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15/11/2013

Veilleurs debout à Bruxelles: non à une médecine impersonnelle qui ampute la vie des malades

Les discussions concernant l'élargissement de la loi sur l'euthanasie en Belgique ont repris au Sénat le mercredi 9 octobre 2013.

En signe de protestation face aux projets de loi visant à élargir cette pratique aux mineurs et aux personnes démentes, les Veilleurs debout se posteront devant le Sénat belge (Place de la Nation 1, 1000 Bruxelles - en face du Parc royal, rue de la Loi):

- dimanche 17 novembre 2013 à 16h

- mardi 19 novembre 2013 à 18h30

- dimanche 24 novembre 2013 à 16h

- mardi 26 novembre 2013 à 18h30

- dimanche 1er décembre 2013 à 16h

- mardi 3 décembre 2013 à 18h30

ATTENTION

Ce n'est pas une manifestation! Les manifestations doivent obtenir un accord préalable de la police.

Nous respecterons la norme légale d'une distance minimale de 3 mètres entre chaque veilleur debout. Ainsi, nous agirons en toute légalité en évitant l'effet de rassemblement.

Merci de respecter la distance et le silence pendant toute la durée de la protestation (sauf pour parler individuellement avec les passants qui souhaitent être informés sur les projets de loi et sur la pratique de l'euthanasie dans notre pays). Si vous souhaitez discuter par après avec d'autres veilleurs debout, veuillez quitter les lieux le plus rapidement possible. Tout attroupement devant le Sénat est à proscrire absolument.

Veilleurs debout, Bruxelles, Sénat, euthanasie, mineurs, déments, euthanasiestop, Christine Defraigne, Philippe Mahoux

Toute remarque ou suggestion concernant cette initiative peut être formulée en commentaire de cet article.

Voir aussi:

Veilleurs Debout à Bruxelles: nombreux contre l'euthanasie

Euthanasie: à Bruxelles, des Veilleurs debout font barrage à la barbarie

www.euthanasiestop.be      et     www.leuthanasiejusquou.com


14/11/2013

L'Église défend un amour conjugal indissoluble et un engagement responsable, au-delà de tous les sentiments

Un document officiel a été publié à ce sujet dans l'Osservatore Romano du 23 octobre 2013.

 

UN TÉMOIGNAGE EN FAVEUR DU POUVOIR DE LA GRÂCE

SUR L’INDISSOLUBILITÉ DU MARIAGE
ET LE DÉBAT SUR LES DIVORCÉS REMARIÉS CIVILEMENT
ET LES SACREMENTS

S. Exc. Mgr Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi

 

La discussion concernant la problématique des fidèles qui ont contracté un nouveau lien civil après un divorce n’est pas nouvelle et a toujours été suivie avec un grand sérieux par l’Église dans l’intention d’aider les personnes concernées. En effet, le mariage est un sacrement qui touche de manière particulièrement profonde la réalité personnelle, sociale et historique de l’homme. En raison du nombre croissant de personnes concernées dans les pays d’antique tradition chrétienne, il s’agit d’un problème pastoral de grande portée. Aujourd’hui, des personnes tout à fait croyantes se demandent sérieusement : l’Église ne peut-elle pas permettre aux fidèles divorcés remariés d’accéder, sous certaines conditions, aux sacrements ? L’Église a-t-elle les mains liées à jamais en cette matière ? Les théologiens ont-ils vraiment déjà dégagé toutes les implications et les conséquences relatives à cet égard ?

Ces questions doivent être discutées en accord avec la doctrine catholique sur le mariage. Une pastorale responsable présuppose une théologie qui s’en remet tout entière et librement à Dieu « dans un complet hommage d’intelligence et de volonté à Dieu qui révèle et dans un assentiment volontaire à la révélation qu’il fait » (Concile Vatican II, Constitution dogmatique Dei Verbum, n. 5). Pour rendre compréhensible l’enseignement authentique de l’Église, nous devons procéder à partir de la Parole de Dieu qui est contenue dans l’Écriture Sainte, exposée dans la Tradition de l’Église et interprétée normativement par le Magistère.

Le témoignage de la Sainte Écriture

(...)

