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11/12/2013

Veilleurs debout 10 et 11 décembre: ne permettez pas qu'on tue les enfants !

Le combat contre l'euthanasie continue.

Ce mercredi soir, devant le Sénat:

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Les gens passent et demandent pourquoi nous sommes là. Ils repartent en nous félicitant.

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Hier soir 10 décembre:

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Les médias belges soutiennent le lobby pro-euthanasie. Mais la BBC Scotland s'inquiète de l'abandon progressif en Belgique de l'interdiction de tuer au profit d'un prétendu droit de tuer avec pour motif la souffrance:

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On doit redevenir humains

 

L'héritage de Mandela controversé

Un médecin ivoirien a attiré notre attention sur les problèmes posés par les hommages rendus à l’œuvre de Nelson Mandela par des défenseurs de la dignité humaine.


Nelson Mandela et la culture de mort

La destruction de la famille et des plus faibles

Du racisme dans le parti de Mandela ?

 

Ces informations peu connues sont bien sûr à prendre avec la même prudence que celles qui sont données par les médias dominants. Mais les ignorer pourrait induire en erreur ceux qui voudraient montrer en exemple la contribution d'un personnage célèbre au progrès de la paix et de la justice.

10/12/2013

Euthanasie des mineurs: exprimez votre opposition avant le vote de jeudi

Le projet de loi sur l'extension de l'euthanasie aux mineurs, qui sera soumis au vote du Sénat en séance plénière ce jeudi 12 décembre, attire l'attention de la presse internationale. Les Belges oseront-ils aller jusque là ? Vont-ils s'arroger le droit de tuer leurs enfants ? La BBC Scotland prépare un reportage sur les dérives de plus en plus graves de la législation belge et sur le mouvement d'opposition à l'élargissement progressif du cadre juridique de l'euthanasie en Belgique.

Outre les veilles habituelles devant le Sénat à Bruxelles, les Veilleurs debout lancent le mouvement d'opposition à Louvain-la-Neuve. Ils se posteront à la Grand Place de Louvain-la-Neuve ce mercredi 11 décembre à 20h. Debout, en silence, à bonne distance les uns des autres.

Hier soir, une veille spontanée a eu lieu devant la Bourse de Bruxelles:

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09/12/2013

Euthanasie des enfants: résistance belge dimanche 8 décembre 2013

Veilleurs debout devant le Sénat:

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Rue de la Loi, regardant vers le Sénat:

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La presse espagnole parle des Veilleurs belges et s'indigne du projet de loi sur l'euthanasie des mineurs

"La police belge arrête des Veilleurs pacifiques qui s'opposent à l'euthanasie des mineurs":

"La Policía belga arresta a pacíficos 'Vigilantes' que se manifiestan en contra de la eutanasia a menores"

Un site français d'expression libre s'intéresse au mouvement belge d'opposition à l'euthanasie:

Euthanasier ses enfants… Belgique, réveille-toi !

Comment ? En Belgique, vous allez tuer les enfants ?

Euthanasie : non à une société du « tout propre » !

L’euthanasie, dernier espoir de ceux qui n’en ont plus ?

L'actualité au Sénat belge:

L'euthanasie des mineurs à l'ordre du jour du Sénat ce jeudi 12 décembre


L'ADMD, un lobby international pro-euthanasie à considérer avec lucidité:

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08/12/2013

La Manif pour tous dénonce la «familiphobie» du gouvernement français

article_manif.jpgUn concert de klaxons et de sifflets. Environ cent cinquante voitures ornées de ballons roses, blancs et bleus se sont réunies ce dimanche à Paris place de la Porte de Saint-Cloud à l'appel de la Manif pour tous. Mot d’ordre du jour: dénoncer  la «familiphobie» du gouvernement. Arborant un sweet rose et des boucles d’oreilles représentant un homme en bleu et une femme en rose, Ludovine de La Rochère présidente de laManif pour tous, annonce tout de suite la couleur: «Ce gouvernement n’aime pas les familles, il fait tout pour les mettre dans l’embarras». Avant de monter sur une estrade pour haranguer la foule, accompagnée de deux jeunes filles déguisées en Marianne.

«Ce gouvernement cherche à remettre en cause l’identité sexuelle, à introduire la théorie du genre à l’école. Et l’on sait que la libéralisation de la PMA (procréation médicalement assistée) est à l’ordre du jour», clame-t-elle sous les huées des manifestants, qui agitent leurs drapeaux de la Manif pour tous. Un discours qui rappelle ceux tenus lors des manifestations pendant le débat parlementaire sur le mariage pour tous. Mais le mouvement veut aussi fédérer ses sympathisants autour de nouvelles thématiques. «Nous dénonçons le matraquage fiscal que subissent les familles, avec la modification du quotient familial, l’augmentation de la TVA, la fiscalisation des heures supplémentaires», poursuit Ludovine de La Rochère, suscitant à chaque attaque l’adhésion de la foule. Le projet de loi sur la famille est aussi évoqué «car il vise à donner un statut aux beaux parents et à remettre en cause l’adoption plénière», affirme la présidente de la Manif pour tous, bien décidée à tacler le gouvernement tous azimuts.

