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Malgré le mauvais temps, les participants à la 6ème édition consécutive de la Marche pour la Vie de Bruxelles ont suivi le parcours prévu depuis le Mont des Arts jusqu'au Palais de Justice, où ils sont arrivés le sourire aux lèvres et les vêtements lourds et mouillés par l'averse.
"Pour tous ceux dont la vie est menacée au moment où ils sont les plus fragiles et les plus vulnérables, nous vous remercions d'être courageusement venus aujourd'hui, pour montrer votre attachement au respect de la vie humaine de la conception à la mort naturelle", ont déclaré les organisateurs à la foule à l'issue de la marche. Après quoi ils ont rappelé à l'assistance l'importance d'un engagement personnel et quotidien dans la défense de la vie, et de combattre "la plus grande des injustices, celle de tuer celui qui est faible et malade, ou celui qui est le plus petit et le plus innocent de tous, l'enfant dans le sein maternel." La Marche a donc été l'occasion de lancer un mouvement de mobilisation plus large, et en particulier de nombreux jeunes, qui apporteront à cet événement annuel leur contribution propre en fonction de leurs possibilités et de leurs talents.
Le renouvellement de la catéchèse à Bruxelles Présentation par le Département Grandir dans la foi
le mercredi 25 mars de 16h à 18h à la librairie l’UOPC (rue Gustave Demey, 14 – 16 à 1160 Bruxelles)
A l’attention de tous ceux qui sont intéressés par la transmission et la croissance dans la foi, pour les enfants et pour les adultes.
Si vous êtes engagé(e) dans un parcours continu de catéchèse pour les enfants et les ados, un éveil à la foi pour les plus jeunes, une formation continuée et un accompagnement pour la croissance dans la foi des adultes ou la mise sur pied de catéchèses communautaires….,
Que vous soyez impliqué(e) dans la catéchèse d’initiation avec de jeunes enfants ou dans un parcours avec des adultes : catéchuménat – groupe de partage biblique – chorale – groupe de foyers – cellule de solidarité,
Vous êtes toutes et tous les très bienvenu(e)s à la présentation du nouveau modèle catéchèse dans le Vicariat de Bruxelles.
"Une femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ? Même si elle l’oubliait, moi, je ne t’oublierai pas." Is 49,15
Lima devient la capitale mondiale de la défense de la vie et de la famille.
Il s'agit de la plus grande manifestation de l'histoire du Pérou et de l'Amérique latine.
"Cette génération est une génération forte et elle est le futur de notre pays. Le Pérou défend la vie, la famille et le mariage", a déclaré le Cardinal Juan Luis Cipriani devant la foule immense.
L'édition 2015 de la Marche pour la Vie de Lima est un immense succès, avec la participation de plus de 500 mille personnes qui ont manifesté en faveur de la vie et contre l'avortement. Elle devient ainsi la plus grande manifestation publique de l'histoire du Pérou et de l'Amérique latine.
La Marche pour la Vie, qui a lieu à Lima depuis 2002, a grandi exponentiellement jusqu'à devenir un mouvement civil organisé qui a une répercussion considérable sur la réalité péruvienne au niveau national.
A partir de 16h, des milliers de Péruviens se sont rassemblés au croisement des avenues Brasil et Javier Prado, puis ont marché avec grand enthousiasme en suivant l'avenue Brasil jusqu'à descendre par la Costa Verde jusqu'à la hauteur du district de San Miguel.
Cette manifestation citoyenne rassemble aussi différentes organisations qui s'opposent à l'avortement et célèbrent le don de la vie depuis la conception jusqu'à la mort naturelle.
Cette foule s'est donc réunie pour défendre de premier et le plus fondamental des droits, protégé par la Constitution du Pérou, le Code Civil, et le Code des Enfants et des Adolescents. "Nous sommes tous réunis pour dire Oui à la Vie. Nous promouvons la vie, et nous devons tous travailler pour la défendre", a affirmé le député Julio Rosas.
