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31/03/2014

A Bruxelles, la Marche pour la vie dénonce une déshumanisation par étapes

31 mars 2014 | Marche pour la Vie

Marche pour la vie, Bruxelles, 2014, euthanasie, mineurs, avortement, pro-vie, jeunes

 

La Marche pour la Vie s’est déroulée dimanche après-midi à Bruxelles, pour la cinquième fois, à l’initiative d’étudiants, et a réuni quelques 3500 personnes de tous âges et de toutes origines. La Marche se voulait pluraliste et entendait réunir tous ceux qui - quels que soient leurs horizons philosophiques ou politiques -  s’inquiètent de la déshumanisation de notre société à l’égard des plus démunis, en particulier ceux qui se situent aux deux extrêmes de la vie humaine, les enfants à naître et les personnes qui arrivent au terme de leur existence.

Les combats pour la dignité humaine et les rejetés de la société sont des combats de longue haleine, qui commencent dans l’indifférence et l’hostilité, mais ne s’achèvent qu’après avoir convaincu l’ensemble de la société de leur pertinence. Il en a été ainsi de toutes les luttes visant à la défense des droits lésés par l’ordre établi.

C’est ce qu’ont pensé les organisateurs de la Marche pour la Vie, des étudiants qui ne se résignent pas à une société qui, pour sa commodité, sacrifie la vie des sans-défenses, ceux qui vivent à la marge en raison de leur apparente inutilité, les enfants non programmés, les vieillards et les grands malades. Tous ceux qui, par manque d’amour, sont sacrifiés à l’apparent bien-être de leurs concitoyens. C’est ce leurre, ce pieux mensonge, que des jeunes, épris de justice, ont décidé de dénoncer à temps et à contretemps.

Ils le font sans accuser personne, sans s’en prendre à qui que ce soit, simplement pour rappeler l’éminente dignité de la personne humaine, quel que soit son degré de faiblesse ou de fragilité. Ils défendent le progrès d’une société trop vite installée dans la facilité et dans l’illusion, et trop engoncée dans ses certitudes.

Rien que pour cela, la manifestation d’aujourd’hui mérite respect et attention. Elle est un signe, une petite lumière dans la nuit, le fragile mais infatigable rappel des véritables réalités qui rendent à une société sa dignité et son humanité.

 

Marche pour la vie, Bruxelles, 2014, euthanasie, mineurs, avortement, belge, jeunes, pro-vie

17/03/2014

Espagne: des promoteurs de l'avortement appellent à brûler la Conférence épiscopale

Madrid | 12 mars 2014 | 9:02 pm (ACIprensa - traduction : Espérance Nouvelle)

Lors d'une marche pro-avortement organisée le 9 mars à Saint-Jacques de Compostelle (Espagne), la "Plateforme galicienne pour le droit à l'avortement", qui compte parmi ses membres le Parti Socialiste Ouvrier Espagnol (PSOE), a appelé à brûler le siège de la Conférence épiscopale espagnole.

Parmi les revendications du groupe abortiste qui a défilé dans les rues de Saint-Jacques de Compostelle, on pouvait entendre le cri "brûlons la Conférence épiscopale machiste et patriarcale", notamment devant la cathédrale de la ville.

Selon un journaliste commentant les faits, « les promoteurs de l'avortement appellent un "droit" le fait de tuer, démembrer et broyer des êtres humains innocents: de là à exiger qu'on brûle ceux qui ne sont pas d'accord, il n'y a qu'un pas. »

 

05/03/2014

France: l'oppression au pouvoir

François-Xavier Bellamy | 5 mars 2014

Anna-300x233.jpgJamais je n’oublierai le visage d’Anna. Le visage de cette jeune étudiante en prépa littéraire qui poussa un jour la porte de mon bureau, un matin d’octobre dernier. Le visage angoissé de cette jeune fille paisible dont la vie, pleine de promesses d’avenir, avait soudain basculé dans un improbable cauchemar.

Il avait fallu, pour pousser cette porte, qu’elle fasse un acte de courage. Même se livrer lui faisait peur. Cette jeune fille d’origine russe avait fait, tout juste majeure, une demande de naturalisation, pour demander à être définitivement adoptée par cette France qu’elle aimait, où elle avait grandi, et dont ses parents étaient devenus citoyens. Comment aurait-elle pu imaginer ce qui allait lui arriver ?

