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30/07/2014

Cinq éminents Cardinaux préparent un livre en défense du Magistère traditionnel sur le mariage et la vie sacramentelle: soutenez le projet

Fr. Zuhlsdorf | WDTPRS | 29 juillet 2014| Traduction: Espérance Nouvelle

remaining1-197x300.jpgUn livre de grande importance est en train de voir le jour. Il est disponible en PRÉ-COMMANDE avec une réduction substantielle. Il sera publié en octobre 2014, peu avant le prochain Synode des Évêques sur la famille.

 

Le livre, intitulé "Demeurer dans la Vérité du Christ", sera publié en plusieurs langues et puisera abondamment aux sources premières du christianisme. "J'en connais un rayon sur ce livre. Les cinq Cardinaux mentionnés dans la présentation vous plairont, lorsque leurs noms seront révélés", assure Father Zuhlsdorf.

 

Votre tâche est de pré-commander ce livre maintenant. Il faut s'assurer que l'éditeur, Ignatius, reçoive un signal encourageant de sorte que le livre soit abondamment imprimé et connaisse une très large diffusion.     CLIQUEZ ICI

 

Voici la présentation du livre:

Dans ce volume, cinq Cardinaux de l’Église et quatre autres universitaires répondent à l'appel lancé par le Cardinal Walter Kasper pour que l’Église 'harmonise' "la fidélité et la miséricorde dans sa pratique pastorale envers les personnes civilement divorcées et remariées".

Après une brève introduction, la première partie du livre est consacrée aux textes bibliques relatifs au divorce et au remariage, et la seconde partie est une étude de l'enseignement et de la pratique de l’Église primitive. Dans aucun de ces deux domaines, biblique ou patristique, ces universitaires ne trouvent des éléments en faveur du type de "tolérance" prônée par le Cardinal Kasper pour les remariages civils suite à un divorce. Ce livre examine également la pratique orientale orthodoxe de l'oikonomia (comprise comme une "miséricorde" impliquant une "tolérance") pour des cas de remariage après un divorce et dans le contexte de la question épineuse de la Communion eucharistique. Il retrace l'histoire multiséculaire de la résistance catholique à cette convention, révélant de sérieuses difficultés théologiques et canoniques inhérentes à la pratique passée et actuelle de l’Église orthodoxe.

Ainsi donc, dans la seconde partie du livre, les auteurs argumentent en faveur du maintien du principe théologique et canonique du lien intrinsèque entre la doctrine catholique traditionnelle et la discipline sacramentelle concernant le mariage et la communion.

Les diverses études de ce livre conduisent à la conclusion que la fidélité éprouvée de l’Église à la vérité du mariage constitue la fondation irrévocable de sa réponse miséricordieuse et aimante à l'individu qui est civilement divorcé et remarié. Le livre conteste par conséquent le postulat selon lequel la doctrine catholique traditionnelle et la pratique pastorale contemporaine seraient en contradiction.

" Le rôle du ministère apostolique est d'assurer la permanence de l'Eglise dans la vérité du Christ et de l'y insérer toujours plus profondément. Aussi les Pasteurs doivent-ils promouvoir le sens de la foi chez tous les fidèles, examiner et juger d'une manière autorisée l'authenticité de ses expressions, et former les fidèles à un discernement évangélique toujours plus réfléchi. "

Saint Jean-Paul II, Familiaris Consortio

 

Commandez dès maintenant. Commandez-le, puis commandez-en encore quelques exemplaires. Quand ce livre sera publié, nous voulons un torrent de copies absolument partout. Vous pouvez parier que ceux qui veulent détruire l'enseignement de l’Église et sa pratique seront actifs comme des termites pour ronger jusqu'aux fondations. Ne les laissez pas faire. Procurez de bonnes informations au plus grand nombre de personnes possible.

 

Pour commander le livre:   CLIQUEZ ICI

 

20/07/2014

Une authentique éducation affective et sexuelle, un devoir pour tous les parents

S’il te plaît parle-moi de l’amour – L'éducation affective et sexuelle de l'enfant de 3 à 12 ans

Inès Pélissié du Rausas

Préface de Xavier Lacroix

Edition Saint Paul, mai 2005

Livre-In%C3%A8s-Pellissi%C3%A9.jpgComment parler de sexualité à nos enfants ? Faut-il tout dire de l’acte sexuel, schémas à l’appui, au risque d’utiliser un vocabulaire trop technique ?

