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01/03/2015

Avortement médicamenteux: il n'est pas trop tard pour changer d'avis !

IVG médicamenteuse: la première prise de médicament n'est pas irréversible

Si vous avez pris la première dose de mifepristone (aussi connue sous le nom de RU 486 ou pilule abortive), si vous regrettez cette décision et souhaitez neutraliser les effets de la pilule abortive, il n'est pas trop tard.

Il existe une méthode de neutralisation des effets de la pilule abortive, mais le temps y est un facteur essentiel. Appelez tout de suite un centre de neutralisation de l'avortement médicamenteux ou un gynécologue de confiance qui accepte de vous aider à garder votre enfant, afin que vous puissiez être écoutée et aidée.

Une grossesse imprévue peut effrayer et beaucoup de femmes prennent des décisions dans des conditions de stress et d'angoisse. Et après y avoir réfléchi un certain temps, beaucoup d'entre elles aimeraient changer d'avis, et elles pensent que c'est impossible.

Mais c'est possible. Il n'est peut-être pas trop tard. Appelez maintenant un centre d'aide à la grossesse ou un gynécologue de confiance pour connaître les étapes à suivre afin d'inverser le processus.

Texte traduit à partir du site nord-américain d'information sur la neutralisation des effets de la pilule abortive:

> Abortion Pill Reversal (écoute téléphonique 24h/24, 7j/7)

Contacts d'urgence en France:

> Liste des initiatives proposant de l'aide aux femmes vivant une grossesse en situation de détresse

Contacts d'urgence en Belgique:

> Centre familial Saint-Josse

> ASBL Le Souffle de Vie

 

Lire aussi:

> Comment fonctionne la pilule abortive RU 486 (texte en anglais)

 

Plus d'informations sur le même sujet:

> Reversing the abortion pill RU-486

> Have you taken the abortion pill and now change your mind ?

> Emergency abortion pill reversal kit

 

Liste d'associations qui aident les femmes vivant une grossesse en situation de détresse en France et en Belgique

Accompagner les femmes enceintes en situation de détresse à mener à terme une grossesse imprévue, aider celles qui ont eu recours à un avortement à se reconstruire… beaucoup d'associations offrent leurs services… et recrutent !

Les maisons d’accueil

Ces maisons hébergent, dans une ambiance familiale et pour des durées variables, les femmes enceintes isolées et leur nouveau-né. Des équipes de professionnels (psychologues, auxiliaires puéricultrices, éducateurs…) et de bénévoles leur apportent une aide morale, médicale et matérielle. Les jeunes femmes sont également préparées à reprendre une vie autonome après la naissance de leur enfant.

  •  Le Centre maternel Accueil Samarie accueille à Coulommiers (77) douze jeunes femmes de 14 à 21 ans, enceintes de 3 mois minimum, et jusqu’aux 3 ans de l’enfant. Tél. : 0164658930.
  • Fondées par le Pr Jérôme Lejeune, les maisons de Tom Pouce sont trois centres d’hébergement d’urgence (deux adresses confidentielles en Seine-et-Marne et une dans la Sarthe) destinés aux femmes enceintes dès les premiers mois de leur grossesse jusqu’à l’accouchement. Tél. : 0164066622 et 0243826437.
  • La Maison de Marthe et Marie est un système de colocation (à Lyon, Paris et bientôt Nantes). Dans des appartements de 6 à 10 chambres cohabitent femmes enceintes (du début de la grossesse jusqu’au 9e mois de l’enfant) et volontaires en mission. Pour être volontaire : être une femme de 25 à 35 ans et s’engager pour une durée d’un an (www.martheetmarie.fr).
  • À Ligueil, au sud de Tours, Magnificat Accueillir la Vie reçoit 7 à 8 mamans dans une maison familiale, qui repartent lorsqu’elles ont trouvé une situation stable. Tél. : 0247596307
  • À Neuilly-sur-Seine (92), le foyer El Paso tenu par les Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul dispose de dix chambres pour les futures mamans jusqu’à leur accouchement. Tél. : 0147479760.
  • Le Bercail, à Chartres (28), reçoit huit mamans, enceintes ou accompagnées de leur enfant pour une durée d’un mois renouvelable. Tél. : 0630829016.
  • La Tilma, à Vannes (56), est une grande maison divisée en 6 studios. Les femmes y sont accueillies du début de leur grossesse jusqu’au 6e mois du bébé. Tél. : 0777262823.
  • La Maison de Louise à Lyon (69) propose 3 chambres des femmes enceintes majeures, jusqu’au 3e mois de l’enfant. Tél. : 0679644573.
  • La maison « Étoile d’Espérance » à Ouzous (65) accueille 5 femmes majeures du début de leur grossesse jusqu’au 3e mois de l’enfant. Tél. : 06 88 27 91 61.
  • Ouverte à la demande de l’évêque du diocèse, la maison Bethléem à Toulon offre 9 places en studios indépendants pour futures mères majeures et autonomes financièrement. Accueil pour une durée de 6 à 12 mois. Tél. : 04 94 24 97 10.
  • La résidence Cécile et Marie-Anne à Poitiers accueille 5 femmes majeures, enceintes ou avec un enfant de moins de 3 ans, pour une durée de 6 mois renouvelables 2 fois. Tél. : 05 49 88 44 20.

