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12/12/2013

Sexualité partout, amour nulle part

Liberté pour les pulsions et esclavage pour les hommes, voilà certains des fruits du libéralisme moral et économique que nos aînés nous ont légué.

Par Jonathan Dehoust, étudiant en 2ème année de sciences politiques, dans La Libre Belgique. (via Belgicatho)

Du sexe partout et pour tous

Bruxelles. Un arrêt de métro quelconque d’un jour de semaine comme un autre. Je suis sur le quai à patienter 4 minutes que l’on m’emmène à la Gare centrale et mon humeur n’est pas des meilleures. Dehors, une tempête a commencé. Impression d’avoir reçu un seau d’eau entier sur la tête. Je fais les cent pas. À côté du distributeur de sodas, il y a une affiche publicitaire : celle pour "le premier site de rencontres extraconjugales pensé par des femmes". On peut y voir une mariée en blanc, doigts croisés derrière le dos. Bref, la glorification du mensonge et de l’infidélité en plein lieu public, aux yeux de tous, même de ses enfants de divorcés à moitié drogué et/ou névrosés selon les statistiques. Tout est permis, l’éthique n’existe plus, me suis-je dit. Finies les traditions et les principes, à bas la morale. Un quart d’heure avant d’être sur ce quai, en pleine Rue Neuve, mon attention s’était portée sur une publicité pour un soutien-gorge qui illustrait une femme en lingerie fine. Un gosse lui touchait les seins à travers la vitre. Hier encore, j’entendais que Miley Cyrus s’était dénudée dans son dernier clip, acclamée par Britney Spears, la même qui avait chanté "I’m a slave for you" soit, en français, "je suis un esclave pour toi". Pendant ce temps, la FNAC proposait comme cadeau de Noël le "Journal d’une maîtresse SM", suite au succès de "50 nuances de Grey".

Du sexe. Partout. Pour tous. Sur Internet, dans le cinéma, les séries, la musique, la télévision, la politique, la mode. Omniprésent. Impossible de le rater. Si bien que le mâle hétérosexuel occidental est devenu dépendant de ce feu d'artifices quotidien de seins et de culs. L'utilisation constante de la femme en tant qu'objet de fantasme à des fins publicitaires et commerciales n'est plus un secret pour personne. C'en est devenu une normalité, même pour "La femme", elle qui se bat, avec raison, pour plus de reconnaissance dans un monde dirigé par les hommes. La crédibilité dans le combat est dès lors difficile… Elle demande une égalité dans les hauts postes administratifs dans le même temps qu’elle sert d’objet de désir dans chaque abribus.

Résultats de ce surdosage de sexe ? Un désastre. Un bouleversement sociétal digne d’un cataclysme : développement massif et précoce de l'hypersexualité – un enfant sur deux quitte l’école primaire en ayant déjà vu un porno −, promotion accrue de l'exhibitionnisme, banalisation de la pornographie extrême et machiste, renforcement des troubles et déséquilibres identitaires chez les adolescents et surtout, le pire, perte progressive et ressentie par tous du sentiment amoureux entre les hommes et les femmes. Hier, le sexe était intime, caché, privé, le résultat d'un amour partagé. Aujourd'hui, il est devenu public, omniprésent, vendeur et, de ce fait, ne peut se concilier avec la foi en l'amour sincère.

11/12/2013

Veilleurs debout 10 et 11 décembre: ne permettez pas qu'on tue les enfants !

Le combat contre l'euthanasie continue.

Ce mercredi soir, devant le Sénat:

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Les gens passent et demandent pourquoi nous sommes là. Ils repartent en nous félicitant.

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Hier soir 10 décembre:

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Les médias belges soutiennent le lobby pro-euthanasie. Mais la BBC Scotland s'inquiète de l'abandon progressif en Belgique de l'interdiction de tuer au profit d'un prétendu droit de tuer avec pour motif la souffrance:

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On doit redevenir humains

 

L'héritage de Mandela controversé

Un médecin ivoirien a attiré notre attention sur les problèmes posés par les hommages rendus à l’œuvre de Nelson Mandela par des défenseurs de la dignité humaine.


Nelson Mandela et la culture de mort

La destruction de la famille et des plus faibles

Du racisme dans le parti de Mandela ?

 

Ces informations peu connues sont bien sûr à prendre avec la même prudence que celles qui sont données par les médias dominants. Mais les ignorer pourrait induire en erreur ceux qui voudraient montrer en exemple la contribution d'un personnage célèbre au progrès de la paix et de la justice.

10/12/2013

Coke, beuh, tu crois qu'ça fait ienb ?