Ce furent surtout les controverses avec les pharisiens qui donnèrent à Jésus l’occasion de se confronter à ce thème. Il prit expressément ses distances d’avec la pratique vétérotestamentaire du divorce, que Moïse avait permise à cause de la « dureté de cœur » des hommes, et renvoya à la volonté originaire de Dieu : « Mais au commencement de la création, Dieu les fit homme et femme. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme ; et les deux seront une seule chair ; […] Que l’homme ne sépare donc point ce que Dieu a uni » (Mc 10, 5-9 ; cf. Mt 19, 4-9 ; Lc 16, 18). L’Église catholique, dans son enseignement et dans sa pratique, s’est constamment référée à ces paroles de Jésus sur l’indissolubilité du mariage. Le pacte qui unit intérieurement les deux conjoints est institué par Dieu lui-même. Il désigne une réalité qui vient de Dieu et n’est donc plus à la disposition des hommes.

(...)

Le témoignage de la Tradition de l’Église

Les Pères de l’Église et les conciles constituent par la suite d’importants témoignages pour l’élaboration de la position ecclésiastique. Pour les Pères, les directives bibliques sont normatives. Ils récusent les lois civiles sur le divorce comme étant incompatibles avec l’exigence de Jésus. L’Église des Pères, en obéissance à l’Évangile, a rejeté le divorce et le remariage ; sur cette question, le témoignage des Pères est sans équivoque.

À l’époque patristique, les croyants divorcés qui s’étaient remariés civilement n’étaient pas admis aux sacrements, même après un temps de pénitence. Certains textes patristiques laissent entendre que les abus n’étaient pas toujours repoussés de façon rigoureuse et que, parfois, ont été recherchées des solutions pastorales pour de très rares cas-limites.

Plus tard, surtout en raison du maillage croissant entre Église et État, on en vint à de plus grands compromis dans certaines zones. En Orient, ce développement s’est poursuivi et a conduit, surtout après la séparation d’avec la Chaire de Pierre, à une pratique toujours plus libérale. Aujourd’hui, dans les Églises orthodoxes, il existe une multitude de motifs de divorce, qui sont généralement justifiés par le renvoi à l’oikonomia, la clémence pastorale pour des cas particuliers difficiles, et ouvrent la voie à un deuxième ou à un troisième mariage à caractère pénitentiel. Cette pratique n’est pas conciliable avec la volonté de Dieu, telle qu’elle est clairement exprimée dans les paroles de Jésus sur l’indissolubilité du mariage, et cela représente un problème œcuménique qu’il ne faut pas sous-estimer.

En Occident, la réforme grégorienne a fait obstacle aux tendances de libéralisation et a reproposé la conception originelle des Écritures et des Pères. L’Église catholique a défendu l’indissolubilité absolue du mariage, même au prix de grands sacrifices et souffrances. Le schisme de « l’Église d’Angleterre », qui s’est séparée du Successeur de Pierre, n’est pas advenu à cause de différences doctrinales, mais parce que le Pape, en obéissance à la parole de Jésus, ne pouvait pas accéder à la requête d’Henri VIII en vue de l’annulation de son mariage.

Le Concile de Trente a confirmé la doctrine de l’indissolubilité du mariage sacramentel et a déclaré qu’elle correspond à l’enseignement de l’Évangile (cf. DH 1807). Parfois l’on soutient que l’Église a, de fait, toléré la pratique orientale, mais cela ne correspond pas à la vérité. Les canonistes ont toujours à nouveau parlé d’une pratique abusive, et il existe des témoignages d’après lesquels des groupes de chrétiens orthodoxes devenus catholiques durent signer une confession de foi contenant une référence explicite à l’impossibilité de deuxièmes ou de troisièmes noces.

Le Concile Vatican II a proposé une doctrine théologiquement et spirituellement profonde du mariage dans la Constitution pastorale Gaudium et spes sur l’Église dans le monde de ce temps. Il maintient clairement et distinctement l’indissolubilité du mariage. Celui-ci est entendu comme une communion corporelle et spirituelle complète de vie et d’amour entre un homme et une femme, qui se donnent et s’accueillent l’un l’autre en tant que personnes. À travers l’acte personnel et libre du « oui » réciproque, est fondée par droit divin une institution stable, qui est ordonnée au bien des époux et de leurs enfants, et qui ne dépend plus de l’arbitraire humain : « Cette union intime, don réciproque de deux personnes, non moins que le bien des enfants, exigent l’entière fidélité des époux et requièrent leur indissoluble unité » (n. 48). Au moyen du sacrement, Dieu offre aux époux une grâce spéciale : « De même en effet que Dieu prit autrefois l’initiative d’une alliance d’amour et de fidélité avec son peuple, ainsi, maintenant, le Sauveur des hommes, Époux de l’Église, vient à la rencontre des époux chrétiens par le sacrement de mariage. Il continue de demeurer avec eux pour que les époux, par leur don mutuel, puissent s’aimer dans une fidélité perpétuelle, comme lui-même a aimé l’Église et s’est livré pour elle » (ibid.). À travers le sacrement, l’indissolubilité du mariage renferme une signification nouvelle et plus profonde : elle devient l’image de l’amour constant de Dieu pour son peuple et de la fidélité irrévocable du Christ à son Église.