La suite, le Figaro la raconte dans son édition d’aujourd’hui, dans un long article documenté de Stéphane Kovacs. Anna est reçue par deux policiers, qui, après avoir usé de toutes les tactiques d’intimidation possibles, concluent en lui proposant un sinistre marché : ils bloqueront sa demande de naturalisation, à moins… à moins qu’elle ne dénonce ses amis qui ont été à la Manif pour tous. Il faudra qu’elle livre les noms, les adresses, les renseignements sur les familles. Il faudra qu’elle aille à la prochaine soirée des veilleurs, qu’elle indique aux policiers en civil, sur place, qui sont ces gens, qu’elle désigne ceux qu’elle connaît, qu’elle les livre à la police.

Sinon, la voilà menacée d’expulsion. Anna qui, en guise de lettre de motivation, avait écrit une déclaration d’amour à la France, Anna dont la vie étudiante commençait tout juste, voit son avenir soudainement fermé, ses projets détruits, sa famille disloquée. A moins de dénoncer ses proches…

Quand Anna a poussé la porte de mon bureau, c’est l’angoisse de cette vie désormais menacée qui est entrée avec elle. Violence ultime : les policiers, qui la harcelaient de messages, lui avaient interdit de parler de leurs consignes à personne, pas même à ses parents – en lui laissant entendre qu’ils savaient tout, qu’ils pouvaient écouter son portable et la suivre partout. « Nous aimons les méthodes du KGB, vous savez », avaient-ils avancé. On imagine sans peine l’effet de ces menaces à peine voilées sur une jeune fille de dix-huit ans…

Mais Anna a eu le courage de parler. Et maintenant elle est là, dans mon bureau. Je l’écoute, sidéré, traversé à mon tour par le choc de cette violence inouïe. Après avoir entendu tous les détails glaçants de son histoire, je me souviens lui avoir d’abord, simplement, de tout mon cœur, demandé pardon pour mon pays. Je me souviens avoir eu honte, honte de la France, honte de ces pratiques que jamais, je n’aurais imaginé découvrir dans la société libre où nous nous vantons de vivre.

Et puis ensuite je lui ai promis de tout faire pour l’aider. Aujourd’hui, Anna est tirée d’affaire. Où serait-elle maintenant si elle n’avait pas eu le courage de se confier ?

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03/03/2014

Steve Mbikayi : «L’homosexualité est un danger contre les valeurs africaines»

Radio Okapi | 26 février 2014

Le député national Steve Mbikayi, auteur d’une proposition de loi contre l’homosexualité en RDC, a rencontré mardi 25 février des étudiants de l’Université protestante au Congo (UPC), dans le cadre de sa campagne contre cette pratique. Pour l’élu de Kinshasa, l’homosexualité est un danger contre la pérennisation de l’espèce humaine ainsi que les valeurs africaines. (...)

Pour le député Mbikayi, «il faut commencer par bloquer l’homosexualité pour bloquer toutes les antivaleurs et protéger le peuple congolais contre la dépravation des mœurs».

«Il y a une dérive. Vous savez qu’après qu’on a accepté le mariage homosexuel, aujourd’hui, en Europe, il y a un débat pour commencer à apprendre la sexualité aux enfants à l’école primaire, la masturbation à 6 ans, à choisir son sexe… c’est très grave», a-t-il affirmé.

L’élu parle aussi des «pédophiles qui réclament que soit reconnu leur penchant comme étant une orientation sexuelle», et du débat suisse pour légaliser l’inceste comme étant « des dérives » qui s’imposent dans les sociétés occidentales à la suite de la légalisation du mariage homosexuel.

Il se dit convaincu que la solution contre l’arrivée de ce qu’il considère comme des dérives en RDC est de combattre l’homosexualité.

La semaine dernière, Steve Mbikayi avait échangé avec les étudiants de l’Université de Kinshasa (Unikin) sur le même sujet.

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02/03/2014

L'initiative citoyenne "Un de nous" officiellement validée par la Commission européenne

Un de nous | 28 février 2014

Communiqué de presse de la Commission européenne du 28 février 2014:

La Commission européenne a officiellement agréé la seconde Initiative Citoyenne Européenne, avec des formulaires validés d’au moins un million de citoyens européens dans au moins 7 Etats membres.

