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22/03/2015

Le Pape François a apporté son soutien personnel à la Marche pour la Vie de Lima

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Le Pape François a été très impressionné par la réponse de plus de 250 000 personnes rassemblées pour la Marche pour la Vie de Lima en 2014 et a encouragé les Péruviens à participer activement cette année à l'édition 2015 et à défendre la vie en descendant dans les rues.

La photo du Pape François correspond à la dernière audience en date du Cardinal Juan Luis Cipriani avec le Souverain Pontife au Saint-Siège. Lors de cette rencontre, le Cardinal Cipriani lui a montré des photos de foules de la Marche pour la Vie de 2014, à quoi le Saint-Père a répondu plein de surprise: "Incroyable! Tous ces gens sont allés à la marche ?" Le Pape a demandé à tous les Péruviens de continuer à manifester dans les rues pour protéger les plus faibles, qui sont les enfants à naître.

Cette marche rassemble en effet des Péruviens qui sortent dans les rues pour défendre publiquement la vie depuis la conception jusqu'à la mort naturelle.

Lors d'une récente rencontre avec près de 3000 jeunes volontaires de la Marche pour la Vie de Lima, le Cardinal Cipriani a déclaré: "Il faut avoir le courage de sortir dans les rues et de dire à toute la société: Si vous ne voulez pas défendre la vie, nous nous sommes là, le future du monde, pour défendre la vie!"

A partir du 14 mars, le "Camion pour la Vie" a parcouru les rues de Lima avec la photo du Pape François pour inviter tout le monde à participer à la Marche pour la Vie de Lima 2015.

(Marcha por la Vida Lima - Traduction Espérance Nouvelle)

> Prochaine Marche pour la Vie: Bruxelles, 29 mars 2015

 

 

La suppression du délai de réflexion pour un avortement (IVG) en France: quelles conséquences ?

Pour Catherine Coutelle, députée PS et présidente de la Délégation à l'Assemblée nationale aux droits des femmes, qui a défendu la suppression du délai de réflexion pour une IVG (Cf. Synthèse Gènéthique du 19 mars 2015), estime qu'il est "un moyen de dissuasion" et qu'il "stigmatise l'avortement comme un acte médical à part". Dans sa poursuite du "toilettage" de la loi Veil, Catherine Coutelle avait aussi déposé un amendement pour supprimer la clause de conscience, avant de le retirer, à la demande de Marisol Touraine. Mme Coutelle considère l'avortement comme un "droit fondamental, sans réserve ni restriction".

Cette perception est contestée par Marianne Durano, agrégée de philosophie, qui explique qu'"aucun droit [n'est] susceptible d'aucune restriction" : le droit de propriété est limité par l'intérêt général, et le droit aux soins est limité au respect du corps d'autrui (don d'organes). Sur le délai de réflexion, elle estime que sa suppression "infantilise la femme", c'est "les penser trop inconstantes pour assumer leur décision dans le temps". L'effet de cet amendement n'est "pas de reconnaitre l'avortement comme un acte volontaire mais d'en faire une opération".

Pour le docteur Paul-Rémi Vigouroux, médecin généraliste à Nîmes, "supprimer ce délai de réflexion aura forcément des conséquences catastrophiques, car cela contribue à déresponsabiliser les femmes." "Accepter cet amendement, c’est gravement méconnaître la réalité à laquelle sont confrontées les femmes en situation de grossesse inattendue. Dans ces moments-là, elles sont en situation de faiblesse, confrontées à des questions très profondes et des inquiétudes fortes quant à leur avenir. Mais aussi, sur un plan hormonal, la grossesse, surtout au début, déstabilise la femme, qui est souvent dans une disposition d’ambivalence."

(Gènéthique/FigaroVox/FamilleChrétienne)

 

20/03/2015

Le délai de réflexion pour l'avortement (IVG) est supprimé en France

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Pour l'Assemblée nationale française, la réflexion qui précède une décision concernant l'avortement serait superflue. Les députés ont décidé de la supprimer.

Paris - 19 mars 2015. L'examen en commission des Affaires sociales du projet de loi Santé a démarré ce mardi 17 mars. Certains amendements relatifs à la "santé sexuelle et reproductive" ont d'ores et déjà été adoptés.

Pilule du lendemain

L'article 3 du projet de loi Santé a été adopté. Il lève les "restrictions existantes sur l’accès à la contraception d’urgence des élèves du second degré auprès de l’infirmerie scolaire". Les députés ont également voté un amendement à l’article 3 renforçant la coopération entre les infirmeries scolaires et les centres de planification, de sorte que les infirmiers scolaires puissent administrer une contraception d’urgence même en cas d’accessibilité à un centre de planification. Ils doivent pour cela s’assurer de l’accompagnement psychologique et du suivi médical de l’élève, en l’orientant éventuellement vers un centre.

