27/07/2013
Hommage au Roi Baudouin mercredi 31 juillet à la cathédrale
Eucharistie
Le 31 juillet 2013, nous commémorerons les 20 ans de la mort du Roi Baudouin.
« Celui qui nous a quittés, parle encore ... » He 11, 4. Un hommage sera rendu au Roi Baudouin, en la cathédrale des Saints-Michel-et-Gudule le 31 juillet à 11h en présence de la famille royale. C’est le Cardinal Danneels qui présidera la célébration.
La Schola Cantorum Cantate Domino (Alost), sous la direction de David De Geest, proposera la ‘Missa Pastoralis in G’ de Johann Baptist Vanhal (1739-1813). Attention : des cartes d’accès sont disponibles à la cure : 02/217 83 45 - 02 217 38 45 ou au bureau d’accueil de la Cathédrale – michgdl@bxl.catho.be)
Source : Vicariat de Bruxelles
Lors de la prière mariale du Regina Coeli du 4 juin 1995 à Bruxelles, Jean-Paul II lui rendait à nouveau un hommage appuyé, soulignant combien il a mené une vie « exemplaire » notamment par son engagement en faveur de toute vie humaine : « Nous te remercions aussi, Mère de la Grâce divine, pour le Roi Baudouin, pour sa foi inébranlable, pour l'exemple de vie qu'il a laіssé ses compatriotes et à toute l'Europe. Nous te remercions pour sa force dans la défense des droits de Dieu et des droits de l'homme, et spécialement du droit à la vie de l'enfant à naître. J'ai eu la joie de connaître la profondeur de l'esprit du Roi Baudouin, son exceptionnelle et ardente piété christocentrique et en même temps mariale. Comment ne pas remercier l'Esprit Saint pour ce qu'il a fait dans l'âme du Roi défunt? Quel grand exemple il nous laisse! Quel grand exemple il laisse à ses concitoyens! »
Source : Zenit
08:53 Publié dans Agenda/Événements/Horaires, Culture et société, Religion | Lien permanent | Commentaires (0)
23/07/2013
L'inclassable Benoît XVI dénonçait les jugements formalistes
* 11/7/2013 : Dans « Valeurs pour un temps de crise », un ouvrage [du Cardinal] Joseph Ratzinger, on lit à la page 71 : « La disparition des contenus conduit à son tour, jadis comme aujourd’hui, à un pur formalisme de jugement. On ne demande plus aujourd’hui ce qu’un être humain pense. On formule déjà un jugement sur ce qu’il pense dès qu’on peut classer sa pensée dans une catégorie formelle correspondante : conservateur, réactionnaire, fondamentaliste, progressiste, révolutionnaire... Le classement dans un schéma formel suffit pour rendre superflu le débat sur le contenu. » (…)
Que reprochaient [certains] cathos soixante-huitards à Benoît XVI ? Simplement d’être un pape dans la continuité. La continuité étant ce qui permet à l’Eglise de ne jamais cesser d’être elle-même, c’est-à-dire telle que le Christ a voulu qu’elle soit.
Ces cathos-là ne jugeaient Benoît XVI que sur l’extérieur: on ne les a jamais entendu parler de ses homélies, de ses catéchèses, de ses encycliques, de ses livres... bref, de sa pensée à la fois si limpide et si profonde. Pour eux, Benoît XVI était un « réac » - classement définitif dans un schéma formel - ce qui rendait donc superflu tout débat sur le contenu de sa pensée, de ses enseignements. (…)
Dommage pour ces cathos (…). S’ils s’étaient intéressés à la pensée de Joseph Ratzinger, ils eussent aimé Benoît XVI, ils eussent aimé suivre ses orientations et mettre en pratique ses conseils. Ils eussent grandi. Mais Benoît XVI était trop grand - et avec quelle humilité ! - pour les catholiques qui avaient rétréci (…) à force de re-re-recyclages visant à faire dire au concile Vatican II le contraire de ce qu’il a enseigné.
Source : Pro Liturgia
Note d’Espérance Nouvelle : ce n’est pas seulement la pensée et les enseignements de Benoît XVI qui sont trop souvent ignorés et injustement jugés par l’opinion, mais aussi son âme, sa vie, toute sa personnalité et le don qu’il a fait et qu’il fait encore de lui-même à toute l’Église et à toute l’humanité, à la suite de Jésus-Christ, le seul véritable maître. Cela, ceux qui s’arrêtent aux apparences ne le voient pas et ne le verront peut-être jamais. Malheureusement, les opinions fausses que se font beaucoup de gens sur le Souverain Pontife en se basant uniquement sur quelques apparences n’ont pas cessé, bien au contraire, avec l’accession du Pape François au Siège de Saint-Pierre, bien que ces jugements erronés semblent heureusement prendre un tour plus avantageux à son égard. Quant à cette manie de toujours classer les gens dans des catégories, elle ne ruine pas seulement la vie intellectuelle de notre société, mais aussi tous les efforts consentis pour la propagation de l’authentique foi chrétienne ainsi que pour la sauvegarde de l’unité de l’Église, entre autres.
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