Il est possible de comprendre et de vivre le mariage comme sacrement uniquement dans le cadre du mystère du Christ. Si l’on sécularise le mariage ou si on le considère comme une réalité purement naturelle, l’accès à sa dimension sacramentelle demeure caché. Le mariage sacramentel appartient à l’ordre de la grâce et il est introduit dans la communion définitive d’amour du Christ avec son Église. Les chrétiens sont appelés à vivre leur mariage dans l’horizon eschatologique de la venue du Royaume de Dieu en Jésus Christ, le Verbe de Dieu incarné.

Le témoignage du Magistère à l’époque contemporaine

Le texte, aujourd’hui encore fondamental, de l’Exhortation apostolique Familiaris consortio, publiée par Jean-Paul II le 22 novembre 1981 à la suite du synode des évêques sur la famille chrétienne dans le monde contemporain, confirme avec insistance l’enseignement dogmatique de l’Église sur le mariage. Du point de vue pastoral, l’Exhortation post-synodale se soucie aussi des fidèles remariés civilement, mais qui sont encore liés par un mariage ecclésiastiquement valide. Le Pape fait preuve d’un haut degré de sollicitude et d’attention. Le n. 84 (« Les divorcés remariés ») contient les énoncés fondamentaux suivants :

  1. Les pasteurs en charge d’âmes ont l’obligation, par amour de la vérité, « de bien discerner les diverses situations ». Il n’est pas possible d’évaluer tout et tous de la même manière.
  2. Les pasteurs d’âmes et les communautés sont tenus à aider « avec une grande charité » les fidèles concernés ; eux aussi appartiennent à l’Église, ils ont droit à la sollicitude pastorale et doivent participer à la vie de l’Église.
  3. L’admission à l’Eucharistie ne peut toutefois pas leur être accordée. Pour cela, un double motif est mentionné : a) « leur état et leur condition de vie est en contradiction objective avec la communion d’amour entre le Christ et l’Église, telle qu’elle s’exprime et est rendue présente dans l’Eucharistie » ; b) « si l’on admettait ces personnes à l’Eucharistie, les fidèles seraient induits en erreur et comprendraient mal la doctrine de l’Église concernant l’indissolubilité du mariage ». Une réconciliation à travers le sacrement de la pénitence – qui ouvre la voie à la réception de l’Eucharistie – peut être accordée uniquement en cas de repentir sur ce qui a eu lieu, avec la disponibilité « à une forme de vie qui ne soit plus en contradiction avec l’indissolubilité du mariage ». Cela signifie, concrètement, que lorsqu’il n’est pas possible de mettre un terme à la nouvelle union pour des raisons sérieuses – telle que l’éducation des enfants –, les deux partenaires doivent prendre « l’engagement de vivre en complète continence ».
  4. Pour des raisons internes sacramentelles et théologiques, et non à cause d’une obligation légaliste, il est expressément interdit au clergé, tant que subsiste le premier mariage sacramentellement valide, de procéder à des « cérémonies d’aucune sorte » en faveur de divorcés qui se remarient civilement.

 

Lire la totalité de ce document sur le site officiel du Vatican.

témoignage, pouvoir de la grâce, indissolubilité du mariage

Capture d'écran sur <http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/cfaith/muller/rc_con_cfaith_20131023_divorziati-risposati-sacramenti_fr.html> le 29 septembre 2015 à 11h25

[archive de la page]

 

Un encouragement du Pape en direction des traditionalistes

C'est Elisabeth Caillemer qui le relève dans Famille Chrétienne :

Le pape François fait un geste en direction des traditionalistes

Le Saint-Père a accordé sa bénédiction apostolique à la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre, qui célèbre le vingt-cinquième anniversaire de sa fondation le samedi 16 novembre.