 

 

 

28/11/2013

Les jeunes, la mort, le sens de la vie

Témoignage recueilli dans le cadre de l'exposition "6 milliards d'autres" de Yann-Arthus Bertrand, devenue projet "7 milliards d'autres": http://www.7billionothers.org/fr

 

21/11/2013

L'idéologie du genre contre la famille

Si on prend le raisonnement des partisans du genre, et si on le mène jusqu’au bout, il s’agit bien de supprimer les liens entre les membres d’une famille.

Sur La Libre Belgique.

Maria Hildigsson, secrétaire générale de la Fafce (fédération des associations de familles catholiques en Europe)

Un enfant va toujours naître de l’union des corps de l’homme et de la femme. Donc, le milieu naturel de l’enfant est d’être élevé par son père et par sa mère. Si on prend le raisonnement des partisans de la "théorie du genre", il s’agit de permettre à tous types de relations d’êtres considérées comme une famille.

Vous avez participé lundi à une conférence-débat sur le "gender" (genre). Comment, de votre côté, définissez-vous cette théorie très à la mode ?

On peut parler de théorie alors que d’autres vont parler d’idéologie. En fait, c’est une construction purement intellectuelle. Ce sont des sociologues américains qui ont commencé à travailler sur ces idées dans les années soixante. Elles se sont ensuite répandues dans des milieux universitaires, notamment en Europe. Mais le concept va faire son entrée politique lors de la conférence mondiale sur les femmes, organisée par l’Onu, qui s’est tenue à Pékin en 1995. Il s’agit alors d’une distinction artificielle entre le sexe biologique et l’identité sexuelle. La notion de genre est liée à des représentations psychiques qui renvoient à des représentations sociales. Et donc, selon moi, il s’agit là d’une intrusion dans l’identité profonde de la personne humaine. Or, on naît dans un corps qui est sexué, homme ou femme. Et le "genre" ne reconnaît pas cette dualité et cette complémentarité.

Quelles seraient, selon votre analyse, les conséquences concrètes de cette théorie ?

Il faut d’abord savoir que le "genre" a été adopté par deux courants qui mènent à la fois une réflexion mais aussi des actions de lobbying, qui sont les féministes radicales et le mouvement LGBT (Lesbien, Gay, Bi et Transexuel). Les féministes radicales souhaitent la disparition de toute forme de domination et d’oppression de la femme en allant jusqu’à "libérer" la femme de la maternité, afin qu’il n’y ait plus aucune contrainte dans sa vie. Quant au lobby homosexuel, il veut mettre à pied égal toute forme d’expression sexuée. On assiste à un glissement sémantique de ce qu’était initialement l’égalité entre l’homme et la femme - sur le plan du travail, par exemple, qui est tout à fait une question importante - à une non-discrimination non pas fondée sur la différence sexuelle mais sur l’orientation individuelle. Enfin, on voit qu’il y a chez eux une volonté de déconstruction qui va commencer dès la plus petite enfance, au niveau de l’éducation à l’école. On peut donner l’exemple de la Suède où depuis une dizaine d’années, on assiste à l’application dans les écoles maternelles de ce qu’on appelle "la pédagogie du genre". On efface toutes les balises nécessaires à l’épanouissement des petits enfants. On traite les enfants d’une manière "neutre" sans prendre en compte s’il s’agit d’un garçon ou d’une fille, allant jusqu’à inventer un nouveau pronom neutre afin d’éviter de dire ‘il’ ou ‘elle’.

En quoi ce débat est-il d’actualité ?

Des organisations internationales, telles que l’OMS, ont publié récemment des lignes directrices sur l’éducation sexuelle. Il est recommandé par les institutions européennes et internationales que l’enfant, dès 4 ans, soit amené à la masturbation infantile. On voit bien qu’il y a une intrusion dans la sphère de l’éducation relevant en fait des parents.

En quoi cette théorie du genre menace-t-elle votre conception de la famille ?

Je l’ai dit, la famille fondée sur le mariage s’inscrit dans une complémentarité entre l’homme et la femme. Quelles que soient les prouesses de la technique, un enfant va toujours naître de l’union des corps de l’homme et de la femme. Sans ces deux composants, il n’y aura pas d’enfant. Donc, le milieu naturel de l’enfant est très généralement d’être élevé par son père et par sa mère, même si on connaît bien certaines conditions familiales qui diffèrent (Cela a toujours existé : veuvage, etc.). L’enfant a besoin de ce terreau qui est le sien. Il s’agit une fois de plus d’écologie humaine.

