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29/01/2015

Je veux mourir vivant: un prêtre auprès des malades du SIDA

9782353891429FS.gifPar l'abbé Hubert Lelièvre

Ed. de l’Emmanuel, Paray-le-Monial
Prix : 12 €

Aumônier d’hôpital dans les années 90, Hubert Lelièvre côtoie des personnes malades du sida pendant deux ans. Il raconte ce qu’il a vécu pendant son ministère. À cette époque, la maladie pouvait emporter le patient en quelques mois. Ce livre bouleversant est un bouquet de témoignages. Avec des mots simples et des gestes tendres, Hubert Lelièvre apporte Dieu comme il le peut. Sa mission le rend témoin de conversions surprenantes, jusque dans la famille du malade.


Points forts
  • Très facile à lire.
  • Émouvant et actuel.
  • Tout public - À mettre entre toutes les mains. - À conseiller aux personnes qui accompagnent les mourants, au personnel soignant, mais aussi aux malades eux-mêmes et à leurs proches. C’est également un livre qui pourra toucher les jeunes et étudiants en recherche de repères.

Sommaire

  • QU'EST-CE QU'UN MALADE ATTEND DU PRETRE ?
  • VOLEURS DE DIEU
  • LA POIGNEE DE PORTE
  • CHAQUE CHAMBRE D'HOPITAL EST UN SANCTUAIRE, CHAQUE LIT AU AUTEL
  • CETTE NUIT-LA, A 2H25
  • ANGELO DECOUVRE SON VISAGE PERLE DE LARMES
  • MARIANGELA
  • JE VEUX MOURIR
  • TU CROIS QUE DIEU POURRA ME PARDONNER ?

21/11/2014

Des prêtres pour demain: témoignage de l'abbé Fournié


Voir aussi:

> Des prêtres pour demain

13/11/2014

"Veilleurs dans la nuit": un film sur les moines et la vie monastique

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Qu’est ce qu’un moine ? Que fait-il ? Des images superbes dans un cadre enchanteur vous aideront à mieux connaître la vie quotidienne des moines et à découvrir la splendeur de la liturgie monastique à l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux.

Narration de Michael Lonsdale.

Ce film a reçu deux prix :

- Suite à sa programmation sur la chaîne KTO tout au long de la semaine de Noël 2009, il a été retenu et primé par le jury du Club Audiovisuel de Paris qui décerne chaque année les “Lauriers de la radio et de la télévision”.
Le 15 février 2010, dans les salons du Sénat à Paris, c’est le Nonce Apostolique en France, Mgr Luigi Ventura, qui a remis aux co-réalisateurs de ce film, Eddy Vicken et Yvon Bertorello, le “Laurier Première Œuvre — Prix Marcel-Jullian”, en présence de Dom Louis-Marie, abbé du Barroux.

- Il a d’autre part reçu le Prix du meilleur documentaire au Festival International du Film Catholique “Mirabile Dictu” http://www.mirabiledictu-icff.com qui s’est tenu à Rome du 7 au 11 juin 2010 sous le patronage du Conseil Pontifical pour la Culture.

Durée : 52 mn + bonus.

Sous-titrages en anglais, allemand, italien et espagnol (ainsi que français pour les malentendants).

 

> Acheter le DVD du film "Veilleurs dans la nuit"

 

Cette publication a été retirée, puis rétablie après avoir consulté les moines et obtenu leur accord.

05/11/2014

Un médecin avorteur raconte comment il s'est repenti

04/11/2014

L'industrie qui asservit les femmes

30/10/2014

Des prêtres pour demain

Des séminaristes étudiant à Rome témoignent du travail de la grâce de Dieu et de ses moyens pour faire fleurir les vocations sacerdotales au milieu du désert.

 

11/10/2014

La franc-maçonnerie vue de l'intérieur: « Un chemin incompatible avec la foi chrétienne »

Par Jean-Claude Bésida | Famille chrétienne | 10 octobre 2014

franc-maconnerie-franc-macon_article.jpgSerge Abad-Gallardo a été franc-maçon pendant plus de vingt ans avant de rompre et de retrouver la foi catholique. Il raconte son itinéraire dans  J’ai frappé à la porte du Temple…  (éd. Pierre Téqui). Pour  Famille Chrétienne , il lève le voile sur ce monde opaque.

Pourquoi êtes-vous entré en franc-maçonnerie et pourquoi en êtes-vous sorti ?

À un moment donné, je me suis éloigné de la foi, une foi qui n’était pas très fervente. Je suis entré en franc-maçonnerie parce que je cherchais des réponses à des questions existentielles : pourquoi suis-je en vie et en ai-je conscience ? On se pose tous les mêmes questions. La distance dans laquelle je me trouvais par rapport à la foi a facilité mon entrée en franc-maçonnerie.