Comment, dans notre vie de famille, avoir un discours éducatif cohérent avec nos actes ? Comment assumer nos rôles respectifs de père et de mère en trouvant un langage approprié à chaque âge ?

Surinformés par l’école et les médias sur le sexe, de plus en plus de jeunes se sentent trompés. Ils attendent qu’on leur parle d’amour. Voulons-nous pour nos enfants le sexe « sans risque » ou bien l’amour vrai, qui engage deux personnes l’une envers l’autre ?

Beaucoup plus que d’une information scientifique sur la sexualité, c’est d’une éducation à l’amour dont l’enfant a besoin, qui tienne compte de sa psychologie et de l’expérience de son corps. Nous les parents, sommes les mieux placés pour la dispenser. Osons nous réapproprier cette mission : le bonheur de nos enfants est en jeu ! Qui d’autre leur parlera de l’amour, qui leur proposera une culture de vie ?

> S'il te plaît, parle-moi d'amour !

 

Sil-te-plait-Maman-346x260.jpgS’il te plaît, Maman, parle-moi de l’amour

Inès Pélissié du Rausas

Edition Saint Paul, juillet 2013

Que dire à ma fille pré-adolescente de 9 à 13 ans?

> S'il te plaît, Maman, parle-moi de l'amour

 

 

 

Papa, s’il te plaît, c’est beau, l’amour?

Inès Pélissié du Rausas

Que dire à mon fils préadolescent ?

Livre-Ines-p%C3%A8re-192x260.jpgCe livre est à destination des pères. L’auteur interpelle les papas à venir dialoguer avec leur fils, et ce, assez tôt (de 9 à 14 ans) sur la puberté masculine, la transformation du corps à l’heure de l’adolescence, sur l’identité masculine, la fécondité masculine, etc. Souvent silencieux et démuni, le père se décharge de ce rôle auprès de la mère ; devant les sollicitations et la place d’Internet dans les loisirs des enfants, la « confusion des genres » prônée dans les médias… toutes les questions de l’enfant sont ici évoquées dans un entretien d’homme à homme. C’est l’heure de responsabiliser les pères, de leur redonner leur place d’éducateur, au cœur de leur famille.

Courageux, le père n’évacue aucune impasse, conduit l’enfant à se construire dans une vision saine de la sexualité ; au cœur d’une société moderne.

Un parcours pédagogique réactualisé, truffé de témoignages. Sans vulgarité, toutes les questions sont abordées.

> Papa, s'il te plaît, c'est beau, l'amour ?

 

18/07/2014

Les origines du célibat des prêtres et la question de l'ordination des femmes

Par le Père Thierry Dejond, jésuite

Il est évident que l’ordination des Douze Apôtres, et non de Marie, Mère de Dieu, ni de Marie-Madeleine, Suzanne et autres femmes ayant suivi Jésus, n’est pas une « donnée culturelle », mais bien une « volonté divine », au sujet de laquelle toutes les Églises ont maintenu un accord unanime, jusqu’à la fin du XXème siècle.  C’est donc une idée de la « post-modernité », lancée par le Mouvement féministe, dont la philosophie est la « gender philosophy », dont la thèse, validée par l’ONU, est qu’on choisit librement d’être homme ou femme, car il ne s’agirait pas d’un donné « naturel », mais purement « culturel ».

Si les Eglises orientales ‘revenues au catholicisme’ ont accepté d’ordonner des hommes mariés (vu leur passé orthodoxe datant de 690) [ndlr : concile « in trullo »], c’est par miséricorde de l’Église catholique, qui ne voulait pas briser une tradition de cinq siècles.

Le « célibat des prêtres » dans l’Église latine n’est autre qu’une manière d’être fidèle à la « Tradition remontant aux Apôtres », et acceptée tant chez les Grecs que chez les Latins jusqu’en 690, et exigeant des Évêques, Prêtres et Diacres mariés, de renoncer, le jour de leur Ordination, à l’usage du mariage. Cette tradition apostolique s’est maintenue en Occident, tandis que l’Orient grec cédait aux décisions de l’Empereur de Byzance.

