget » la couverture des « dissections » afin de détailler les spécimens pour des livraisons distinctes », l’entend-on dire.
Pour David Daleiden, qui est à l’origine du projet CMP, la preuve est désormais faite que le Planning familial recherche bien un profit à travers ces opérations. « Nous en sommes au cinquième responsable du Planned Parenthood qui évoque des paiements d’organes prélevés sur des bébés avortés sans faire le moindre lien avec les coûts réels de la “donation d’organes”. La conspiration étendue du Planning en vue de contourner la loi et gagner de l’argent au moyen de tissus de fœtus avortés est désormais incontestable », a-t-il déclaré.
Les dernières minutes de cette séquence d’un quart d’heure montrent comment une employée du Planning de Houston, Texas, sort d’un réfrigérateur une grande coupelle contenant les restes d’un bébé avorté à 20 semaines.

« C’était un jumeau », précise la jeune employée pendant qu’un technicien trie dans les restes pour récupérer un poumon. On voit clairement des mains et des pieds. Les employés expliquent ensuite qu’on arrive à trouver des organes « vraiment intacts », qui « sortent vraiment, vraiment bien », surtout sur les spécimens de « 20, 22 semaines ».

 

Source: Jeanne Smits - Le Planning familial américain face aux images insoutenables

 

07/08/2015

La vente d'organes par le Planning familial américain dénoncée dans une 4ème vidéo compromettante

 

 

La 4ème vidéo dénonçant un trafic d'organes par le Planning familial américain "Planned Parenthood" a été publiée par le Center for Medical Progress le 30 juillet 2015.

> 4th Video Catches Planned Parenthood VP Discussing How to Break the Law to Sell Aborted Babies

Dimanche 2 août 2015 - Au cours de la discussion qui met en scène l’acteur qui prétend acheter des organes pour un laboratoire de biotechnologie humaine et le Dr Savita Ginde, vice-présidente et directrice médicale du Planned Parenthood des Rocky Mountains, celle-ci suggère que l’objectif de l’« approvisionnement » apparaisse comme relevant de la recherche, et non l’utilisation commerciale, dans la mesure où cela apparaît comme plus « acceptable » dans la sphère publique.
Elle propose alors d’« uniformiser » le discours des différents Plannings qui se livrent à ce type d’approvisionnement et insiste pour qu’ils s’accordent à la fois sur le discours public à tenir et sur la tarification, qui aura pour motif le temps passé et le coût des opérations de prélèvement. Il est important, souligne-t-elle, que cela apparaisse comme un défraiement, et l’« acheteur » approuve, ajoutant que l’approvisionneur doit être « heureux » des tarifs proposés afin que chacun s’y retrouve.
La discussion porte également sur la qualité des organes et tissus fournis qui doivent faire l’objet d’un contrôle visuel préalable avant d’être transmis de manière à assurer leur utilité.
Les images, violentes, s’achèvent sur ces mots du laborantin qui examine froidement le cœur, les reins, les petites jambes, évidemment humaines, dont il fait le tri : « C’est encore un garçon ! »
Tout cela est si macabre et si révoltant que Planned Parenthood multiplie les lignes de défense. Avec le soutien de la Maison Blanche…
Lors d’une conférence de presse, jeudi, l’attaché de presse Josh Earnest a déclaré que les quatre vidéos mise en ligne par le Center for Medical Progress étaient « totalement inexactes ». Interrogé par un journaliste de Breitbart sur ses sources, Earnest a reconnu qu’il ne faisait « que répéter ce qu’avait dit le Planning familial », et que personne à la Maison Blanche ne les avait regardées. Surtout pas Obama. Il n’en a pas moins dénoncé les vidéos comme éléments d’une « tactique extrémiste », accusant le CMP d’avoir « tordu » le sens des propos tenus par un habile montage.
L’accusation ne tient pas une seconde, puisque l’ensemble des vidéos montées ont été mises en ligne en même temps que les rushes complets, permettant à chacun de constater que leur sens n’a pas été modifié.
Deux procédures judiciaires ont été engagées contre le CMP.
La Cour supérieure de la Californie a émis mercredi une ordonnance empêchant temporairement le CMP de mettre en ligne des vidéos montrant trois membres de la direction de StemExpress, acheteur d’organes de fœtus avortés auprès du Planning des Etats-Unis, en attendant un examen sur le fond, le 19 août.
Il faut savoir que le Planning ne nie pas le transfert d’organes vers ce type d’entreprise de biotechnologie, parfaitement légal, mais il affirme qu’il ne reçoit aucun paiement hormis la couverture des coûts du prélèvement, de la conservation et de la remise des organes fœtaux, ce qui tomberait sous le coup de la loi. C’est ce que suggèrent cependant les vidéos dont l’authenticité n’est pas niée et où l’on retire cette impression des propos mêmes des employés du Planned Parenthood tels que les vidéos permettent de les entendre.
David Daleiden a réagi en soulignant que l’ordonnance n’allait pas empêcher que l’affaire ne continue d’éclore, étant donné qu’elle vise seulement les images où les employés de StemExpress sont visibles et s’expriment – alors même que la société demandait la suppression de l’ensemble des vidéos.
Daleiden a ajouté dans une interview à CNN que la demande de StemExpress semble indiquer que cette société veut éviter à tout prix la mise en ligne d’une vidéo montrant qu’il y a des cas de récupération d’organes sur des enfants nés vivants à la suite d’un avortement raté.
« Lors d’une réunion avec les chefs de la direction, ceux-ci ont avoué qu’il leur arrive d’obtenir des fœtus intacts de la part des cliniques d’avortement avec lesquelles ils travaillent, ce qui pourrait constituer un élément de preuve de (l’utilisation) de bébés nés vivants. Et c’est pour cela qu’ils essaient de faire empêcher la publication de ces vidéos ; ils en ont très peur », a-t-il expliqué.
Dans la deuxième affaire, un juge fédéral de Californie a rendu une ordonnance, vendredi, à la demande du National Abortion Federation des Etats-Unis, pour empêcher la mise en ligne de vidéos mettant en scène des employés ou des responsables du syndicat national professionnel des avorteurs.