Le geste est symbolique. Le 28 octobre dernier, le pape François a accordé sa bénédiction apostolique à la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre, à l’occasion du vingt-cinquième anniversaire de sa fondation.

C’est la première fois, depuis son accession au trône de saint Pierre, que le Souverain Pontife fait un signe en direction des fidèles traditionalistes. Dans un courrier adressé à l’Abbé Vincent Ribeton, supérieur du district de France, par Luigi Ventura, nonce apostolique en France, le Pape François estime qu’ « en célébrant les mystères sacrés selon la forme extraordinaire du rite romain (…), [les membres de la Fraternité de Saint-Pierre] contribuent, dans la fidélité à la Tradition vivante de l’Église, à une meilleure compréhension et mise en œuvre du Concile Vatican II ». Il les exhorte « selon leur charisme propre, à prendre une part active à la mission de l’Église dans le monde d’aujourd’hui par le témoignage d’une vie sainte, d’une foi ferme et d’une charité inventive et généreuse ».

Fondée en 1988, la Fraternité Saint-Pierre est une société de prêtres attachés à la forme extraordinaire du rite romain. Elle compte plus de 400 membres à travers le monde, dont 244 prêtres et 153 séminaristes.

Une messe jubilaire sera célébrée le samedi 16 novembre à 10 heures à l’église Saint-Sulpice de Paris par l’Abbé Vincent Ribeton.

Et, dans le même ordre d'idées, "le pape soutient la forme extraordinaire" selon le cardinal Hoyos : http://www.riposte-catholique.fr/summorum-pontificum-blog...

Source: BELGICATHO.

22:00 Publié dans Pape, Religion | Lien permanent | Commentaires (0)

Veillée miséricorde et adoration du 1er vendredi du mois

Lu sur le site des Missionnaires de la miséricorde divine.

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Chaque 1er vendredi du mois, venez faire une pause spirituelle et nous rejoindre pour un temps d’adoration, de confession, de conversion dans l’église et d’invitation des passants sur le parvis.



Programme de la veillée miséricorde du 1er vendredi du mois

- messe à 18h30 avec les louveteaux, louvettes, guides, scouts et séminaristes
- complies à 19h30 après la messe
- exposition du Saint-Sacrement de 19h45 à minuit
- prédication sur la miséricorde à 21h par les Missionnaires de la miséricorde
- chapelet à 21h15 avec les Missionnaires de la miséricorde
- procession du Saint-Sacrement dans l’église et bénédiction personnelle à 22h
- confession de 21h jusqu’à minuit
- pot sur le parvis et invitation des passants à prier de 21h30 à minuit

Pendant les vacances scolaires, la date du 1er vendredi peut être décalée au 2e vendredi.

Annoncer Celui que l’on connaît

Pour annoncer le Christ avec conviction, il faut d’abord le connaître et l’aimer. Pour ceci, il est nécessaire de le rencontrer personnellement. On ne peut parler que de ce qu’on connaît. On ne connaît pas une personne si on ne la connaît que par ouï-dire. Cette rencontre avec le Christ se réalise de manière privilégiée dans l’Eucharistie. Il est là, dans sa présence personnelle, corporelle. Bien que voilé sous les apparences du pain, c’est le même Jésus qui réalise pour nous aujourd’hui ce qu’il a accomplit dans les évangiles... Celui qui a vraiment rencontré le Christ ne peut le garder pour lui-même, il doit l’annoncer.

"Cette passion ne manquera pas de susciter dans l’Église un nouvel esprit missionnaire, qui ne saurait être réservé à un groupe de « spécialistes » mais qui devra engager la responsabilité de tous les membres du peuple de Dieu. Il faut un nouvel élan apostolique qui soit vécu comme un engagement quotidien des communautés et des groupes chrétiens.


Jean-Paul II, Novo Millennio Ineunte

Pour l’évangélisation aujourd’hui, il faut que le Cœur du Christ soit reconnu comme le Cœur de l’Eglise : c’est Lui qui appelle à la conversion, à la réconciliation. C’est Lui qui entraîne sur les voies des Béatitudes les cœurs purs et les affamés de justice. C’est Lui qui réalise la communion chaleureuse des membres du Corps unique. C’est Lui qui permet d’adhérer à la Bonne Nouvelle et d’accueillir les promesses de la vie éternelle. C’est Lui qui envoie en mission… Le cœur à cœur avec Jésus élargit le cœur de l’homme aux dimensions du monde.