Les formulaires de l’Initiative Citoyenne Un de nous dont les organisateurs demandent à l’Union Européenne d’établir une interdiction du financement des actions qui conduisent à la destruction d’embryons humains, spécialement dans le domaine de la recherche, de l’aide au développement et la santé publique, ont été contrôlés et validés par les autorités nationales des états membres.

Le nombre de citoyens soutenant cette initiative a dépassé la première Initiative validée le mois dernier  “Right2water”. 18 états membres ont dépassé le seuil minimal : Autriche, Croatie, Chypre, France, Allemagne, Grèce, Hongrie, Italie, Lettonie, Lithuanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie et Espagne. Globalement, les déclarations de 1 721 626 citoyens ont été validées. La balle est maintenant dans le camp de la Commission. Dans un délai de trois mois, les organisateurs doivent être invités à intervenir à Bruxelles pour expliquer plus profondément leur position et une audition publique doit être organisée au Parlement. Ensuite la Commission doit décider si elle adopte une nouvelle législation en la matière, ou si elle prend en compte d’une manière ou d’une autre cette demande ou encore si elle ne fait rien en ce sens.

Quelle que soit l’issue, la Commission devra expliquer les raisons de sa position en associant l’ensemble du collège des commissaires.

 

Le communiqué du 21 février 2014 sur le succès de l'initiative Un de nous:

Un de nous confirmé comme l'initiative citoyenne européenne ayant recueilli le plus grand nombre de signatures 

01/03/2014

L'Allemagne replonge dans l'eugénisme d'État

Abbé Ralph Weimann | L'Homme Nouveau | 1 mars 2014

Pour conjurer le démon de l’eugénisme auquel le IIIe Reich avait cédé, l’Allemagne s’était dotée en 1949 d’une Constitution qui proclamait l’intangibilité de la vie humaine. Depuis le 1er février une brèche a été ouverte dans cette loi fondamentale garante de l’éthique de l’État allemand.

L'eugénisme étatique

Le 1er février dernier, l’Allemagne a plongé de nouveau – du moins en partie – dans ce qu’il faut bien appeler l’eugénisme étatique, celui de l’État démocratique. Dans ce pays, la loi sur la protection de l’embryon du 13 décembre 1990 avait été amendée et élargie par la loi sur la réglementation du diagnostic préimplantatoire (DPI), entrée en vigueur le 21 novembre 2011. Ce sont les lignes directrices de cette loi, approuvées par le Bundestag (Chambre des députés), le 14 novembre 2012, qui sont entrées en vigueur le 1er février 2014.

D’âpres discussions

La loi sur le DPI a fait l’objet de discussions très âpres, car la classe politique dirigeante, tant de la CDU-CSU (les ­chrétiens-démocrates au pouvoir) que du SPD (les sociaux-démocrates), craignait avant tout de réveiller les vieux démons du nazisme. En effet, le cauchemar du Troisième Reich risquait bien de resurgir, même si, bien évidemment, il ne s’agissait plus de se référer au terrible concept, inspiré du darwinisme, de « lebenswerten » et de « lebensunwerten », ou de vie digne ou indigne d’être vécue, qui constituait le fondement de l’eugénisme de l’État totalitaire nazi.

Une brèche dans la digue

Pourtant, le 1er février, la nouvelle loi a ouvert une brèche dans la digue constituée par la Loi fondamentale allemande du 8 mai 1949 (la Constitution de l’Allemagne fédérale), érigée pour protéger la société contre l’éventuelle résurgence d’un régime légalisant l’eugénisme. De fait, l’article 1 de cette Loi fondamentale proclamant l’intangibilité de la vie humaine, avait jusqu’à maintenant inspiré une législation et une jurisprudence interdisant, ou du moins restreignant considérablement, l’application des technologies modernes visant à la « sélection des vies humaines ». Après l’auto-dénonciation provocatrice d’un gynécologue berlinois, le Dr Mattias Bloeche, affirmant avoir pratiqué clandestinement des DPI, qui fut suivie de son acquittement par le Tribunal fédéral en 2010, le Parlement allemand dut se saisir de ce sujet, ce qui déclencha inévitablement un débat de fond très délicat, celui du rapport entre le progrès scientifique et le caractère intangible de la vie humaine.

