07/02/2014
Euthanasie: la prière et le jeûne face aux lois inhumaines
RTBF | 6 février 2014
Ce jeudi, l’archevêque André-Joseph Léonard a invité ses fidèles à le suivre dans une journée de jeûne et de prière pour marquer leur opposition à l'extension de la loi sur l'euthanasie aux mineurs d'âge. Anne-Chantal André-Dumont, une étudiante membre de l’asbl "Jeunes pour la Vie", a emboîté le pas au primat belge. Invitée sur le plateau du 13h, elle a expliqué que le jeûne et la prière étaient leur façon de s'exprimer "par rapport aux lois qui nous paraissent inhumaines".
"Le but avant tout, a-t-elle ajouté, est de confier notre monde en souffrance à Dieu par la prière, et en rejoignant la souffrance par le jeûne."
Elle a dit vouloir ouvrir le débat en suivant l’appel de Monseigneur Léonard. Un débat qui n’a jusqu’ici été ouvert, selon elle, qu'à ceux qui sont pour l'élargissement de l’euthanasie.
Et si les propositions de loi ont été longuement discutées en commission puis sur la scène politique, Anne-Chantal André-Dumont réplique que "ces propositions de loi n’étaient pas inscrites dans le programme quand nous avons voté la dernière fois".
Personnellement concernée par ce sujet, elle a expliqué que son frère avait "une malformation cardiaque très grave", et qu’il a fait l’objet d’un "traitement très lourd". "C’est très difficile, on en souffre", a-t-elle confié en précisant que l’euthanasie n’est "pas une réponse à sa souffrance". "Quand il était au plus bas, il demandait de l’aide, pas qu’on supprime sa souffrance".
Enfin, si elle reconnaît que l’élargissement de la loi n’impose pas l’euthanasie aux mineurs, elle estime qu’il s’agit d’une "proposition malsaine": "C’est au moment où on est mal qu’on a envie de choisir la mort et d’arrêter sa souffrance".
Pour elle, "c’est en accompagnant les personnes qui souffrent qu’on les aide le mieux".
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06/02/2014
Notre Oui à la Vie
Editorial de Mgr Marc Aillet - Notre Église n°45 - Février 2014
Avec le projet de loi discuté à l’Assemblée nationale à partir du 20 janvier, c’est le drame de l’avortement qui revient sur le devant de la scène. L’intention du législateur est de passer d’une loi de dépénalisation à la reconnaissance d’un véritable « droit », en supprimant la clause de détresse qui devait en garantir le caractère d’exception, au profit d’une simple convenance personnelle : « si la femme ne désire pas poursuivre sa grossesse ». Les évêques de France, par le biais du Conseil permanent, ont publié un communiqué clair et ferme sur cette nouvelle menace contre la vie naissante, tout comme ils ont contesté énergiquement l’annonce d’une loi sur la fin de vie qui conduirait à légaliser l’euthanasie active ou le suicide assisté.
Dans son exhortation apostolique La joie de l’Evangile, et plus particulièrement en abordant la dimension sociale de l’évangélisation et l’intégration sociale des plus pauvres, le Pape François nous a invités à prendre soin de toute fragilité. Parmi les situations de fragilité qu’il évoque, il s’étend plus longuement sur les enfants à naître, « qui sont les plus sans défense et innocents de tous ». Celui que la presse salue comme « le Pape François superstar » n’hésite pas à aller à contre-courant de la « culture du déchet » qui caractérise la mentalité moderne : « Fréquemment, pour ridiculiser allègrement la défense que l’Eglise fait des enfants à naître, on fait en sorte de présenter sa position comme quelque chose d’idéologique, d’obscurantiste et de conservateur ». Il ne faut pas s’attendre à ce que l’Eglise change de position sur cette question, martèle-t-il : « Ce n’est pas un progrès de prétendre résoudre les problèmes en éliminant une vie humaine ». Rejoignant le langage rugueux et prophétique de saint Jean-Baptiste, il s’exprime devant le Corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège en des termes que l’on n’apprend pas vraiment à l’école des Nonces : « La seule pensée que des enfants ne pourront jamais voir la lumière, victimes d’avortement, nous fait horreur ». On y retrouve le langage sans concessions du Concile Vatican II dans la constitution pastorale Gaudium et spes, à propos du caractère sacré et inviolable de toute vie humaine : « L’avortement et l’infanticide sont des crimes abominables » (n. 51).