Le Pape François a envoyé ses encouragements aux participants à la Marche pour la Vie et leur a demandé de rendre courageusement témoignage et de toujours annoncer le caractère sacré de toute vie humaine. "Cette génération est une génération forte et elle est le futur de notre pays. Le Pérou défend la vie, la famille et le mariage", a déclaré le Cardinal Juan Luis Cipriani devant la foule immense.
La Marche pour la Vie Lima 2015 a également offert un grand spectacle artistique avec jeux de lumières et feux d'artifice. Elle a aussi pu compter sur la présentation du grand spectacle musical d'enfants "Yo puedo" et du groupe "Siervas", ainsi que sur la présence d'artistes invités comme William Luna, Pelo de Ambrosio, Amanda Portales, Homero del Perú, entre autres personnalités.
Par ailleurs, le soutien de la part du Pape François a été remarqué, ainsi que l'interprétation de la chanson officielle de la Marche par la chanteuse péruvienne Itala Rodríguez.
L'organisation de la Marche pour la Vie a été rendue possible par plus de 3000 jeunes volontaires, et la collaboration des municipalités, des pompiers et de la police afin de garantir la sécurité tout au long du parcours et pour le rassemblement final.
Le Pape François a été très impressionné par la réponse de plus de 250 000 personnes rassemblées pour la Marche pour la Vie de Lima en 2014 et a encouragé les Péruviens à participer activement cette année à l'édition 2015 et à défendre la vie en descendant dans les rues.
La photo du Pape François correspond à la dernière audience en date du Cardinal Juan Luis Cipriani avec le Souverain Pontife au Saint-Siège. Lors de cette rencontre, le Cardinal Cipriani lui a montré des photos de foules de la Marche pour la Vie de 2014, à quoi le Saint-Père a répondu plein de surprise: "Incroyable! Tous ces gens sont allés à la marche ?" Le Pape a demandé à tous les Péruviens de continuer à manifester dans les rues pour protéger les plus faibles, qui sont les enfants à naître.
Cette marche rassemble en effet des Péruviens qui sortent dans les rues pour défendre publiquement la vie depuis la conception jusqu'à la mort naturelle.
Lors d'une récente rencontre avec près de 3000 jeunes volontaires de la Marche pour la Vie de Lima, le Cardinal Cipriani a déclaré: "Il faut avoir le courage de sortir dans les rues et de dire à toute la société: Si vous ne voulez pas défendre la vie, nous nous sommes là, le future du monde, pour défendre la vie!"
A partir du 14 mars, le "Camion pour la Vie" a parcouru les rues de Lima avec la photo du Pape François pour inviter tout le monde à participer à la Marche pour la Vie de Lima 2015.
Pour Catherine Coutelle, députée PS et présidente de la Délégation à l'Assemblée nationale aux droits des femmes, qui a défendu la suppression du délai de réflexion pour une IVG (Cf. Synthèse Gènéthique du 19 mars 2015), estime qu'il est "un moyen de dissuasion" et qu'il "stigmatise l'avortement comme un acte médical à part". Dans sa poursuite du "toilettage" de la loi Veil, Catherine Coutelle avait aussi déposé un amendement pour supprimer la clause de conscience, avant de le retirer, à la demande de Marisol Touraine. Mme Coutelle considère l'avortement comme un "droit fondamental, sans réserve ni restriction".
Cette perception est contestée par Marianne Durano, agrégée de philosophie, qui explique qu'"aucun droit [n'est] susceptible d'aucune restriction" : le droit de propriété est limité par l'intérêt général, et le droit aux soins est limité au respect du corps d'autrui (don d'organes). Sur le délai de réflexion, elle estime que sa suppression "infantilise la femme", c'est "les penser trop inconstantes pour assumer leur décision dans le temps". L'effet de cet amendement n'est "pas de reconnaitre l'avortement comme un acte volontaire mais d'en faire une opération".
Pour le docteur Paul-Rémi Vigouroux, médecin généraliste à Nîmes, "supprimer ce délai de réflexion aura forcément des conséquences catastrophiques, car cela contribue à déresponsabiliser les femmes." "Accepter cet amendement, c’est gravement méconnaître la réalité à laquelle sont confrontées les femmes en situation de grossesse inattendue. Dans ces moments-là, elles sont en situation de faiblesse, confrontées à des questions très profondes et des inquiétudes fortes quant à leur avenir. Mais aussi, sur un plan hormonal, la grossesse, surtout au début, déstabilise la femme, qui est souvent dans une disposition d’ambivalence."