Trois options

Trois options s’offraient au législateur :

1. Interdire le DPI.

2. L’autoriser.

3. Le permettre dans des cas bien déterminés.

Très rapidement, les députés allemands ont été confrontés à l’option suivante : faut-il privilégier la souffrance de la femme confrontée à la naissance d’un enfant atteint d’une malformation physique ou mentale, ou le droit à la vie de tout embryon ? L’attention de la majorité d’entre eux s’est particulièrement focalisée sur le désir d’enfant de ces couples qui risquent de transmettre une maladie héréditaire à leur descendance. En omettant de se prononcer sur la question du caractère éthique ou non du DPI, les parlementaires se sont de facto rendus à cette nouvelle conception de la personne humaine, qui est fondée avant tout sur le pouvoir de la science sur la vie humaine, et le critère de la « qualité », un substantif qui fait écran à celui d’« eugénisme ».

Ambiguïté

Les débats ont aussi mis en évidence le dilemme auquel est confrontée la classe politique allemande : alors que dans le contexte de la société dite multiculturelle, l’État proclame sa neutralité, et donc refuse de faire sienne une vision spécifique de l’être humain, il est encore tributaire d’une Loi fondamentale qui – en particulier dans son article premier – est l’expression des racines chrétiennes de ce pays. D’où l’ambiguïté de la loi sur le DPI, qui, d’un côté interdit en principe ce dernier, tout en l’autorisant dans certains cas… Une législation digne de la personne humaine aurait dû avoir pour fondement un « oui » sans condition à la vie humaine, ce « oui » responsable « devant Dieu et devant les hommes », dont parle justement la Loi fondamentale allemande.

Pour aller plus loin : Enquête au cœur de l'eugénisme, hors série de L'Homme Nouveau.

27/02/2014

En Syrie, l’EIIL interdit aux Chrétiens de porter la croix

Le groupe de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), ou « Daech », au sein duquel se battent de nombreux djihadistes belges, a annoncé mercredi avoir imposé une série de règles aux habitants chrétiens de la ville de Raqqa qu'il contrôle dans le nord de la Syrie.

Le groupe a annoncé lui-même cet "accord" dans un texte publié par des forums djihadistes et portant le cachet de l’organisation. Il comporte 12 règles censées garantir la "protection" des chrétiens. Ceux qui ne le respecteront pas seront traités comme des ennemis, a-t-il menacé.

Le texte stipule notamment que les chrétiens doivent verser une taxe, qui était imposée aux premiers temps de l'islam aux non-musulmans. Les chrétiens fortunés doivent payer jusqu'à l'équivalent de 13 grammes d'or pur, ceux de la classe moyenne devront verser la moitié de cette somme et les défavorisés le quart.

L'"accord" exige également que les chrétiens s'abstiennent de montrer "une croix ou toute chose de leur Livre dans les marchés ou les endroits où il y a des musulmans", de faire sonner les cloches des églises et d'"utiliser des haut-parleurs pour faire entendre leurs prières". Les chrétiens doivent également s'abstenir de "célébrer leurs rituels (...) hors de l'église".

> Lire la suite sur lalibre.be

24/02/2014

Reconnaissance des unions homosexuelles: ce qu'en dit le Magistère de l'Eglise

Extrait du document "Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles" publié le 3 juin 2003 par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi sur ordre du Souverain Pontife Jean-Paul II:

IV. COMPORTEMENTS
DES HOMMES POLITIQUES CATHOLIQUES
VIS-À-VIS DE LÉGISLATIONS FAVORABLES
AUX UNIONS HOMOSEXUELLES

10. Si tous les fidèles sont tenus à s'opposer à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles, cette responsabilité incombe en particulier aux hommes politiques catholiques en raison de leur charge propre. Face à des projets de loi favorables aux unions homosexuelles, les indications éthiques suivantes sont à prendre en considération:

Dans le cas où serait proposé, pour la première fois à l'Assemblée législative, un projet de loi favorable à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles, le parlementaire catholique a le devoir moral d'exprimer clairement et publiquement son désaccord et de voter contre ce projet de loi. Accorder le suffrage de son vote à un texte législatif aussi nuisible pour le bien commun de la société serait un acte gravement immoral.