Pourtant, même en Orient, subsistent des traces évidentes de l’ancienne discipline commune: les Évêques n’ont pas le droit de vivre en mariage, jamais; les prêtres et les diacres, après le décès de leur épouse, n’ont pas le droit de se  remarier,  puisque ils ont été ordonnés. Ce qui prouve bien qu’il s’agissait d’une  tolérance, Idem, pour les  diacres mariés  en Occident, depuis le Concile Vatican II: ils ne peuvent pas se  remarier.

Cette discipline remonte aux Apôtres, dont un seul, Simon-Pierre, était certainement marié avant l’appel du Christ, mais qui répond à Jésus: « Nous qui avons tout quitté pour te suivre… », Jésus répond: « Amen, je vous le dis: personne n’aura quitté maison, femme, frères, parents ou enfants, à cause du Royaume de Dieu, qu’il ne reçoive beaucoup plus en ce temps-ci et, dans le monde à venir, la vie éternelle. » (Luc 18, 28-30). Bien d’autres textes de L’Ecriture Sainte, et de la Tradition des Pères de l’Église, confirment cette exigence de Jésus. Exigence rappelée au 1er Concile Oecuménique de Nicée en 325, canon 3; et déjà avant, dans des Conciles régionaux: Elvire (Espagne) en 304 et Ancyre (=Ankara, Turquie) en 314. Il est clair que ces canons disciplinaires de l’Église ne faisaient que « rappeler » la Tradition remontant aux  Apôtres et attestée par de nombreux  Pères de l’Église  auparavant.

Le Père Dejond est professeur de théologie dogmatique et directeur spirituel du Séminaire de Namur depuis 1994.

Source: "Pour en finir avec l'ordination des hommes mariés et des femmes"

 

> Plus d'explications sur le célibat des prêtres en Occident et en Orient

 

17:00 Publié dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0)

17/07/2014

17 juillet 2014: 75ème anniversaire du rappel à Dieu de la Vénérable María del Carmen González-Valerio

Le 17 juillet 1939 décédait en odeur de sainteté la petite Mari Carmen González-Valerio, le lendemain de la fête de Notre-Dame du Mont-Carmel, et donc aussi de sa fête à elle.

(Lettre de l'Abbaye Saint-Joseph de Clairval)

retrato-maricarmen.gifJésus, qui a voulu partager la condition de l'enfance, a toujours montré une extraordinaire affection pour les enfants. Il se plaît à leur donner des grâces de choix, comme Il l'a fait pour la servante de Dieu, María del Carmen (appelée communément Mari Carmen) González-Valerio y Sáenz de Heredia. Le 12 janvier 1996, le Saint-Père Jean-Paul II a déclaré l'héroïcité des vertus de cette enfant qui avait vécu sur terre 9 ans et 4 mois, lui décernant le titre de "Vénérable".

Mari Carmen naît à Madrid le 14 mars 1930, la seconde de cinq enfants. Elle tombe gravement malade immédiatement après sa naissance, si bien qu'on la baptise, sans plus tarder. Le Bon Dieu ne voulait pas attendre pour effacer dans son âme le péché originel, l'enrichir de sa grâce et en faire ainsi son enfant. À la suite de circonstances tout à fait imprévues, elle reçoit la Confirmation à l'âge de 2 ans, le 16 avril 1932, grâce à une initiative de Mgr Tedeschini, nonce apostolique en Espagne et ami de la famille. L'Esprit Saint avait hâte de lui donner le courage dont elle aurait besoin.

> Lire la vie de la Vénérable María del Carmen González-Valerio

Extrait publié avec l'autorisation de l'Abbaye Saint-Joseph de Clairval, requise et nécessaire pour toute reproduction complète ou partielle de la Lettre de l'Abbaye sur un site internet ou un support papier.

> Recevoir gratuitement chez soi la Lettre mensuelle de l'Abbaye Saint-Joseph de Clairval

 

> Association des Amis de la Cause de Béatification de Mari Carmen

> Carton de dévotion privée en espagnol

> Carton de dévotion privée en français

 

16/07/2014

"Priez pour la paix de Jérusalem!" supplie le père Madros, prêtre palestinien

Le père Peter Hanna Madros est un prêtre palestinien du Patriarcat latin de Jérusalem. Bien que ses propos sur la charité et la vérité puissent sembler s'adresser à certains cardinaux à propos du prochain Synode sur la famille, c'est ici à tous les fidèles catholiques qu'il s'adresse au sujet de la situation en Terre Sainte, avec une supplication aussi simple que dramatique: "Priez pour la paix de Jérusalem!"