Jean-Paul II, Homélie pour la canonisation du P. Claude la Colombière, le 31 mai 1992

Venite adoremus - du 14 au 24 novembre 2013 - festival d'adoration eucharistique

Affiche-Venite-Adoremus-2013.jpg

www.veniteadoremus.be

Une retraite pour tous à Villars - diocèse de Belley-Ars

Lu sur le site officiel du diocèse de Belley-Ars.

arton13455-e3613.jpgDans le cadre de l’année de la Foi qui s’achève, la paroisse de Villars-les-Dombes vous propose le 17 novembre une belle journée de récollection spirituelle animée par le Père Francis Volle (CPCR).

Tous ceux qui sont allés à Chabeuil pour les exercices spirituels de St Ignace le connaisse bien et se réjouissent par avance de l’entendre. En effet c’est un prédicateur hors pair qui parle simplement et avec un contenu d’une très grande richesse. C’est très vivant, avec plein d’histoires, le geste s’alliant à la parole. Un bon prédicateur populaire, comme St François Régis, un saint de son pays natal qu’il aime beaucoup !

Pour tous les renseignements contactez vous au site de la paroisse, ce qui vous permettra d’admirer la nouvelle icône que nous venons de bénir et le service liturgique de notre belle école de servants de messe .

Une garderie sera proposée pendant l’enseignement de l’après midi. Nous cherchons des bonnes volontés pour l’animer.

Enfin, voulant faire de cette journée une journée fraternelle entre tous, j’invite les personnes et les familles à prévoir le pique nique dans les salles paroissiales.

Programme : Sur le thème « Je sais en qui j’ai cru » (2 Tm 1-12), retraite ouverte à tous prêchée par le Père Françis VOLLE, cpcr.
  • Sainte messe à 10 h à l’église de Villars,
  • pique-nique dans les salles de la Cure,
  • chapelet à 14 h 30,
  • enseignement à 15 h,
  • Salut et Bénédiction du Saint Sacrement à 17 h.

Abbé Pierre FRIESS,
curé de Villars

Interview d'un Veilleur debout à Bruxelles

Par Médias-Presse-Info. L'étudiant interrogé s'est exprimé à titre personnel.

Exclu: notre interview d’une des Sentinelles Belgique

Depuis quelques semaines, nous voyons apparaître des Sentinelles en Belgique pour s’opposer au projet de loi sur l’extension de l’euthanasie, en discussion au Sénat. L’une d’elles a accepté de répondre à nos questions. Paul Forget est étudiant en droit à l’Université Saint-Louis à Bruxelles. Nous avons abordé  le projet de loi, la création du mouvement, la réceptivité du public…

1) Tout d’abord, même si notre site a déjà abordé la question de l’euthanasie en Belgique, pourriez-vous succinctement parler du projet de loi relatif à son extension discuté au Sénat ?

Actuellement, malgré de graves problèmes éthiques dénoncés par des professionnels du droit et de la santé ainsi que des dérives – fréquentes euthanasies sans consentement, de prisonniers, de mineurs et déments – dont aucune n’ont jamais été déposées devant la justice par la commission de contrôle, il est question d’étendre la loi de 2002 (dépénalisant l’euthanasie pour les adultes), aux enfants et aux déments. Sous réserve de l’accord de médecins, un enfant pourrait obtenir la mort, avec ou sans le consentement de ses parents, ainsi qu’on le voit dans l’une des propositions de loi : http://www.senate.be/www/webdriver?MItabObj=pdf&MIcol...

2) Depuis quelques semaines, on voit apparaître des Sentinelles en Belgique. Le phénomène est-il directement inspiré des Sentinelles en France ? Avez-vous des contacts avec eux ?

Beaucoup de jeunes en Belgique ont suivi le débat français autour du mariage dit « pour tous », personnellement j’ai pu rencontrer des jeunes de France lors de l’Université d’Été pour Tous qu’ils avaient organisée, afin de voir ce qui a permis ce déclic. Quoi qu’il en soit, les nombreuses initiatives créées par les Français ont pu inspirer certains d’entre nous dans la manière de se lever pour défendre les valeurs de notre civilisation. Ainsi, il y a également eu des Veilleurs au sein de quartier européen à Bruxelles. L’essentiel du contact belgo-français s’est donc fait par les réseaux sociaux de manière indirecte.