Dans le cas où le parlementaire catholique se trouverait en présence d'une loi favorable aux unions homosexuelles déjà en vigueur, il doit s'opposer par les moyens qui lui sont possibles et faire connaître son désaccord: il s'agit pour lui de rendre un vrai témoignage à la vérité. S'il n'était pas possible d'abroger complètement une loi de ce genre, on pourrait, en faisant appel aux indications exprimées dans l'encyclique Evangelium vitae, «  licitement apporter son soutien à des propositions destinées à limiter les préjudices d'une telle loi et à en diminuer ainsi les effets négatifs sur le plan de la culture et de la moralité publique  », à condition que soit manifeste et connue de tous «  son opposition personnelle absolue  » aux lois de ce genre et que le danger de scandale soit évité. (Jean-Paul II, Lettre encyclique Evangelium vitae, 25 mars 1995, n. 73.) Ceci ne signifie pas qu'en la matière, une loi plus restrictive puisse être considérée comme juste, ou du moins acceptable; c'est plutôt une tentative légitime et nécessaire visant à abroger au moins de manière partielle une loi injuste quand son abrogation totale n'est pas encore possible.

CONCLUSION

11. L'Église enseigne que le respect envers les personnes homosexuelles ne peut en aucune façon conduire à l'approbation du comportement homosexuel ou à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles. Le bien commun exige que les lois reconnaissent, favorisent et protègent l'union matrimoniale comme base de la famille, cellule primordiale de la société. Reconnaître légalement les unions homosexuelles ou les assimiler au mariage, signifierait non seulement approuver un comportement déviant, et par conséquent en faire un modèle dans la société actuelle, mais aussi masquer des valeurs fondamentales qui appartiennent au patrimoine commun de l'humanité. L'Église ne peut pas ne pas défendre de telles valeurs pour le bien des hommes et de toute la société.

Durant l'audience accordée le 28 mars 2003 au Cardinal Préfet soussigné, le Souverain Pontife Jean-Paul II a approuvé les présentes considérations, décidées lors de la Session ordinaire de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, et en a ordonné la publication.

Rome, au siège de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, le 3 juin 2003, mémoire de Saint Charles Lwanga et de ses compagnons.

Joseph Card. Ratzinger

Préfet

Angelo Amato, S.D.B.

Archevêque titulaire de Sila

Secrétaire

 

22/02/2014

C-FAM obtient un statut consultatif officiel à l'ONU

C-FAM | 31 janvier 2014

WASHINGTON DC, 31 janvier (C-FAM) Un comité de l’Onu vient d’accepter par consensus de donner un « statut consultatif officiel » à C-FAM auprès des Nations Unies. Ce statut donne aux organisations non-gouvernementales accès à l’Onu, par exemple aux conférences où les documents officiels sont négociés.

Malgré le blocage de l’été dernier, nous venons d’obtenir cette semaine l’accréditation après que les gouvernements pro IVG d’Israël et de Belgique ait conclu un marché avec les partisans de C-FAM afin d’obtenir l’accréditation d’un autre groupe pour lequel ils craignaient un blocage.

C-FAM a attendu 16 ans avant de demander le statut officiel de l’Onu.  Le Nonce apostolique de l’époque, Renato Martino nous avait prédit qu’à cause de nos convictions pro-vie, nous serions bloqués, comme l’organisation Human Life International l’avait été l’année de notre création.

Un des plus importants opposants à la présence de C-FAM à l’Onu à l’époque, le directeur du Fonds de l’Onu pour la population (UNFPA) Nafis Sadik avait rendu visite à l’archevêque, aujourd’hui cardinal Martino. Au moins à deux reprises, il lui avait demandé de faire fermer C-FAM. C-FAM étant un organisation sans but lucratif indépendante, l’Eglise ne pouvait pas même essayer de nous faire fermer, et Martino s’était toujours opposé à cette requête.

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18/02/2014

Venezuela: répression sanglante du soulèvement étudiant par le régime socialiste

Un reportage clandestin sur la situation actuelle et la répression violente subie par les étudiants universitaires soulevés contre le régime socialiste au pouvoir. Ils ont leurs Pater et leurs Ave pour seules armes face aux balles de la police et de l'armée.

EN ESPAÑOL

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> Une brève biographie du Président socialiste de la République du Venezuela Nicolás Maduro sur l'encyclopédie participative en ligne Wikipedia

 

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