Dans le sillage du Pape François et de ses nombreux entretiens accordés à la presse séculière, Mgr Léonard a accepté d'être interrogé par le célèbre magazine français.
"Le 6 mai prochain, André-Joseph Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, primat de Belgique, aura 75 ans et enverra sa "lettre de renonciation" au Pape. L'occasion du bilan d'une vie. Dans ce grand entretien accordé à Paris Match, Mgr Léonard n'élude aucun des grands débats qui traversent l’Église. Mieux, il se livre avec beaucoup de franchise et d'humilité, conférant à ce texte un statut de véritable confession [au sens profane bien entendu; NdEspN]. Où le primat de Belgique parle de sa lassitude et de sa fatigue, de son enfance, de sa vocation, de sa mère qu'il regrette d'avoir fait pleurer, de son père qu'il n'a pas connu, de son compte en banque, de ses balades à vélo, de son goût pour la politique, s'affirmant tel un "homme de gauche". Où il parle de la Grèce, des sans-papiers, des crimes djihadistes mais aussi de la violence que peuvent receler certains textes sacrés. Sans avoir peur de ramer à contre-courant, Mgr Léonard explique, parmi bien d'autres choses, pourquoi il n'est pas Charlie."
Pour l'Assemblée nationale française, la réflexion qui précède une décision concernant l'avortement serait superflue. Les députés ont décidé de la supprimer.
Paris - 19 mars 2015. L'examen en commission des Affaires sociales du projet de loi Santé a démarré ce mardi 17 mars. Certains amendements relatifs à la "santé sexuelle et reproductive" ont d'ores et déjà été adoptés.
Pilule du lendemain
L'article 3 du projet de loi Santé a été adopté. Il lève les "restrictions existantes sur l’accès à la contraception d’urgence des élèves du second degré auprès de l’infirmerie scolaire". Les députés ont également voté un amendement à l’article 3 renforçant la coopération entre les infirmeries scolaires et les centres de planification, de sorte que les infirmiers scolaires puissent administrer une contraception d’urgence même en cas d’accessibilité à un centre de planification. Ils doivent pour cela s’assurer de l’accompagnement psychologique et du suivi médical de l’élève, en l’orientant éventuellement vers un centre.
Amendements IVG
A 2h du matin aujourd'hui, les députés ont voté un amendement supprimant le délai de réflexion de 7 jours accordé à la femme qui demande à avorter entre les deux rendez-vous médicaux. Cet amendement avait reçu un avis défavorable de Marisol Touraine pour qui la suppression du délai de réflexion n'est pas la meilleure façon de faire "progresser l'accès au droit" à l'IVG. Lors de la présentation de son programme national pour "améliorer l'accès" à l'IVG en janvier dernier (Cf. Synthèse du 19 janvier 2015), Marisol Touraine avait envisagé la réduction du délai de réflexion de 7 à 2 jours, avant d'abandonner cette piste "devant les risques de polémique". Le député UMP Arnaud Robinet a regretté le vote d'un tel amendement à une heure si tardive : "Je trouve dommage que l’on revienne sur un tel sujet à 2 heures du matin, revoir ainsi l’équilibre de la loi Veil, ce n’est pas sérieux".
Un autre amendement susceptible de créer la polémique avait été déposé par la députée PS Catherine Coutelle, présidente de la Délégation de l'Assemblée Nationale aux droits des femmes, celui de la suppression de la clause de conscience des médecins pour l'IVG. Face à l'"avis résolument défavorable" émis par Marisol Touraine, Mme Coutelle a préféré retirer son amendement.
A l'occasion de la réouverture des débats sur l'IVG, la ministre des Affaires sociales a annoncé qu'elle était favorable à la pratique des IVG sans les centres de santé. (Gènéthique/Le Monde/Quotidien du Médecin)