«Notre mouvement est pérenne»

Au volant de sa voiture, Paul, venu avec sa famille, fulmine: «Je suis conscient qu’il faut faire un effort pour redresser le pays, mais pénaliser les familles c’est dangereux. Car la natalité était jusqu’ici une force française». Avant de poursuivre : «A force de dire qu’il y a différentes formes de famille, Hollande finit par tout dénaturer. Avec la PMA qui se profile à l’horizon, on voit que l’enfant n’est pas au centre de sa réflexion». Un avis partagé par Marie, mère de cinq enfants, qui agitent des drapeaux à la fenêtre d’un break Volvo: «On croit toujours qu’un enfant a besoin d’un papa et d’une maman. Donc je veux continuer à manifester contre une ouverture plus large du droit à la PME et toute légalisation de la GPA (gestation pour autrui)».

A côté des familles et des personnes âgées, de nombreux jeunes participent aussi à l’événement, à l’instar d’Haude, 19 ans: «On est là pour donner un nouveau coup de semonce au gouvernement afin qu’il nous écoute. On a peur qu’avec la PMA et la GPA, les enfants deviennent des produits de laboratoire. J’ai participé au mouvement des veilleurs cet été et je continuerai à me battre tant que notre parole ne sera pas écoutée», lance-t-elle, en placardant une affiche sur la voiture de son père. Car malgré la faible mobilisation du jour, les manifestants tiennent à garder la tête haute: «Ce n’est pas une mobilisation nationale donc il est normal qu’il y ait moins de monde», tempère ainsi Marie. «Notre mouvement est pérenne», renchérit Ludovine de La Rochère, «d’ailleurs après notre Grenelle sur la famille, nous allons élaborer une proposition de loi sur le sujet pour mars», explique-t’elle, avant de donner le feu vert au cortège de véhicules pour entamer leur «grande traversée de Paris», au son de Papaoutai,  la chanson de Stromae.

Delphine Bancaud sur  20minutes.fr
 

04/12/2013

Veilleurs debout mardi 3 décembre contre l'euthanasie

Après l'euthanasie en fin de vie, l'euthanasie des enfants ? Les citoyens disent NON.

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Devant le Sénat belge

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Rue de la loi, regardant en direction du Sénat

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Devant le Palais de justice.

03/12/2013

Veilleurs debout contre l'euthanasie: partout, tout le temps

Foto0691.jpgAu moment où le projet de loi pour l'euthanasie des mineurs, voté en commissions Justice et Affaires sociales, attend son vote en séance plénière au Sénat, le mouvement d'opposition pacifique des Veilleurs debout n'a pas cédé à l'intimidation policière entreprise par les autorités.

Le mouvement de contestation prend d'ailleurs de plus en plus d'ampleur. Dimanche, des citoyens se sont alternés tout l'après-midi devant le Sénat, depuis 13h jusque dans la soirée. Les horaires auxquels ces Veilleurs sont habituellement observés ont donc été largement débordés, en grande partie par des "nouveaux venus" qui jusque là n'avaient participé à aucune des nombreuses veilles depuis le début du mois d'octobre. La mère d'un jeune veilleur partie prolonger l'action de la jeunesse raconte: "J'étais sur le point de quitter le Sénat vers 18h30 quand j'ai vu s'approcher trois jeunes filles de type arabe, je crois, qui m'ont regardé et souri plusieurs fois avant de se poster à mes côtés, debout et immobiles. Quand je suis partie peu de temps après, elles y étaient toujours." Cette fois, les contestataires n'ont plus été inquiétés par la police.

Pendant ce temps, intimidés par l'opération de répression policière du 26 novembre au cours de laquelle avaient été arrêtés plusieurs étudiants, un professeur de philosophie, un prêtre bruxellois, un fonctionnaire européen, et une mère de famille entre autres, d'autres Veilleurs debout se sont postés devant le Palais de Justice de 16h à 17h.

Le mouvement belge des Veilleurs debout ressemble donc de plus en plus à la forme de contestation lancée par son initiateur, Erdem Gunduz, un jeune turc qui l'inventa en réponse à l'interdiction de manifester Place Taskim à Istanbul, après de violentes répressions policières lancées par le gouvernement contre la jeunesse turque. C'est un mouvement de protestation permanent, non coordonné, pacifique et sans attroupement, par des individus qui sans se connaître sont unis par leur indignation face à l'euthanasie, aux dérives qui y sont intrinsèquement associées, et à ses extensions régulières par étapes dans la législation belge.