3) L’exemple français a-t-il suscité un espoir dans les défenseurs de la vie et de la famille en Belgique ?

Certainement. Nous avons vu une masse populaire se lever comme jamais auparavant, cette France qu’une journaliste a appelé la « France bien élevée » s’est montrée déterminée. Nous espérons un réveil aussi en Belgique afin de pouvoir reconstruire dès demain ce qui a été démoli d’une manière particulièrement violente ces dernières années avec les lois sur l’avortement, le mariage, l’euthanasie, la recherche sur les embryons humains, etc.

4) La création a-t-elle été spontanée, de bouche à oreille, ou y a-t-il eu concertation ? Comment vous êtes-vous retrouvés ?

Les premières initiatives de Sentinelles étaient à quatre ou cinq amis après nous être concertés. À présent, le bouche-à-oreille a fait son œuvre et nous sommes une douzaine deux fois par semaine. Je ne connais pas la plupart des personnes présentes et de nouveaux visages apparaissent chaque fois.

5) En général, arrivez-vous à dialoguer avec les passants ? Sont-ils réceptifs à vos arguments ?

Oui, si les sondages dans la presse donnent une majorité de Belges favorables à une extension de la loi, force est de constater que les passants qui nous posent des questions (parfois des voitures s’arrêtent…) sont très majoritairement choqués que de tels projets risquent d’entrer en vigueur. Beaucoup ne sont pas au courant qu’un débat a lieu, ce qui laisse à penser qu’il n’y a pas eu suffisamment de débat public, surtout en sachant qu’aucun programme politique ne traitait de cela, lors des dernières élections…

6) Quel accueil vous réserve la presse ? A-t-elle déjà évoqué votre action ?

Il y a trois semaines, la radio publique (RTBF) était présente, il y a deux semaines, la télévision (idem). Un journaliste de Famille Chrétienne est également venu. Il n’y a pas encore eu, à ma connaissance, de publication dans ces médias.

7) En général, on remarque en Belgique un consensus sur le « mariage » homosexuel ou l’euthanasie, à quoi cela est-il dû ?

Bonne question. Comment est-il possible qu’un pays qui, pendant pratiquement toute la durée du XXe siècle, a vu défiler des premiers ministres démocrates-chrétiens soit l’un des pays les plus éloignés des valeurs judéo-chrétiennes sur le plan éthique ?

La Belgique tire ses fondements d’un principe de compromis. Ainsi, vu la diversité rencontrée à plusieurs niveaux (idéologique, linguistique, politique…), le Belge s’est accoutumé d’un centrisme d’État lié à des gouvernements de coalition qui allient démocrates-chrétiens, socialistes et libéraux.

Mais force est de constater que le compromis tend à se déplacer toujours plus, année après année, vers une conception effrayante du progrès. En 2002, il était inimaginable, y compris pour les plus virulents promoteurs de l’euthanasie, de l’étendre aux enfants ; de même, personne n’avançait l’idée d’ouvrir l’adoption aux couples homosexuels… L’un comme l’autre se sont ou seront imposés comme une évidence en culpabilisant progressivement ceux qui ne seraient pas d’accord.

8) Seuls des conflits entre partis peuvent retarder le vote de la loi, qui sans aucun doute sera votée. Votre action est donc plus un signe de protestation pour dire « non les Belges ne sont pas tous d’accord » ?

Exactement. L’action a une mesure hautement symbolique. Il ne s’agit d’ailleurs pas d’une manifestation, qui sont interdites devant le Sénat et la zone autour du Parc Royal et du Palais (d’où une intervention musclée de la police il y a quinze jours, lorsque la télévision était présente). En conscience, nous ne pouvons rester silencieux, entende qui voudra entendre…

Nous remercions Paul Forget d’avoir répondu à nos questions. Vous pouvez retrouver sa page About.me  ou son profil twitter.