Les réseaux d’écoute téléphonique

Animés par des conseillers bénévoles parmi lesquels des psychologues, des médecins ou des juristes, ces services d’écoute et de soutien téléphoniques sont généralement gratuits et garantissent l’anonymat des appelants. Certains offrent en outre une aide matérielle d’urgence pour préparer la naissance du bébé.

  • SOS futures mères – Laissez les vivre : numéro vert 0 800 868 838, 24h/24, 7j/7.
  • Mère de miséricorde : numéro vert 0 800 746 966 de 9h à 22h 7j/7.
  • Secours aux futures mères – les femmes et les enfants d’abord FEA : 01 43 41 55 65 du lundi au vendredi de 9h à 12h.
  • À Nancy, SOS futures mamans : 03 83 56 22 22, 7j/7, 24 h/24.
  • Écoute IVG : numéro vert 0 800 746 906, 7j/7 de 9 h à 23 h.
  • SOS bébé (Alliance Vita) : 01 42 47 08 67.

Guérir de la souffrance d’un avortement

Les femmes ayant eu recours à un avortement et désireuses de se reconstruire peuvent bénéficier d’entretiens individuels avec des bénévoles formés à l’accompagnement (Agapa : 01 40 45 06 36 et La Vie resplendit : 05 61 53 70 27). Elles peuvent également suivre une retraite spirituelle de 5 jours (Session Stabat) ou le temps d’un week-end avec La vigne de Rachel, sous l’égide de l’association Mère de miséricorde (0 800 746 966).

 

(Sources: diocese64/FamilleChrétienne)

En Belgique

> Centre Saint-Josse

> ASBL Le Souffle de Vie

 

29/01/2015

Face à la culture du déchet: don et gratuité

Quarante ans jour pour jour après la promulgation de la loi Veil, le Parlement s’empare une nouvelle fois de « la fin de vie ». Ce rapprochement pourrait paraître incongru à certains tant ces thèmes semblent poser des problèmes différents, l’un le « droit des femmes », l’autre le « droit de mourir dans la dignité ». Ainsi Claude Lanzmann (Le Point du 1er décembre 2014) s’oppose courageusement à l’euthanasie mais tient à souligner à quel point son refus de donner la mort ne s’applique pas à l’avortement. Il n’en est rien. L’euthanasie existe déjà en droit français, précisément depuis 40 ans. Certes le mot ne se trouve pas dans la loi Veil mais la chose, sans nul doute. En effet, celle-ci dépénalise l’avortement jusqu’à dix semaines mais en cas de malformations graves du fœtus l’autorise jusqu’au terme de la grossesse. Quel est l’argument justifiant une telle différence de traitement ? La logique euthanasique. Il s’agit de supprimer l’enfant pour « son bien » ; par « compassion ». Comment infliger à un enfant une vie handicapée ? Mieux vaut le libérer d’emblée de souffrances futures. Ainsi au commencement et au terme de la vie humaine, le même raisonnement légitime le fait de donner la mort. La mort n’est plus ce qu’il faut éviter à tout prix, la vie étant un bien à sauvegarder quel qu’en soit le coût. A la mort se substitue désormais la souffrance, physique et/ou psychique. En quoi tout cela nous révèle-t-il la manière dont notre société se représente l’homme ? Et quelle vision de l’homme de telles pratiques impliquent-elles et favorisent-elles ?