15/07/2014

Bronzer jusqu'à l'âme: le petit livre de méditation pour l'été

Clément Anouil | L'Homme nouveau | 25 juin 2014

bronzer-jusqua-lame9.jpgAlors que la période des vacances arrivent très vite, nous avons rencontré l'abbé Guillaume de Tanoüarn, fondateur du Centre culturel Saint-Paul, à Paris. Il vient de faire paraître un petit livre au titre ambitieux qui cache de véritables pépites spirituelles. Rencontre avec un prêtre hors du commun.

 

Bronzer jusqu’à l’âme... Les vacances ne seraient-elles pas plutôt un temps de repos spirituel ?

Repos spirituel ? Vous voulez dire que pendant les vacances, on déboucle le ceinturon et on arrête tout ? Je ne crois pas que ce soit le sens des vacances. De vraies vacances nous permettent de rompre avec les sollicitations en tout genre et de nous recentrer paisiblement sur l’essentiel, ne serait-ce qu’en regardant de beaux paysages. Les vacances ? Elles sont partie intégrante de notre écosystème spirituel. C’est l’été qu’on trouve le temps de se souvenir que l’on a une âme. La formule qui sert de titre – Bronzer jusqu’à l’âme – est volontairement un peu provocatrice. Elle voudrait juste indiquer que, même si le bronzing peut être mauvais pour la santé, l’activité qui consiste à se dorer la pilule, côté pile ou côté face, peut, livre en main, comporter un risque autrement plus grand pour le confort quotidien : le risque de retrouver Dieu. « Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer au repos, dans une chambre » (Br.139), comme disait Pascal. Dans une chambre, sans doute, mais pourquoi pas au soleil ? « Dieu est le soleil de justice, dit le prophète Malachie. Dans les rayons de sa puissance, Il nous porte la guérison » (cf. Ml. 3, 20).

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Parce que j’ai pensé qu’il y avait un vide dans ce domaine : l’été est une période propice à la vie spirituelle, parce que tout le monde marque une pause, mais c’est aussi une période spirituellement négligée. Pour le Carême, il existe beaucoup de brochures, permettant de le suivre au jour le jour – dont une selon le rite extraordinaire, celle que nous avons déjà publiée cette année au Centre Saint Paul, qui est intitulée 40 Paroles d’Évangile. Pour l’été, que je sache, il n’y avait rien pour mettre dans le sac de plage. Voilà donc Bronzer jusqu’à l’âme.

À qui s’adresse-t-il ?

Il a une cible très précise, il s’adresse à ceux, jeunes et vieux, qui portent dans leur cœur l’avenir de notre Église et que j’appellerais volontiers les « tradismatiques ». Qui sont les tradismatiques ? Ceux qui, dans l’universel écroulement de la culture catholique dû à la Révolution culturelle de l’après-Concile, proviennent soit de la Fraternité Saint-Pie X, soit des Fraternités dites Ecclesia Dei, soit des différentes communautés nouvelles qui fleurissent ici et là dans notre vieille chrétienté, pour faire refleurir le vieil arbre. Une seule condition : ne pas faire d’allergie vis-à-vis du calendrier traditionnel, élargi aux nouvelles fêtes des saints, par exemple saint Maximilien Kolbe le 14 août. Chaque jour de l’été, il y a un texte de méditation et deux intentions concrètes, ce qui permet à chacun d’y trouver son compte et de lutter contre l’ennui, grande maladie des vacances.

 

Abbé Guillaume de Tanoüarn, Bronzer jusqu’à l’âme, éd. Centre Saint Paul, 306 p. 15 euros franco de port.

Les commandes sont à adresser au Centre Saint-Paul, 12, rue Saint-Joseph, 75002 Paris, par chèque à l’ordre de l’ADCC.

Le gender et la distinction sexuelle ont fait la une du "Monde de l'intelligence"

Le-Monde-de-lIntelligence-N-35-Mars-Avril-2014.jpg

Le monde de l'intelligence n°35, mars-avril 2014

Pertinence et qualité du contenus non vérifiés et non garantis. Il reste encore des numéros dans certaines librairies de presse.