Amendements IVG

A 2h du matin aujourd'hui, les députés ont voté un amendement supprimant le délai de réflexion de 7 jours accordé à la femme qui demande à avorter entre les deux rendez-vous médicaux. Cet amendement avait reçu un avis défavorable de Marisol Touraine pour qui la suppression du délai de réflexion n'est pas la meilleure façon de faire "progresser l'accès au droit" à l'IVG. Lors de la présentation de son programme national pour "améliorer l'accès" à l'IVG en janvier dernier (Cf. Synthèse du 19 janvier 2015), Marisol Touraine avait envisagé la réduction du délai de réflexion de 7 à 2 jours, avant d'abandonner cette piste "devant les risques de polémique". Le député UMP Arnaud Robinet a regretté le vote d'un tel amendement à une heure si tardive : "Je trouve dommage que l’on revienne sur un tel sujet à 2 heures du matin, revoir ainsi l’équilibre de la loi Veil, ce n’est pas sérieux".

Un autre amendement susceptible de créer la polémique avait été déposé par la députée PS Catherine Coutelle, présidente de la Délégation de l'Assemblée Nationale aux droits des femmes, celui de la suppression de la clause de conscience des médecins pour l'IVG. Face à l'"avis résolument défavorable" émis par Marisol Touraine, Mme Coutelle a préféré retirer son amendement.

A l'occasion de la réouverture des débats sur l'IVG, la ministre des Affaires sociales a annoncé qu'elle était favorable à la pratique des IVG sans les centres de santé. (Gènéthique/Le Monde/Quotidien du Médecin)

 

19/03/2015

Lila Rose à l'ONU: "L'un des plus grands tueurs de filles aujourd'hui, c'est l'avortement sélectif"

 

lila%20rose%202.jpg(CNSNews.com) "L'une des plus grandes menaces, l'un des plus grands tueurs de filles, des plus grandes attaques contre les femmes aujourd'hui, est l'avortement sélectif", a affirmé Lila Rose, activiste pro-vie et présidente de Live Action, dans une intervention à la Commission des Nations Unies sur le statut de la femme (CSW), jeudi 12 mars.

 

> Lire la suite sur CNSNews - Lila Rose to UN: One of ‘Biggest Killers of Girls Today’ Is ‘Sex-Selective Abortion

 

 

 

> Voir l'intervention complète de Lila Rose à l'ONU

 

L'intervention remarquée de Lila Rose à l'ONU le 12 mars 2015

 

 

L'intervention de Lila Rose commence à la minute 19:00.

Une brève présentation de Lila Rose est donnée par Mark Kowalewski, président de l'International Youth Coalition, à la minute 17:55, avec un éloge se son action en faveur du respect de la vie humaine, où il ne manque à cette jeune américaine que le mérite de mener seule ce grand combat: elle a le soutien massif d'une jeunesse de plus en plus engagée et de nombreuses organisations de défense de la vie humaine, qui ne tarderont pas longtemps à obtenir gain de cause, parce que leur combat est juste.

Engagée depuis l'adolescence dans le combat pour le respect de la vie humaine, Lila Rose évoque aussi avec joie et fierté la foi catholique qu'elle a embrassée plus tard, il y a 5 ans, à l'âge de 21 ans.

 

> UN Web TV: Young and Courageous Because Life Can't Wait

 

Euthanasie en France et au Royaume-Uni: la mort par déshydratiation sous couvert de sédation