Sans doute faut-il reconnaître aussi, comme l’affirme encore le Saint-Père, que nous n’avons pas assez fait « pour accompagner comme il convient les femmes qui se trouvent dans des situations très dures », et où l’avortement se présente souvent comme la seule alternative à leur angoisse : pressées par le milieu, à grand renfort de moyens médiatiques et législatifs, elles sont contraintes, souvent contre leur gré, à éliminer le bébé qu’elles portent en elles, n’hésitant pas, dans la précipitation, à aller au-devant de souffrances et de traumatismes dont on mesure mieux aujourd’hui l’ampleur destructrice. Il faut non seulement prendre énergiquement la défense des enfants à naître, mais il convient de rejoindre les mamans en difficulté, en ne les privant pas de l’information sur les alternatives sociales à l’avortement, et en leur offrant une assistance concrète. Je ne saurais trop signaler, en ce sens, les initiatives de l’association Naissance et vie 64, mettant en place, sur Bayonne, des structures d’accueil et d’écoute, voire d’hébergement, pour les femmes enceintes en difficulté.
Le combat pour le respect de la vie n’est pas seulement un combat politique, je veux parler de la politique au sens noble du terme, « cette forme éminente de la charité », qui recherche le Bien commun, ce Bien que tous peuvent rechercher en commun car il garantit la dignité de toute personne humaine, sans exception, à commencer par la plus faible et la plus fragile. Mais il s’agit de la grande œuvre du Salut accomplie par le Christ, car derrière le drame de l’avortement, se cachent le « Mystère d’iniquité », dont parle saint Paul, et une multiplicité de complicités qui constituent le « péché du monde » dont le Christ Jésus est précisément venu nous libérer. Loin de condamner quiconque ou de désigner des coupables, « car ce n’est pas contre des adversaires de chair et de sang que nous avons à lutter » (Eph 6, 12), nous avons à désigner celui qui est « l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde » (Jn 1, 29). La prise de conscience de « l’horreur » de l’avortement, qui se fait jour aujourd’hui en France comme en Espagne, en particulier chez les femmes et chez les jeunes, doit s’accompagner d’un vrai combat spirituel.
Comme le Bienheureux Jean Paul II l’affirmait devant les jeunes rassemblés à Czestochowa pour les Journées mondiales de la jeunesse en 1991 : « Je veille, cela veut dire : je m’efforce d’être un homme de conscience. Je n’étouffe pas cette conscience et je ne la déforme pas ; j’appelle le bien et le mal par leur nom, je ne les confonds pas ; j’accrois le bien en moi et j’essaie de corriger le mal, le surmontant en moi-même ». Engageons-nous dans ce combat par la prière et par l’action, réveillons en nous les forces morales et spirituelles que le Seigneur nous a communiquées par son Esprit, et la culture de vie fera reculer la culture de mort. Ne l’oublions pas : c’est par l’envie du diable que le péché est entré dans le monde et par le péché la mort. Mais le Christ a vaincu la mort et nous a donné la Vie.
+ Mgr Marc AILLET,
Évêque de Bayonne, Lescar et Oloron.
Source : site officiel du diocèse de Bayonne.
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Jeudi 6 février: veillée d'adoration pour le respect de la personne humaine à la Basilique de Koekelberg
10:56 Publié dans Agenda/Événements/Horaires | Tags : euthanasie, mineurs, enfants, belgique, loi, prière, adoration, résistance, koekelberg, mgr léonard, veillée d'adoration | Lien permanent | Commentaires (1)
Genre: le débat interdit
François-Xavier Bellamy | 01-02-2014
La théorie du genre existe-t-elle ? A partir de cette question si vivement discutée aujourd’hui, il me semble utile de tenter une réponse – et de formuler une remarque.
Partons de ce qui est certain : le concept de genre existe bel et bien. Apparu dans la littérature universitaire il y a une quarantaine d’années, il s’est déployé dans des directions variées, au point qu’il est aujourd’hui utilisé dans des champs aussi éloignés que la sociologie, la littérature, l’économie ou les politiques publiques.
Quel est le sens de ce concept ? Il sert à ceux qui l’emploient de critère d’interprétation pour décrypter la vie sociale et les relations humaines, à partir d’une idée essentielle : les différences entre hommes et femmes ne sont pas liées à une altérité naturelle, mais produites par une construction culturelle, tout entière organisée pour consolider la domination d’un sexe par l’autre.
Ainsi explicité, le concept de genre recouvre bien une certaine vision du monde – c’est-à-dire, au sens étymologique du terme, une théorie. Le concept même est indissociable de l’hypothèse qui le sous-tend, qui affirme le caractère culturel et construit de la différence entre l’homme et la femme. C’est pour exprimer cette conception particulière qu’il a été forgé par concurrence avec le terme de sexe, supposé décrire une différence biologique que personne ne nie, mais que le concept de genre relègue à un détail insignifiant.