Ensuite, je suppose que le Seigneur a veillé sur moi. Il y a une douzaine d’années, je suis revenu à la foi catholique par une rencontre. J’aime beaucoup l’épisode de Zachée dans l’Évangile : j’étais petit et un peu misérable, je me prenais pour un initié, mais j’ai compris que cela ne suffisait pas. J’ai cherché. Ce jour-là, j’ai saisi en fait que ce n’est pas moi qui cherchais le Christ, mais que c’était Lui qui venait vers moi.

Vous étiez catholique. Et pourtant, vous êtes entré en franc-maçonnerie ?

Oui. J’étais en recherche. Ce qui m’a conduit en franc-maçonnerie, c’est le vide existentiel. Je viens d’une famille catholique peu pratiquante. On m’a proposé d’y entrer. Je l’ai fait. Pourquoi ? Parce que je n’avais pas de repères suffisamment précis pour comprendre l’incompatibilité entre les deux chemins.

 

La franc-maçonnerie est pour l’homme le moyen d’approcher les dieux, sinon de devenir Dieu soi-même.

 

Comment sest passée votre sortie ?

Il y a une douzaine d’années, la foi m’est revenue. Cela s’est fait progressivement. Il y a trois ans, j’ai été confronté au mal de manière très précise, très virulente, d’une manière que je n’avais jamais rencontrée jusque-là. En faisant une retraite dans un monastère, j’ai eu une sorte de révélation : j’ai compris que la franc-maçonnerie ne donnait pas de réponse face au mal. Je suis ressorti de cette abbaye avec un trouble profond par rapport à ces deux chemins que j’avais en face de moi. J’ai alors commencé à me sentir de plus en plus mal en franc-maçonnerie. Je n’y avais plus ma place.

Pour qui avez-vous écrit ce livre ?

Pour les catholiques qui souhaitent savoir ce qu’est la franc-maçonnerie, et pour les francs-maçons qui se disent catholiques et qui n’ont peut-être pas conscience de leur erreur. Il faut que je parle aux catholiques pour leur expliquer l’impasse que constitue la recherche maçonnique.

Beaucoup de francs-maçons sont des gens sincères, qui cherchent mais qui cherchent dans l’erreur. Ils sont devant Baal, devant des idoles, mais ils s’imaginent qu’ils sont devant Dieu. Je témoigne, et ensuite ils feront ce qu’ils veulent. La liberté a été donnée par Dieu pour pouvoir choisir.

Au fond, la franc-maçonnerie, qu’est-ce que c’est ?

Elle a un objectif magique. Dans la Bible, saint Paul met en garde contre les magiciens. C’est d’une certaine manière l’obtention d’un pouvoir strictement humain sur des éléments qu’on ne contrôle pas et qui sont d’ordre surnaturel ! Et donc finalement, au fil des initiations et des augmentations de grade, qui sont en un sens une succession de rideaux de fumée, je dirais que c’est pour l’homme le moyen d’approcher les dieux, sinon de devenir Dieu soi-même.

On est à ce moment-là dans la gnose ! C’est-à-dire que l’on va atteindre la Connaissance par ses propres moyens et par le travail sur le symbole et le rite.

Quels gens composent la franc-maçonnerie ?

Je distinguerais trois catégories de francs-maçons.

Déjà, il y a une minorité de personnes qui sont là pour créer un réseau relationnel, politique, stratégique et professionnel. Ce qui favorise beaucoup cela, c’est le secret. Quand on croise dans une réunion un ministre ou un député franc-maçon, cela arrange les choses. Cela « arrondit les angles », comme on dit : une expression purement maçonnique.

Ensuite, vous avez une autre catégorie. Il s’agit de laïcards héritiers de la Révolution dans ce qu’elle peut avoir de plus doctrinaire. Ils estiment pouvoir apporter le bonheur à l’humanité par la science et par la laïcité pure et dure ! Ils sont purement et simplement anticléricaux et antichrétiens.

Enfin, il y a un certain nombre de personnes qui ne sont ni des arrivistes ni des laïcards, mais des gens très tolérants qui, à force de tout accepter, ne savent plus où ils sont.

En franc-maçonnerie, toutes les idées se valent. Ce sont des gens un peu perdus et qui croient trouver des réponses. Ces chercheurs relativistes cherchent dans tous les sens, mais ils n’arrivent nulle part ! C’est pour eux que j’ai écrit ce livre.

Selon vous, où est le problème avec la franc-maçonnerie ?