Le mouvement continue sans se lasser devant le Sénat belge et en tout autre lieu propice à la protestation publique, jusqu'à ce que soient reconnus la dignité de la personne quel que soit son état de santé et à toutes les étapes de sa vie, ainsi que le droit à des soins de qualité, à des soins palliatifs en fin de vie, l'interdit de tuer et le devoir de respecter la mort naturelle des personnes, sans euthanasie ni acharnement thérapeutique.

Rejoignez-les, avant qu'on en arrive à l'étape de l'euthanasie des opposants !

27/11/2013

Euthanasie: pacifiquement, le combat continue

Si l'opposition existe, l'humanité subsiste. Et cela dérange les autorités civiles belges.


Encore plus de charme avec les fautes de frappe. Le cœur y est.

Faut-il adopter l'euthanasie des enfants?

Par le Dr Catherine Stryckmans.

Présidente de la commission éthique de l'Association belge des praticiens de l'art infirmier.

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Que pensez-vous de l'extension de la loi euthanasie aux mineurs ?

Cela va trop vite. Je m’interroge sur l’urgence, la nécessité et l’opportunité de cette extension. A-t-on réfléchi aux impacts de cette loi sur les parents, les frères et les sœurs ? Le projet de loi avance que l’enfant doit faire la demande mais que les parents devront être d’accord. Quelles seront les conséquences pour eux ? Comment vont-ils porter ce poids d’avoir refusé l’euthanasie ou d’avoir dit oui ? La maladie leur est déjà tellement difficile à vivre. La perspective de la mort de l’enfant met les familles en difficulté profonde voire les déchire. Que peut-il se passer ? De plus en plus de familles sont recomposées. Il faudrait donc l’accord des deux parents. Généralement, autour d’un enfant malade, les gens arrivent à faire des concessions et retrouvent une forme d’entente. Mais quand un des parents n’est jamais d’accord avec l’autre, juste pour le plaisir de lui faire mal ? Que peut-il se passer ? Et quel est l’impact pour le frère ou la sœur qui entend que papa et maman sont d’accord pour tuer plus vite - quelque part, c’est cela - son frère ou sa sœur ? Peut-on y réfléchir ? Autre interrogation : quand un adulte demande l’euthanasie, il prend sa décision. L’enfant, lui, va être obligé de passer par un tas d’entretiens - pédopsychiatre, pédiatre traitant, etc. - pour vérifier s’il est en souffrance, s’il a compris la portée de sa demande, si les parents sont d’accord,… Où est sa liberté ? Ce projet manque de réflexion.

Selon votre expérience, beaucoup de mineurs demandent-ils l’euthanasie ?

D’abord, on n’a pas de recul suffisant par rapport à la première loi. On n’a pas de statistique fiable. Existe-t-il une vraie demande chez les jeunes ? Entre un adolescent de 17 ans et un adulte de 18 ans, la marge n’est pas grande. Or, les chiffres actuels montrent les demandes très peu nombreuses d’euthanasie pour les 18-25 ans. Ensuite, selon mon expérience et celles des équipes où j’ai travaillé, on n’a jamais connu de demande d’euthanasie d’un mineur. Je m’explique. Les soignants, sur le terrain, ne sont pas d’accord sur ce qu’est une euthanasie. Pour eux, une sédation terminale - l’administration de médicaments qui à court terme vont endormir paisiblement la personne - est une euthanasie, pas selon les termes de la loi. On dit qu’il y a des demandes. Des demandes de quoi ? D’euthanasie au sens de la loi ? Ou de "Laissez-moi tranquille ! Non, je ne recommencerai pas une xième chimio ou une nouvelle greffe de foie ! J’en ai marre de vos traitements qui ne servent à rien ! Laissez-moi finir mes jours paisiblement ! Fichez-moi la paix." Voilà les demandes de jeunes que nous entendons. Mais ils ne demandent pas de mourir, ils demandent de terminer leur vie paisiblement. Cet été nous avons connu deux jeunes qui ont décidé de profiter de ce qu’il leur reste avec sérénité et en accord de tous. Y a-t-il, chez les mineurs, une vraie demande d’euthanasie, c’est-à-dire de mourir directement via une injection ? Je ne crois pas.

 

 Source: La Libre Belgique.

Euthanasie des enfants: ils accélèrent le rythme

La proposition est passée en commissions Affaires sociales et Justice au Sénat belge.

Plusieurs étapes nous séparent encore d'une éventuelle adoption de cette loi criminelle: le vote en séance plénière au Sénat, et le vote au Parlement.


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