Pardonnez-moi ces précisions quelque peu abstraites ; elles sont nécessaires pour mettre en évidence le contenu réel du concept de genre, et donc du postulat de départ des fameuses « études de genre. »
Les défenseurs de ce concept, qui l’emploient massivement aujourd’hui (on ne compte pas les séminaires, colloques, cours, publications dédiées à des études liées au genre dans tous les domaines de la recherche) nient avec véhémence qu’une quelconque « théorie » soit cachée derrière ce concept. Mais cette dénégation n’a tout simplement aucun sens.
Prenons une analogie récente pour le montrer : il y a peu de temps encore, des milliers de chercheurs en histoire, en sociologie, en arts, dans tous les champs de la description du monde, tentaient d’interpréter les phénomènes qu’ils étudiaient du point de vue de la lutte des classes. La vie des sociétés humaines était analysée, à la suite des travaux de Marx notamment, comme un conflit latent entre les classes sociales, opposant ceux qui possèdent les moyens de production et ceux qui les mettent en œuvre.
Le concept de lutte des classes était fondé sur cette vision politique particulière et engagée. Mais pendant des décennies, des universitaires ont prétendu produire, à partir de ce concept, une littérature, une économie, une histoire rigoureusement scientifiques. C’est exactement la même supercherie que reproduisent aujourd’hui les promoteurs du concept de genre. Interpréter l’histoire, la littérature, la vie sociale, comme les lieux de la domination masculine par la construction des stéréotypes sexués, peut être une hypothèse de travail ; mais il s’agit bien d’une théorie particulière, et à ce titre elle n’a rien d’une évidence incontestable.
Pour ma part, je la crois même parfaitement inexacte – aussi fausse que le marxisme, et tout aussi dévastatrice. Et j’entends bien continuer de la critiquer, sans que cela donne à qui que ce soit le droit de me traiter d’obscurantiste…
Nous touchons là à une remarque qui me semble essentielle.
Il est tout à fait permis de penser qu’il n’y a entre l’homme et la femme aucune différence de nature, de défendre cette conception par la recherche, et même, pourquoi pas, de la promouvoir par l’action politique. C’est ce que fait par exemple Caroline de Haas, ancienne conseillère de Najat Vallaud-Belkacem, à qui j’ai pu répondre dans une tribune parue dans le Monde. Le débat démocratique suppose des visions et des projets assumés loyalement.
Il est en revanche proprement scandaleux d’empêcher le dialogue, d’interdire la critique, en cachant la réalité des intentions que l’on poursuit.
Toute la politique du gouvernement est animée par la conception anthropologique que recouvre le concept de genre - je l’écrivais déjà il y a plus d’un an. Parmi d’autres textes, la loi sur l’égalité entre les hommes et les femmes, qui a été votée dernièrement à l’Assemblée nationale, en porte tout entière la marque. Prenons un seul exemple : pénaliser les couples dans lesquels l’homme ne prend pas comme la femme un congé parental, c’est affirmer que le père et la mère ont exactement la même place à tenir auprès de l’enfant qui vient de naître – et que cette conception pluri-millénaire qui donne au père une responsabilité singulière pour subvenir aux besoins du foyer est un pur stéréotype qu’il s’agit de déconstruire au nom de l’égalité.
Affirmer, comme le fait la loi Taubira, qu’un enfant peut avoir deux pères ou deux mères, c’est dire qu’aucun des deux sexes n’a de fonction particulière dans la procréation, et que la faculté extraordinaire du corps maternel, qui donne chair à un nouvel être, n’est rien qu’une fonction biologique anodine qu’il faut dépasser lorsqu’elle devient une limite pénible à notre désir d’enfant.
Tout cela repose sur une certaine conception du monde. Pourquoi ne pas l’assumer comme telle ? Le politique a le droit de défendre ses idées ; mais il est contraire à l’exigence démocratique de promouvoir une stratégie en la dissimulant à l’opinion. Prétendre que la théorie du genre est une « folle rumeur », qu’elle « n’existe pas », que le discours du gouvernement sur l’égalité est parfaitement neutre et dépourvu de postulats, c’est à l’évidence mépriser la vérité, et du même coup les citoyens.