12/11/2013

Divorcés-remariés: l'Église réaffirme l'indissolubilité du mariage

Lu sur Pro Liturgia (page "actualité")

* 12/11/2013 : Il y a quelques temps, Mgr Robert Zollitsch, Archevêque de Fribourg-en-Brisgau et Président de la Conférence des évêques d’Allemagne, a fait publier dans son diocèse un document pastoral en faveur de l’accueil des « divorcés-remariés ». En clair, Mgr Zollitsch souhaitait que les divorcés puissent être admis à la communion eucharistique et puissent se remarier religieusement.
Mgr Müller, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, a adressé à Mgr Zollitsch
un courrier dans lequel il est demandé à l’Archevêque de Fribourg de réviser son propos. Selon Mgr Müller, la terminologie employée par Mgr Zollistch n’est ni claire ni en harmonie avec les enseignements de l’Eglise sur le sacrement du mariage.
De plus, le Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a estimé nécessaire d’envoyer à tous les évêques d’Allemagne une copie du courrier qu’il avait adressé à Mgr Zollitsch.


Note d'Espérance Nouvelle: cet article ne parle pas de la situation particulière des personnes qui ont subi le départ de leur conjoint sans jamais avoir demandé le divorce.

Les personnes qui se sont mariées à l'église sont toujours considérées comme des époux, même après une procédure civile de divorce. Le divorce n'existe pas dans l'Église.

11/11/2013

Génération Benoît XVI

Ils sont trop jeunes pour être de la génération Jean-Paul II. Ils sont nés dans les années 90 ou 80, ils sont l'avenir de l'Église, et pour autant que leur courte expérience permette l'usage de ce mot, ils sont devenus adultes dans la vie comme dans la foi, la grâce de Dieu agissant, soutenus par l'affection paternelle, les encouragements et l'autorité de Sa Sainteté Benoît XVI, le Pape humble, discret, effacé et à la fois rayonnant de la lumière de la foi. À travers son exemple, son enseignement, son invitation au silence et à la prière, ils ont connu la vraie foi: la foi catholique. Il leur a fait rencontrer personnellement Celui qui en est la source : Jésus-Christ, le Seigneur, Dieu fait homme, mort et ressuscité pour leur salut. "N'ayez pas peur du Christ, il ne prend rien, il donne tout!", leur disait-il, et ils s'en souviennent.

Ils sont innombrables, ceux qui, marqués à jamais par ce Pape visionnaire qui les a éduqués et ouverts à l'amour de Dieu dans la foi sans rupture de l'Église, le portent à jamais dans leur cœur. Ils sont la génération Benoît XVI. Certain d'entre eux, voulant rendre public leur hommage, ont décidé d'écrire, chacun à leur manière, pour lui dire

MERCI Saint-Père !

 

29-47.jpggénération Benoît XVI, jeunes catholiques, jeunes cathos, Benoît XVI, avenir de l'ÉgliseBenoît XVI est vivant! Et si on en profitait ?

Merci! De la part d'une petite fille devenue grande

La grandeur de l'humilité

Merci Benoît

Très Saint-Père

Ivre, il donne "un signe de modernité"

(sur la valeur de la modernité et celle de la vérité)

C'est grâce aux écrits de Benoît XVI que j'ai choisi d'être prêtre

Merci Benoît XVI!

Merci Benoît XVI!

Livre d'or: "Merci Benoît XVI!"

MERCI BENOÎT XVI

Merci Benoît XVI!

Merci Benoît XVI

Génération Benoît 16 - (facebook)

Merci Benoît XVI - (facebook)

 

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 Continuité: Sa Sainteté Benoît XVI portant, comme ses illustres Prédécesseurs Paul VI et Jean-Paul II, le fanon papal à lignes blanches et or, symbole liturgique de la défense de la foi.

D'autres hommages à Sa Saintenté Benoît XVI:

Merci Saint-Père

Les clochards et le cardinal

Benoît XVI et les jeunes: une génération "réenchantée"

11 novembre, Saint Martin de Tours

Lecture brève de l'office des laudes dans la forme ordinaire de la Liturgie des Heures pour la fête de Saint Martin de Tours, évêque et confesseur: He 13,7-9a.

 

He 13:7- Souvenez-vous de vos chefs, eux qui vous ont fait entendre la Parole de Dieu, et, considérant l'issue de leur carrière, imitez leur foi.
He 13:8- Jésus Christ est le même hier et aujourd'hui, il le sera à jamais.
He 13:9- Ne vous laissez pas égarer par des doctrines diverses et étrangères.

10:17 Publié dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0)