 

Leur présupposé commun est que la vie n’est pleinement humaine que si elle est prise dans un projet lui donnant un sens. La valeur d’une vie dépend de la construction dont elle est l’objet. Il faut que le matériau à partir duquel réaliser cette œuvre soit adéquat au but recherché. Mais ce matériau n’est autre que la personne dans son corps et ses diverses potentialités ? Et à certains moments, le matériau disponible peut apparaître comme incapable de réaliser le projet de vie. Lorsque la personne subit des maux qui oblitèrent ses forces d’action et de création, la vie peut apparaître comme un fardeau insupportable et désormais insensé. Le handicap, la souffrance, la grande dépendance remettent en cause le projet de vie de la personne incapable d’assumer cette passivité envahissante. A l’aune d’un tel critère, de telles conditions de vie peuvent même sembler violer sa dignité. La mort est alors envisagée comme une libération et devient l’objet d’un appel à la bienveillance d’autrui. C’est ici que se met en place le cercle des dispositions sociales influençant les mentalités et par là les attitudes, et réciproquement.

 

Le sociologue Zygmunt Bauman, fin observateur des sociétés modernes, souligne le lien fort  entre le succès du projet et le progrès des déchets (Vies perdues, la modernité et ses exclus, Payot, 2006). Le déchet est l’ombre du projet : sa présence se renforce à proportion de l’instauration de la performance comme critère d’une vie humaine réussie. Que faire de ce qui ne peut plus être mobilisé pour produire une vie réussie ? Comment gérer la baisse de la rentabilité ou comment empêcher qu’une vie s’engage dans une impasse ? L’euthanasie et l’interruption médicale de  grossesse sont deux dispositions sociales permettant une telle gestion de ce qui ne rentre pas ou plus dans le projet. Au lieu d’accueillir la passivité et d’y lire un appel à la solidarité vécue jusque dans ses marges les plus reculées, au lieu d’y discerner un révélateur de la finitude humaine, le corps handicapé et défiguré doit être retranché du monde humain.

 

Certains objecteront que de nombreuses sociétés ont reconnu voire valorisé le suicide et l’avortement, ainsi le paganisme antique, et que nous arrivons aujourd’hui au terme de la parenthèse que le christianisme  aurait été dans l’histoire de l’humanité. Le reflux de la foi chrétienne en Occident se traduirait par un retour aux standards anthropologiques. Notons cependant que ces pratiques ne sont pas comprises par leurs promoteurs comme la simple résurgence d’un fond humain ayant toujours existé. Notre époque a trop conscience de son exceptionnalité pour accepter un tel   jugement. Et de fait, la culture du déchet n’est pas vécue comme une exclusion imposée par la société à certains de ses membres.  Elle est bien plutôt envisagée comme la conséquence normale de « l’individu total » dont parle Marcel Gauchet. Car c’est au nom des droits de l’individu, de son autonomie spirituelle et éthique que la culture du déchet se met en place dans une grande indifférence. Non pas par mauvaise volonté mais en raison de son invisibilité. Le déchet est une sorte de point-aveugle du rapport constructiviste de l’individu à lui-même. La collectivité n’est là que pour apporter des supports grâce auxquels les individus peuvent se délier de leur condition humaine vécue dans ses limites et sa passivité. Lorsque celle-ci reprend le dessus, il est encore temps de s’esquiver et de se regarder soi-même comme un produit dont la date de péremption est atteinte et qu’il s’agit donc d’éliminer.