Mais plus précisément ?

Si on prend le raisonnement des partisans du genre, et si on le mène jusqu’au bout, il s’agit bien de supprimer les liens entre les membres d’une famille. Ils veulent permettre à tous types de relations d’êtres considérées comme une famille. Et si on replace cela dans le débat qui a lieu dans plusieurs pays sur le mariage, c’est-à-dire l’ouverture d’un droit à se marier pour deux personnes du même sexe, on voit par exemple aux Pays-Bas certains promoteurs de l’homosexualité dire que la prochaine étape sera de permettre à trois personnes - ou plus - de se marier. On ouvre vraiment des portes vers des structures dont on ne voit plus la fin, supprimant ainsi les repères pour l’enfant.

20/11/2013

Femmes de silence

Vu sur Pro Liturgia (page "actualité")

Une magnifique vidéo sur les Moniales bénédictines de Kergonan (Morbihan).

On y voit, entre autres choses édifiantes, la liturgie romaine telle qu’elle a vraiment été voulue par Vatican II [à partir de 18 minutes et 40 secondes dans la vidéo].
Merci au Moniales pour la lumière et la paix qu’elles apportent à à nos âmes et à notre monde !

16/11/2013

L'avenir du latin dans l'Église

Lu sur Pro Liturgia (section "actualité")

* 11/11/2013 : « Qu’est-ce qu’il a dit ??? »
Une anecdote : nous sommes le 11 février 2013 à Rome, dans le Palais Pontifical. Ce jour-là, après le discours de Benoît XVI, deux cardinaux s’entretiennent discrètement : « Qu’a dit le Pape ? » demande l’un. « Il dit qu’il va se retirer prochainement », répond l’autre. « Non, vous avez certainement mal compris ! » reprend le premier.
Cette anecdote a été récemment révélée à la presse vaticane par le Cardinal Gianfranco Ravasi, qui avait bel et bien compris ce qu’il avait entendu : Benoît XVI avait effectivement annoncé son retrait, mais dans la langue officielle de l’Eglise… Cette petite histoire montre bien que la langue officielle de l’Eglise – le latin – n’est plus actuellement comprise par l’ensemble des cardinaux, loin s’en faut !
Le Cardinal Ravasi, en créant la revue « Latinitas » dans le cadre de l’Académie Pontificale pour le latin, se propose de contrer cette tendance. La revue « Latinitas » est la première réalisation du grand projet porté par l’Académie Pontificale pour le latin créée par Benoit XVI. Elle comporte actuellement 21 membres et se donne pour but d’encourager la pratique de la langue officielle de l’Eglise à une époque où la connaissance du latin recule aussi bien chez les prêtres que chez les simples fidèles.
Cette nouvelle publication s’adresse en premier lieu à un public de spécialistes en présentant des études à contenu philosophique dues à d’éminents savants. En plus de ces dissertations savantes, on y trouve de la poésie contemporaine composée en latin.
Le Cardinal Ravasi en a dévoilé quelques vers sur son compte Twitter avant même la présentation officielle à la presse du 1er numéro de la revue. Il s’est dit impressionné par la réactivité des suiveurs : en l’espace de quelques secondes en effet, un abonné lui a renvoyé une traduction italienne du poème.
Une 3e partie de la revue est consacrée à un cours de latin pour assurer la transmission technique de cette langue.
L’anecdote du retrait de Benoit XVI constitue assurément une preuve spectaculaire du fait que, aujourd’hui encore, la connaissance de la langue latine peut être d’un grand intérêt dans l’Eglise catholique. Mais il y en a d’autres. On peut penser par exemple à l’affaire des écoutes de la NSA. Il paraît en effet plausible que les services secrets américains aient cherché à connaître le pape actuel avant son élection. Au cours des dernières décennies, plus d’un de ces Monsignori ont tenté de se protéger contre des auditeurs indésirables en passant tout simplement au latin ! Cela avait d’ailleurs fonctionné d’autant mieux que les espions d’alors venaient des pays de l’Est, communistes, des endroits où le fait d’apprendre le latin était vilipendé au titre d’une dérive bourgeoise.
Les tenants de l’utilisation de la langue latine sont souvent considérés aujourd’hui comme d’irrécupérables retardataires au regard de l’avenir de la culture. Ils sont soupçonnés de confondre la disparition de l’imparfait du subjonctif avec le déclin du monde occidental. C’est cette vision des choses qu’a voulu dénoncer le Cardinal Ravasi : selon lui, on est souvent trop pessimiste en ce qui concerne l’avenir de la langue latine. Il en veut pour preuve, que le Pape actuel aurait sur son compte Twitter en latin plus de suiveurs que dans d’autres langues actuellement parlées : 182 500 en latin, 154 000 en allemand par exemple. (statistiques du 8 .11.2013 à 15h)
Pour ceux qui ne se contentent pas des 140 signes d’un message Twitter, mais seraient découragés par les 200 pages de dissertation de la revue « Latinitas », il y a encore la possibilité de se reporter sur la page Internet de Radio Vatican. Chaque semaine, on peut y trouver sous le titre « Nuntii Latini » des informations sur ce qui se passe au Vatican. D’après Radio Vatican, ces pages ont un réel succès. Et celui qui se donne le mal de les traduire régulièrement, n’aura plus ensuite à s’adresser au Cardinal Ravasi pour lui demander ce que signifie la phrase prononcée le 11 février 2013 par Benoît XVI : «
Quapropter bene conscius ponderis huius actus plena libertate declaro me ministerio Episcopo Romae, Successoris Sancti Petri, mihi per manus Cardinalium die 19 aprilis MMV commissum renuntiare ita ut a die 28 februarii MMXIII, hora 20… »