Le juge de district William H. Orrick de San Francisco a dit prendre cette décision en attendant de juger l’affaire au fond, lundi, au motif qu’en son absence, « la NAF risquerait de souffrir de dommages irréparables, sous forme de harcèlement, d’intimidation, de violence, de violation de la vie privée, d’atteinte à la réputation », ajoutant que sa décision a été prise « dans l’intérêt du public ».

 

Source: Jeanne Smits - Vidéos du trafic d’organes fœtaux  : 4e publication

 

La vidéo de l'entretien complet (2h 40min 53s)

 

Trafic d'organes: une 3ème vidéo à charge contre le Planning familial américain et 10 enquêtes en cours

 

14 juillet 2015 : après 30 mois d'infiltration, The Center for Medical Progress publie une première vidéo filmée le 25 juillet 2014 accusant le Planning familial américain ("Planned Parenthood", qui gère des avortoirs) de vendre des organes de bébés avortés et de pratiquer, dans certains cas, des avortements par naissance partielle pour s'assurer de récupérer ces organes intacts.

> La 1ère vidéo, publiée le 14 juillet 2015

17 juillet 2015 : la commission des affaires énergétiques et commerciales de la Chambre des représentants convoque la directrice générale des services médicaux du Planning familial, mise en cause dans la vidéo. L'organisation refuse que ce soit ce médecin qui soit auditionné et affirme rester dans le cadre de la loi, qui autorise le don d'organes de foetus pour la recherche médicale, et non leur vente. Les prix indiqués ne correspondraient qu'au dédommagement des frais médicaux et de transports.

21 juillet 2015 : deuxième vidéo, dans laquelle une responsable du Planning familial américain négocie le prix d'organes de bébés avortés.

> La 2ème vidéo, publiée le 21 juillet 2015

En l'espace de deux semaines, des membres du Congrès ainsi que neuf Etats américains annoncent avoir lancé une enquête visant l'organisation.

28 juillet 2015 : troisième vidéo. On y voit la tarification pratiquée par une société servant d'intermédiaire entre une branche régionale du Planning familial et le monde de la recherche. Le prospectus d'une société concurrente vante quant à lui les "profits" que feront les avortoirs s'ils lui fournissent des organes. Ce que confirme une jeune femme, employée six mois dans cette entreprise. Elle décrit ce que fut son travail : identifier les femmes enceintes, hospitalisées dans un avortoir du Planning familial, qui répondaient aux critères pour les commandes et récolter les organes de foetus après leur avortement.

Une autre séquence montre la vice-présidente du Planning familial des Montagnes rocheuses superviser la dissection d'un foetus et donner sa préférence pour un paiement par organe.

 

La 3ème vidéo sur le trafic d'organes par le Planning familial américain en anglais:

 

Source: Le Planning familial américain accusé par une 3ème vidéo