 

Si cette culture du déchet provient d’un refus de son impuissance, propre à la mentalité constructiviste, il serait bon d’envisager un autre rapport à soi : le consentement à soi-même dans tous les éléments et les stades de sa vie humaine. Un tel consentement implique une conversion du regard : se recevoir comme un don et y discerner que la vie se joue donc ultimement dans le don de soi. Pour se donner pas besoin d’être performant ; le don se moque de l’utilité et de la rentabilité. Le don est la garde de l’humanité assiégée par ses propres fantasmes de puissance. L’enfant trisomique, le grabataire et le vieillard sénile nous provoquent à une alternative radicale : déchet à retrancher ou bien figures de notre commune humanité, fragile et gratuite ?

Famille missionnaire l'Évangile de la Vie

15/12/2014

Un entretien d'embauche qui fait réfléchir

 

18/11/2014

Le Pape François dénonce une fausse compassion qui prétend justifier l'avortement et l'euthanasie

Le pape François a reçu les membres de l’Association des médecins catholiques italiens, dans la salle Paul VI, samedi dernier, 15 novembre 2014, à l’occasion des 70 ans de leur fondation.

Discours du pape François

françois, pape, férule, avortement, euthanasieBonjour !

Merci de votre présence et merci aussi pour vos vœux : que le Seigneur me prête vie et santé ! Mais cela dépend aussi des médecins, qu’ils aident le Seigneur ! Je tiens en particulier à saluer l’Assistant ecclésiastique, Mgr Edoardo Menichelli, le cardinal [Dionigi] Tettamanzi, qui fut votre premier assistant, et à adresser une pensée spéciale au cardinal Fiorenzo Angelini qui a suivi la vie de l’association pendant des décennies et qui, aujourd’hui très malade, a été hospitalisé ces jours-ci. Je remercie également le président pour les beaux vœux qu’il m’a adressés, merci.

Il ne fait aucun doute qu’aujourd’hui, grâce aux progrès scientifiques et techniques, les possibilités de guérison physique ont considérablement augmenté ; néanmoins, sous certains aspects, la capacité de « prendre soin » de la personne, surtout quand celle-ci est souffrante, fragile et sans défense, semble diminuer. En effet, les conquêtes de la science et de la médecine peuvent contribuer à améliorer la vie humaine mais à condition de ne pas s’éloigner de la racine éthique qui caractérise ces disciplines. Pour cette raison, vous, médecins catholiques, vous vous efforcez de vivre votre profession comme une mission humaine et spirituelle, comme un véritable apostolat.

L’attention envers la vie humaine, plus particulièrement celle qui souffre le plus de difficultés, autrement dit le malade, la personne âgée, l’enfant, implique profondément la mission de l’Église. Cette dernière se sent également appelée à participer au débat qui a pour objet la vie humaine, en présentant sa propre proposition fondée sur l’Évangile. Dans beaucoup d’endroits, la qualité de la vie est liée principalement aux possibilités économiques, au « bien-être », à la beauté et aux plaisirs de la vie physique, oubliant d’autres dimensions plus profondes – relationnelles, spirituelles et religieuses – de l’existence. En réalité, à la lumière de la foi et d’une juste raison, la vie humaine est toujours sacrée et toujours « de qualité ». Il n’existe pas de vie humaine plus sacrée qu’une autre : toute vie humaine est sacrée ! Tout comme il n’existe pas de vie humaine qualitativement plus significative qu’une autre, en vertu de moyens, droits, opportunités économiques et sociales plus grands.