Source : Kathnet. Traduction: APL/MH.

11/11/2013

Génération Benoît XVI

Ils sont trop jeunes pour être de la génération Jean-Paul II. Ils sont nés dans les années 90 ou 80, ils sont l'avenir de l'Église, et pour autant que leur courte expérience permette l'usage de ce mot, ils sont devenus adultes dans la vie comme dans la foi, la grâce de Dieu agissant, soutenus par l'affection paternelle, les encouragements et l'autorité de Sa Sainteté Benoît XVI, le Pape humble, discret, effacé et à la fois rayonnant de la lumière de la foi. À travers son exemple, son enseignement, son invitation au silence et à la prière, ils ont connu la vraie foi: la foi catholique. Il leur a fait rencontrer personnellement Celui qui en est la source : Jésus-Christ, le Seigneur, Dieu fait homme, mort et ressuscité pour leur salut. "N'ayez pas peur du Christ, il ne prend rien, il donne tout!", leur disait-il, et ils s'en souviennent.

Ils sont innombrables, ceux qui, marqués à jamais par ce Pape visionnaire qui les a éduqués et ouverts à l'amour de Dieu dans la foi sans rupture de l'Église, le portent à jamais dans leur cœur. Ils sont la génération Benoît XVI. Certain d'entre eux, voulant rendre public leur hommage, ont décidé d'écrire, chacun à leur manière, pour lui dire

MERCI Saint-Père !

 

29-47.jpggénération Benoît XVI, jeunes catholiques, jeunes cathos, Benoît XVI, avenir de l'ÉgliseBenoît XVI est vivant! Et si on en profitait ?

Merci! De la part d'une petite fille devenue grande

La grandeur de l'humilité

Merci Benoît

Très Saint-Père

Ivre, il donne "un signe de modernité"

(sur la valeur de la modernité et celle de la vérité)

C'est grâce aux écrits de Benoît XVI que j'ai choisi d'être prêtre

Merci Benoît XVI!

Merci Benoît XVI!

Livre d'or: "Merci Benoît XVI!"

MERCI BENOÎT XVI

Merci Benoît XVI!

Merci Benoît XVI

Génération Benoît 16 - (facebook)

Merci Benoît XVI - (facebook)

 

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 Continuité: Sa Sainteté Benoît XVI portant, comme ses illustres Prédécesseurs Paul VI et Jean-Paul II, le fanon papal à lignes blanches et or, symbole liturgique de la défense de la foi.

D'autres hommages à Sa Saintenté Benoît XVI:

Merci Saint-Père

Les clochards et le cardinal

Benoît XVI et les jeunes: une génération "réenchantée"

02/11/2013

Un homme digne

Oui,ça existe encore. Un homme digne.

"Les mentalités changent ces temps-ci à cause des touristes.

Celui qui n’a même pas une pièce dans sa poche, on lui dit : « Si tu cours, je te paie », alors il court. « Si tu danses, je te paie », alors il danse. S’il reçoit de l’argent, tu crois vraiment qu’il ne va pas le faire ? Moi je préfère rester au fond de ma grotte plutôt que de danser pour de l’argent. Chacun a un cerveau pour réfléchir. Moi, c’est grâce à mon travail que je vis. Alors je ne ferai jamais des bêtises pareilles. Jamais je ne trahirai la mémoire de mes ancêtres pour gagner ma vie. Je ne le ferai jamais. Jamais."