Lorsqu’on entre en franc-maçonnerie, on vous demande de prêter serment. Au fil des cérémonies d’initiation, puis à chaque augmentation de grades, il y a une foule de serments qui vous lient. Ceux-ci portent sur plusieurs choses, mais en particulier sur l’obéissance à la Constitution maçonnique de chaque obédience. Un de ces serments demande de se libérer de tout dogme pour chercher la vérité. Si je suis peu ou pas croyant, cela peut me convenir, parce que je n’ai pas une conscience spirituelle vraiment développée. Mais lorsque je commence à réfléchir et à entrer véritablement dans la foi, ça ne va plus.

Il faut choisir…

Les deux sont purement incompatibles ! Il y a une espèce de schizophrénie spirituelle à vouloir être à la fois chrétien et franc-maçon.

Jean-Claude Bésida

 

08/10/2014

Un étudiant en médecine s'oppose à l'endoctrinement pro-avortement du professeur et du doyen

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Un étudiant en médecine de l'Université de Barcelone dénonce l'endoctrinement abortiste dans les auditoires et les examens.

Ses parents, dont il a reçu une éducation catholique, l'ont soutenu dans son action, bien qu'ils lui aient glissé un conseil par instinct de protection: «Mais ne te crée pas de problèmes».

La majorité de ses amis ne partagent pas sa position, mais la respectent. Même sa fiancée diverge de ses convictions sur ce point.

Mais rien de tout cela, même pas la crainte de représailles académiques, n'a retenu Robert Ferrer Rivero, étudiant de 20 ans originaire de Mont-Ras (Gérone) en troisième année de médecine à l'Université de Barcelone, une université publique, de défendre ses valeurs.

Le 24 juin passé, le journal ABC a publié une lettre au directeur écrite par Robert Ferrer dans laquelle il dénonçait le fait que certains de ses professeurs "politisaient" leurs cours en endoctrinant les étudiants en faveur de l'avortement et en critiquant les réformes restrictives en faveur de la vie, faisant allusion aux changements de la loi sur l'avortement qu'avait promues le gouvernement du PP.

Mais ce n'était pas cela le plus grave. D'après ce qu'il a signalé dans sa lettre et détaillé dans son entretien avec ce journal, l'endoctrinement se traduit aussi noir sur blanc.

Il se concrétise dans les examens du cours de génétique où, selon les professeurs, les réponses correctes sont seulement celles qui indiquent la possibilité d'avorter lorsqu'une mère porte dans son ventre un bébé atteint du syndrome de Down (trisomie 21), par exemple.

Ou celles qui promeuvent les techniques de diagnostic génétique prénatal ou préimplantatoire sans laisser de marge, ou à peine, à la possibilité pour une femme de n'avorter en aucun cas lorsque son enfant est susceptible d'avoir une maladie ou une malformation grave.

Robert, qui est contre l'avortement et qui affirme que quand il sera médecin il fera appel à l'objection de conscience pour ne pas le pratiquer, ne met pas l'accent de sa critique sur le fait que les professeurs ornent leur explications de traits idéologiques. «Je comprends que chaque professeur explique à sa manière». «Moi, si j'étais professeur, je le ferais aussi», concède-t-il.

Le problème, ce qui l'a amené à écrire au journal ABC, est ce qui est arrivé avec l'examen de génétique qu'il a passé le 23 juin.

Selon son explication, plusieurs questions de l'examen, en forme de choix multiples (QCM), étaient biaisées dans le sens qu'elles admettaient comme réponses correctes uniquement celles dans lesquelles il est indiqué à la patiente d'avorter ou de se soumettre à un certain type de diagnostic génétique prénatal.

De certaines questions, il ne se rappelle pas de leur contenu exact, car il n'a pas l'examen en mains, mais par contre il en détaille une qui est particulièrement révélatrice. Dans cette question, rapporte-t-il, l'énoncé était: «Qu'indiquerais-tu à une femme qui va avoir un enfant atteint du syndrome de Down ?». Il y avait plusieurs réponses, se souvient-il, mais en éliminant celles qui étaient fausses de toute évidence (telles qu'il y en a toujours dans les questionnaires à choix multiples), il restait deux possibilités: «Je lui indiquerais de ne rien faire» ou «Je lui indiquerais l'avortement légal».

«Nous ne demandons pas ce que tu penses»

Robert a vu venir le problème. Il avait l'intuition que pour l'examinateur, l'unique réponse valide était celle qui recommandait l'avortement, et il est donc allé parler avec le professeur responsable du cours, Rafael Oliva.

«Je lui ai dit que, au minimum, les deux réponses devraient être valides, puisqu'elles étaient toutes les deux légales». Cependant, la réponse du professeur, raconte Robert, fut celle-ci: «Très bien, marque celle que tu veux, mais la seule réponse valide est de conseiller l'avortement».

«Nous ne demandons pas ce que tu penses, mais ce qui est prévu par la loi», a ajouté l'enseignant.

Devant cette position, Robert a demandé au professeur qu'il ne tienne pas compte de cette question dans le résultat de l'examen, ni d'autres questions —«5 sur un total de 70»— qui selon lui comportaient la même erreur.