13/07/2014

La nécessité du jeu dans l'éducation chrétienne

Don Bosco a toujours souhaité que ses éducateurs considèrent chaque jeune dans toutes ses dimensions. Parmi elles, le loisir et le jeu tiennent une place essentielle, d’où l’importance de la cour dans sa maison du Valdocco, à Turin.

la cour de récréationSaint Jean Bosco donna à ses jeunes la passion du travail intellectuel et manuel, le goût pour les actes religieux et la foi, mais sans mésestimer le temps des loisirs. En effet, en tant qu’éducateur de jeunes, Don Bosco ne pouvait manquer de s’intéresser à leurs loisirs, en tenant compte de l’expérience de sa propre jeunesse. Une de ses intuitions était d’ailleurs que le loisir est un temps privilégié pour la construction de la personnalité.

Quand Jean Bosco insiste sur l’importance des loisirs et des jeux, il met aussi l’accent sur la liberté qui doit, selon lui, être laissée aux jeunes : « Qu’on donne ample liberté de sauter, de courir, de crier à cœur joie. La gymnastique, la musique, la déclamation, le théâtre, les sorties, favorisent puissamment la discipline et la bonne santé, soit physique, soit morale ».

En effet, si Don Bosco avait l’expérience du jeu, il en connaissait aussi la valeur pédagogique. C’est pourquoi il accordait la première place au jeu collectif. Mais il a étendu cette notion de détente éducative à toutes les formes de loisirs : le sport bien sûr, mais sans jamais oublier la musique et le théâtre, qu’il a toujours privilégiés.

Du côté du sport, Saint Jean Bosco accordait une grande importance aux grandes promenades à pied. Celle avec 300 détenus de la prison de Turin reste historique ; mais n’oublions pas les promenades d’automne avec ses pensionnaires. Ces promenades constituaient pour lui une merveilleuse forme de détente, ainsi qu’une occasion de provoquer la confiance. Il se montre d’ailleurs un guide fort intéressant, qui avait soin de renseigner les jeunes, sans jamais les lasser, tant son art de conteur était grand. Et sur la cour du Valdocco, se déroulaient des parties mémorables où les salésiens et les éducateurs se mêlaient aux jeunes.

La musique fut une autre passion de Jean Bosco, en même temps qu’un autre moyen d’éducation. Comme tout bon Italien, il a toujours aimé le chant, mais il fit figure de précurseur quand il lança autour de 1845 ses classes de chant populaire. A cette fin, il inaugura une méthode collective, et réussit à créer une chorale, dont les prestations étaient appréciées. La musique instrumentale est également une des caractéristiques des maisons salésiennes. La fanfare était d’ailleurs l’orgueil du Valdocco.
Dans le domaine purement artistique, le théâtre constitue un autre élément important des loisirs de l’Oratoire de Turin. Saint Jean Bosco lui assignait trois buts : distraire, instruire et éduquer.

Source: Salésiens de Don Bosco

05/07/2014

Camp Spes pour les 18-30 ans du 14 au 23 août 2014 à Toulon: "Ignorer les Ecritures, c’est ignorer le Christ"

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> Camp Spes 2014: renseignements et inscriptions

> Agenda: idées chrétiennes pour cet été

Le mot "Spes" signifie "Espérance" en latin...

04/07/2014

Synode sur la famille: d'après l'enquête du Vatican, la grande majorité des catholiques ne croient plus en l'Amour

Synode sur la famille, Pape François, divorcés, remariés, Kasper, Marx, enquête

Source: Alternatives Economiques - Hors-série poche n°48 - mars 2011 - "La richesse autrement" - p.96

Commentaire d'Espérance Nouvelle:

Si l'Église catholique continue de s'obstiner à parler constamment d'Amour, et même de fidélité ce qui est le comble, elle court le risque de vivre complètement déconnectée de la réalité du monde moderne dans lequel elle vit, un monde qui par le génie indépassable de sa rationalité parfaite, a compris que le sens ultime de la vie est de maximiser son plaisir individuel en tant que sujet autonome et acteur compétent du progrès.

Les Évêques vont-ils assumer la différence chrétienne ou bien se plier aux caprices instables et illimités de l'opinion dominante ?