C’est ce que vous, médecins catholiques, vous essayez d’affirmer tout d’abord par votre attitude professionnelle. Vous travaillez en témoignant par la parole et l’exemple que la vie humaine est toujours sacrée, valable et inviolable, et, comme telle, doit être aimée, défendue et soignée. Cette attitude professionnelle qui vous caractérise, enrichie par un esprit de foi, est une raison de plus pour collaborer avec tous ceux qui – même sans les mêmes perspectives religieuses ou la même ligne de pensée – reconnaissent la dignité de la personne humaine comme critère dans leur activité. En effet, si le serment d’Hippocrate vous engage à être toujours des serviteurs de la vie, l’Évangile vous pousse à aller plus loin : à l’aimer toujours et à tout moment, surtout quand celle-ci a besoin d’attentions particulières et de soins. En 70 ans d’activités dignes d’estime, c’est ainsi que les membres de votre association ont agi. Je vous exhorte à persévérer avec humilité et confiance dans cette voie, en vous efforçant de poursuivre vos objectifs statutaires qui, au plan médical et moral, incluent l’enseignement du magistère de l’Église.

La pensée dominante propose parfois une « fausse compassion » : celle qui estime que favoriser l’avortement est aider la femme, que procurer l’euthanasie est un geste digne, que « produire » un enfant considéré comme un droit au lieu de l’accueillir comme un don, est une conquête scientifique;
tout comme utiliser des vies humaines comme des cobayes de laboratoire pour, présume-t-on, en sauver d’autres. La compassion évangélique c’est au contraire accompagner au moment du besoin, c’est la compassion du Bon Samaritain, qui « voit », qui « a pitié », s’approche et offre une aide concrète (cf. Lc 10,33). Votre mission de médecins vous met quotidiennement en contact avec tant de formes de souffrance : je vous encourage à les prendre en charge comme de « bons samaritains », en veillant tout particulièrement aux personnes âgées, aux malades et aux infirmes. Être fidèle à l’Évangile de la vie et au respect de celle-ci comme don de Dieu, demande parfois des choix courageux et à contre-courant qui peuvent, dans certaines circonstances particulières, aller jusqu’à l’objection de conscience. Avec toutes les conséquences sociales que ce genre de fidélité comporte. Nous vivons une époque d’expérimentations avec la vie. Mais nous l’expérimentons mal. Fabriquer des enfants au lieu de les accueillir comme un don, vous disais-je. Jouer avec la vie. Attention, cela est un péché contre le Créateur : contre Dieu Créateur, qui a créé les choses ainsi. Que de fois, dans ma vie de prêtre, j’ai entendu des objections comme : « Mais, dis-moi, pourquoi l’Église s’oppose-t-elle à l’avortement, par exemple ? Est-ce un problème religieux ? » – « Non, non. Ce n’est pas un problème religieux » – «  Est-ce un problème philosophique ? » – « Non, non ce n’est pas un problème philosophique ». C’est un problème scientifique, car il s’agit d’une vie humaine et on ne saurait éliminer une vie humaine pour résoudre un problème. « Mais non, la pensée moderne… » – « Mais, écoute, dans la pensée antique comme dans la pensée moderne, le mot tuer veut dire la même chose! ». Et cela vaut aussi pour l’euthanasie : nous savons tous que, dans cette culture du rejet, tant de personnes âgées sont victimes d’une euthanasie cachée. Mais il y a aussi l’autre [euthanasie déclarée]. C’est comme dire à Dieu : « Non, la fin de la vie c’est moi qui la fais, comme je veux ». Un péché contre Dieu Créateur. Pensez bien à cela.

Je souhaite que les 70 années de vie de votre association puissent stimuler un autre chemin de croissance et de maturation. Puissiez-vous collaborer avec toutes les personnes et institutions qui partagent avec vous l’amour de la vie et s’emploient à la servir dans sa dignité, sa sacralité et son inviolabilité. Saint Camille de Lellis, en suggérant sa méthode la plus efficace pour soigner un malade, disait tout simplement : « Mettez plus de cœur dans ces mains ». Mettez plus de cœur dans ces mains. C’est mon vœu à moi aussi. Que la sainte Vierge, la Salus infirmorum, soutienne les bonnes intentions que vous ferez pour continuer votre action. Je vous demande, s’il vous plaît, de prier pour moi, et de tout cœur je vous donne ma bénédiction. Merci.

(Zenit via JPV)

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loi naturelle, Pichot, conférence, Bruxelles, Cercle Saint-François-de-Sales