Mais le professeur l'a refusé. Par conséquent, Robert a terminé l'examen sans y répondre, ce qui, d'après son calcul, lui a fait perdre un demi-point de sa note finale, qui a été un 8/10.

«Finalement j'ai eu une bonne note. Et pour cette raison certains amis m'ont conseillé de ne plus y accorder d'importance».

Mais l'étudiant a décidé de dénoncer ce procédé et d'écrire au journal ABC.


 

Le professeur Rafael Oliva (à gauche, roliva@clinic.ub.es) et le doyen Francesc Cardellach, de l'Université de Barcelone, sont des médecins qui disent qu'à la question «Qu'indiquerais-tu à une femme qui va avoir un enfant atteint du syndrome de Down?», l'unique réponse valide est «Je lui indiquerais un avortement légal».

Peu après, le 28 juin, ce journal publiait dans la même rubrique une réplique signée par le Doyen de la Faculté de Médecine de l'Université de Barcelone, Francesc Cardellach. Dans a réponse, Cardellach niait l'existence dans les auditoires de l'endoctrinement qu'avait dénoncé Robert, argumentait que comme futures médecins les étudiants devaient connaître tout l'éventail de possibilités de diagnostic et pratiques prénatales, et assurait que, dans tous les cas, toutes les options expliquées en cours étaient en accord avec la loi.

«Dans la faculté sont exposées les différentes options applicables dans le contexte légal en vigueur. (...) Cependant, puisqu'il ne peut en être autrement, la priorité est avant tout au respect absolu de la volonté du patient», signalait le doyen dans sa missive.

Sans plus de détails

Après la confrontation des lettres, ABC prit contact avec l'université pour obtenir de plus amples détails. Le journal a demandé d'avoir accès à l'examen en cause et de pouvoir parler avec le professeur mentionné par la lettre de Robert, Rafael Oliva.

L'université n'a rien concédé de cela et a renvoyé à ce qui avait été exposé dans la lettre du doyen, qui ne faisait aucune mention de l'examen en question.

Malgré tout, selon ce qu'a pu savoir ABC, au sein de l'institution académique certains considèrent que l'examen était, au moins, mal conçu. Mais les professeurs sont en général protégés par le fait qu'il n'est pas du tout fréquent qu'un étudiant expose leurs erreurs dans la presse. Ou que les journaux acceptent de donner la voix à ces plaintes sur des thèmes épineux comme l'avortement (Robert avait écrit la même lettre à un journal de Barcelone, mais jusqu'à aujourd'hui ils ne l'ont pas publiée).

(Religion en Libertad - Traduction: Espérance Nouvelle)

05/10/2014

Des jeunes témoignent en faveur de la chasteté et de la modestie

 

> Témoignages: elles ont voulu garder ou redécouvrir la mantille (liens mis à jour)

29/09/2014

Après un divorce: la fidélité, chemin vers Dieu, chemin de Dieu

divorce, fidélité, mariageUn de perdu… Dieu de retrouvé

68 pages, 8


Voici le témoignage émouvant et sincère d'une épouse divorcée qui a choisi la fidélité à son mariage. L'auteur nous raconte son parcours : la douleur de la séparation, les pressions de l’entourage pour « refaire » sa vie et enfin, la plongée dans l'amour de Dieu qui donne la grâce de pardonner et de rester fidèle.
Dans ce livre, Marie-Claire Germain évoque son histoire avec pudeur. Elle parle du cheminement de ceux et de celles qui ont décidé de rester fidèles au conjoint dont ils sont séparés.
Sans cacher sa souffrance, elle montre combien cette fidélité, humainement incompréhensible, manifeste la présence de Dieu au cœur du mariage.

  
Le divorce est une plaie, le mariage chrétien une force.

À aucun instant depuis toutes ces années, je n’ai regretté d’avoir été mariée, de l’avoir été à celui que j’ai choisi
une fois pour toutes en renonçant à tous les autres, et pour toujours… et pourtant ma vie a sa croix.

"Il ne s'agit pas de pointer du doigt et de jeter l'opprobre sur l'autre choix, celui de refaire sa vie. Mon Dieu, il faudrait être idiot pour se comporter ainsi mais un prêtre doit avoir le courage d'annoncer ce que Dieu demande, sans le contredire ou penser qu'il peut être contredit, voire pire que Dieu peut se tromper. Douter de la véracité du dogme, mettre en cause la Parole, refuser d'en annoncer l'intemporalité en arguant que les temps ont changé empêchent les fidèles d'avoir confiance et de découvrir un autre chemin auquel ils n'avaient peut-être pas pensé par eux-mêmes, celui de la fidélité au conjoint parti."

Source: Divorcée, elle est restée fidèle