Puisque le gouvernement s’inspire du concept de genre pour construire sa politique, il a le devoir de l’assumer. Il a le droit de promouvoir une vision de l’égalité fondée sur l’indifférence ; mais il est absolument scandaleux qu’il le fasse dans le silence, en détournant notamment de son but l’Education nationale pour que les élèves apprennent comme une évidence scientifique ce qui n’est qu’une hypothèse idéologique. Nous ne manquons pas d’exemples concrets pour montrer que, malgré tous les démentis, c’est ce qui est en train de se produire dans les salles de classe…
Si le gouvernement se refuse aujourd’hui à assumer cette politique, c’est qu’il sait qu’elle serait très largement rejetée. Nous savons combien l’altérité structure en profondeur ce que nous sommes. Oui, notre expérience humaine est habitée par la magnifique fécondité de la différence, et en particulier de la différence des sexes ; oui, cette altérité naturelle fait partie de nous, de notre origine, de notre identité, de nos relations. Pour le redire encore et toujours, nous marcherons demain avec tout ce que d’autres voudraient nier : la liberté de nos consciences, la lucidité de nos esprits, la paix que nous espérons pour la société, nos cœurs qui veulent encore s’émerveiller de l’autre, et puis nos corps d’hommes et de femmes.
10:23 Publié dans Culture et société, Famille | Lien permanent | Commentaires (0)
29/01/2014
Programme pour ce week-end à Bruxelles
Samedi 1er février:
Prier pour la Vie
Rosaire pour la Vie - 16h30 à l'église Saint-Jacques sur Coudenberg - 1000 Bruxelles.
Veillée de la Chandeleur - 20h à 22h à l'église Saint-Jacques-sur-Coudenberg - 1000 Bruxelles.
Dimanche 2 février:
Mobilisations citoyennes pour la famille et pour une médecine qui respecte la vie humaine
Rassemblement « Tous pour la famille : halte à la familiphobie ! » - 14h à 15h Place du Luxembourg (gare de Bruxelles-Luxembourg).
Grande manifestation citoyenne des Dossards Jaunes « Contrôle de l'euthanasie en panne: carton rouge pour la commission ! » - 15h30 à 17h00 rue de l’Autonomie, 4 – 1070 Bruxelles (gare du Midi).
18:16 Publié dans Agenda/Événements/Horaires, Religion, Respect de la vie humaine | Lien permanent | Commentaires (0)
28/01/2014
28 janvier - Saint Thomas d'Aquin: conseils pour l'étude
« Parce que tu m'as demandé, mon très cher Jean dans le Christ, comment il convient de s'appliquer pour acquérir le trésor de la connaissance, voici les conseils que je te donne: »
CONSEIL SUR LES CONSEILS
« Comme les petits ruisseaux qui n'ont pas encore atteint la mer, commence à choisir le plus facile afin de pouvoir parvenir au plus difficile. »
CONSEIL SUR L'ÉTUDE
Préparation, disposition à l'étude
Par rapport à soi-même:
« Voici donc mes conseils pour ta gouverne. Je te conseille d'être lent et de ne pas te presser de te rendre au parloir. »
« Attache-toi à la pureté de la conscience. »
Par rapport à Dieu:
« Adonne-toi sans cesse à l'oraison. »
« Aime à fréquenter ta cellule si tu veux être admis au cellier où est le vin. »
Par rapport à autrui:
« Montre-toi aimable envers tous. »
« Ne cherche absolument pas à pénétrer la conduite d'autrui. »
« Ne fais pas preuve de familiarité envers personne, car l'excès de familiarité engendre le mépris et fournit l'occasion de négliger ses études. »
« Ne t'occupe en aucune manière des paroles et des actes des gens du siècle. »
« Évite par-dessus tout les vaines agitations. »
« Ne manque pas de marcher sur les traces des saints et des justes. »
« Voici donc mes conseils pour ta gouverne. Je te conseille d'être lent et de ne pas te presser de te rendre au parloir. »
Relatifs à l'étude même
« Fais en sorte de comprendre ce que tu lis et ce que tu entends. »
« Assure-toi de ce dont tu doutes. »
« Et prends soin de conserver tout ce que tu pourras dans la bibliothèque de ta mémoire, comme lorsque tu désires remplir un vase. »
« Ne cherche pas ce qui te dépasse. »
« Aussi longtemps que tu maintiendras dans ta vie cette ligne de conduite, tu porteras et tu produiras, dans la vigne du Seigneur des armées célestes, des frondaisons et des fruits utiles. Et tu pourras atteindre ce but aussi longtemps que tu t'efforceras de suivre ces conseils. »
Source: Epistola de modo studendi ad fratrem Ioannem, Opuscules théologiques, vol. 1, Ed. Marietti, Turin 1954, p.449, traduction et divisions du texte établies par l'auteur.