Par Jeanne Smits - 18 mars 2015

Alors que l’Assemblée nationale vient d’adopter la loi Leonetti-Claeys sur la fin de vie à une majorité écrasante, le Royaume-Uni envisage des mesures qui ne sont pas sans points de similitude – et qui a soulevé des critiques que la France ferait bien d’écouter. Le projet présenté par la commission spéciale de la Chambre des communes propose en effet de mettre en place une base de données où chaque personne pourrait faire savoir sa préférence, en cas de besoin : mourir à l’hôpital, ou mourir chez soi.
L’idée d’une telle « liste de la mort » a germé face au constat que – selon des enquêtes – les deux tiers des Britanniques préféreraient passer leurs derniers jours dans leur environnement familier, mais la moitié d’entre eux meurent à l’hôpital. L’enregistrement de leurs souhaits permettraient d’éviter au moins une partie de ces situations.
Le problème, c’est évidemment de savoir à quel moment il faut renvoyer un patient à la maison, ou renoncer à l’hospitaliser. Toutes proportions gardées, le scénario est celui de l’« obstination déraisonnable » inventé dans le cadre des lois Leonetti : il s’agit de prévoir assez finement le moment probable du décès, d’une part, et de déterminer à partir de quand on cesse de prodiguer des soins lourds, disponibles uniquement à l’hôpital.
Pour le neurologue et professeur de médecine Patrick Pullicino, les mesures envisagées présentent la même « faille centrale » que le protocole de Liverpool : le Liverpool Care Pathway qui permettait de mettre en place une sédation « terminale » ou « palliative » pour les personnes dont la mort était imminente. Ce protocole permettait de mettre en place une « sédation profonde » associée à l’arrêt de la nourriture et de l’hydratation dès lors qu’il était jugé conforme à l’intérêt du patient en raison de sa mort imminente ou de ses souffrances.
On retrouve ici la même procédure médicale que celle de la loi Leonetti-Claeys, seule la prise de décision était différente puisque le corps médical pouvait imposer le protocole d’autorité, alors que la loi en voie d’adoption définitive en France prévoit que le patient lui-même puisse décider de manière contraignante une telle sédation, que ce soit au moment de la mettre en place ou par le biais de directives anticipées.
Et si j’en parle à l’imparfait, c’est que le Royaume-Uni a banni le protocole du Liverpool Care Pathway, après qu’une enquête parlementaire eut constaté de nombreux abus. Ainsi constatait-elle une insuffisance de la prise en compte de symptômes, et des recours systématiques et sans humanité, souvent sans concertation avec la famille, à des techniques qui entraînent la mort en 29 heures, en moyenne. Parmi les cas d’abus de cette procédure qui constitue alors une « euthanasie lente », il y avait ceux des deux parents d’une des membres de la commission d’enquête, Fiona Bruce. Sa mère était morte de déshydratation, dans d’affreuses souffrances, et elle avait pu faire réalimenter son père qui, six mois plus tard, était bien soigné, mangeant avec appétit et heureux de voir sa famille…
L’enquête avait fait suite à une campagne menée par des tabloïdes conservateurs, comme le Daily Mail, révélant les plaintes des familles comptant un proche mis sous sédation à l’aide d’un « gourdin chimique », puis tué par retrait de toute nourriture et hydratation.
Le nouveau plan ne vaut guère mieux, selon le Pr Pullicino. Ceux qui annoncent vouloir mourir à domicile pourraient se voir refuser des traitements nécessaires : c’est le premier des « énormes risques » que comporte une consignation des souhaits de fin de vie des patients, a-t-il souligné.
Il a également noté combien il est difficile de prédire la mort : malgré cela la question du diagnostic de la « mort imminente » n’est même pas évoquée dans la liste des « priorités » qui accompagne le rapport et ne se fonde sur aucune donnée objective. Le danger est particulièrement important, a-t-il souligné, s’agissant des personnes démentes.

On retrouve ce même flou dans la loi Leonetti-Claeys.

 

18/03/2015

Documentaire Arte: Avortement, la loi du silence

Un documentaire de Renate Günther Greene (51 minutes, 2014)

La réalisatrice, Renate Günther Greene, a avorté à l’âge de 25 ans. Elle a décidé de partir à la rencontre de femmes qui ont connu un parcours similaire au sien.

 

 

 

 

> Avortement, la loi du silence - Arte

Veillée de prière pour la Vie samedi 28 mars à 20h à Bruxelles - Présidée par Mgr Léonard à l'église Sainte-Catherine

 

"Une femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ? Même si elle l’oubliait, moi, je ne t’oublierai pas." Is 49,15

 

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16/03/2015

Chaque vie compte - Cada vida importa

 

"A nosotros, nos importa el aborto" - "L'avortement, ça nous concerne"

Nous qui nous sentons concernés par l'avortement, nous savons que beaucoup de soutien est nécessaire pour que les femmes choisissent la vie.

Nous qui nous sentons concernés par l'avortement, nous savons que si nous ne faisons rien, personne ne le fera pour eux, pour la mère et son enfant.

Parce que si nous croisons les bras, la femme et son bébé resteront seuls.

C'est si facile de détourner le regard, quand ces choses arrivent.

Nous qui nous sentons concernés par l'avortement, nous savons que dans l'état actuel des choses, les femmes continueront à souffrir.

Nous qui nous sentons concernés par l'avortement, nous savons que la décision d'avorter est imputable à ceux qui poussent ou contraignent ces femmes à le faire.

Parce qu'on n'a pas le droit d'abandonner les femmes.

Parce que l'avortement fait 2 victimes: la mère et l'enfant conçu.

Parce que l'avortement, ça nous concerne.

Nous marcherons pour la Vie.

Parce qu'ensemble, nous pouvons défendre les deux.

Parce que nous savons combien la vie est trop précieuse pour la jouer à pile ou face.

L'avortement, ça nous concerne.

CHAQUE VIE COMPTE

CHAQUE MÈRE COMPTE

 

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 www.march4life.be

 

15/03/2015

Mon copain a choisi l'avortement (IVG). Comment faire le bon choix ?

 

 

Ce témoignage a été mis en ligne par Julie, 20 ans, sur sa chaîne Missjulinou le 3 novembre 2011.