Dr Pascal Ide, Travailler avec méthode, c'est réussir - guide de l'étudiant chrétien, Sarment Éditions du Jubilé, Collection Guides Totus, 2005. ISBN : 2-86679-0308
12:49 Publié dans Culture et société, Religion, Saints | Lien permanent | Commentaires (0)
23/01/2014
Prêtres de choc
Trois prêtres, trois approches différentes, entre l'abbé Loiseau qui s'est donné pour mission de convertir les jeunes sur les plages, le père Jean-Philippe qui organise un pèlerinage à Lourdes pour les prostituées du Bois de Boulogne et le père Axel qui vit la nuit pour accompagner les jeunes et les aider à réfléchir sur le sens de leur vie. Un film réalisé par Jean-Marie Frecon. Une coproduction Nuage Sauvage Production et KTO - 2009. Émission du 18/01/2010.
19:03 Publié dans Religion, Vidéos | Tags : servi jesu et mariae, missionnaires de la miséricorde, communauté saint-jean, tradismatiques | Lien permanent | Commentaires (0)
22/01/2014
Une génération écologique
Nous sommes une génération écologique. Enfin... Tout dépend de ce qu'on entend par "écologique".
18:42 Publié dans Culture et société, Environnement, Éthique, Vidéos | Tags : chanson, musique | Lien permanent | Commentaires (0)
21/01/2014
On n'arrête pas le progrès
« Le Totem du Progrès » écrit et chanté par le groupe belge Balimurphy.
18:36 Publié dans Culture et société, Environnement, Vidéos | Tags : chanson, musique | Lien permanent | Commentaires (0)
16/01/2014
Vendredi 31 janvier: lancement de l'aumônerie Saint-Jean-Bosco pour étudiants et jeunes adultes à Bruxelles
Une bonne évangélisation commence par une vie spirituelle entretenue et une solide formation chrétienne. C'est la raison pour laquelle l'aumônerie Saint-Jean-Bosco s'est constituée à l'initiative d'un groupe de jeunes catholiques bruxellois pour inviter tous ceux qui le souhaitent à se retrouver autour d'une question centrale: "Comment être toujours prêts à rendre compte de l'espérance qui est en nous ?" (1P 3, 15)
N'est-ce pas répondre ainsi au vœu exprimé par Benoît XVI qui nous demandait de connaître et de comprendre notre foi "comme un bon musicien comprend sa partition" sans se sentir découragés par notre petitesse ? (Préface du Youcat, le Catéchisme pour jeunes)
La première réunion de l'aumônerie Saint-Jean-Bosco aura lieu le vendredi 31 janvier 2014. La soirée commencera à 18h par la messe célébrée selon la forme extraordinaire à l'église conventuelle du couvent Sainte-Anne, Avenue Léopold Wiener 26 B - 1170 Bruxelles, par un tout jeune prêtre de l'Institut du Christ Roi ordonné en juin dernier. Elle se poursuivra par un petit enseignement sur la foi puis par un repas convivial qui permettra à tous les participants de faire connaissance et de partager un bon moment de détente à la fin de cette semaine de cours, pour certains, de vacances, pour d'autres, ou de travail pour d'autres encore. Bienvenue à toutes et tous !
> Aumônerie Saint Jean Bosco
> étudiants et jeunes adultes
> Vendredi 31 janvier 2014
> à partir de 18h
> église conventuelle du couvent Sainte-Anne, Avenue Léopold Wiener 26 B - 1170 Bruxelles
> pour faciliter l'organisation du repas, il est souhaitable de prévenir de votre présence: saintjeanboscobruxelles@outlook.com
Saint Jean Bosco
Premier message envoyé par le prêtre qui a accepté de prendre en charge l'aumônerie de ce tout nouveau groupe de jeunes:
Voici une phrase de saint François de Sales (Don Bosco lui a voué une grande vénération et a fondé les salésiens):
"Se faire tout à tous"Ce n'est pas être hypocrite. C'est, au contraire, montrer une grande charité que de faire l'effort de s'adapter au caractère de chacun.
C'est le rôle notamment de la vertu de Prudence qui utilise les connaissances générales de la Science (toute science: physique, psychologique...) pour les appliquer à l'individu (et on sait que chaque individu est unique). Passer de l'universel au particulier. Ne pas tenir compte de cela, c'est l'idéologie.
Exemple: on ne peut pas asséner le même discours à toutes les personnes que nous rencontrons. Parfois il faut être plus retenu, plus patient, etc. Chacun doit être considéré comme un être unique. Pas meilleur, pas moins bon, mais différent. Différent et aimé pour ce qu'il est, ce qu'il est fondamentalement. Puis à partir de cela, considérer ce qui peut être amélioré. Et là, le travail peut être fructueux.
16:18 Publié dans Agenda/Événements/Horaires | Lien permanent | Commentaires (0)