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21/08/2014

21 août : Saint Pie X

Extrait de Saint Pie X, par l'Abbé Jean CLERC.

Collection "Belles Histoires et Belles vies", n° 35; 93-96.

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> 21 août, Saint Pie X, mémoire liturgique

18/08/2014

Trois diacres de la Fraternité des Saints apôtres ordonnés prêtres ce vendredi


Ce vendredi 22 août 2014, à 16h, en la Cathédrale Saints Michel et Gudule de Bruxelles,
Mgr A.-J. Léonard ordonnera trois nouveaux prêtres pour l’archidiocèse de Malines-Bruxelles, tous trois membres de la Fraternité des Saints Apôtres, érigée par l’archevêque le 7 avril 2013. Ils auraient normalement dû être ordonnés prêtres le 22 juin dernier, en même temps que deux autres diacres, Gaëtan Parein et Denis Boers. Mais, leur ordination diaconale, prévue pour le 31 janvier dernier, ayant été reportée au 14 février en raison de l’état de santé de Mgr Léonard au début de cette année, leur ordination sacerdotale a dû également être postposée, un délai de 6 mois devant être respecté entre l’ordination diaconale et l’ordination presbytérale.

Il s’agit de :
1. Carmelo PRIMA, de nationalité italienne, né à Tubize en 1970. Ses parents habitent Laeken. Il a un frère et deux sœurs. Il a reçu l’essentiel de sa formation préparatoire au sacerdoce au Séminaire de Vicenza (Italie), avec un complément à Bruxelles (IET).
2. Damien BERNIER, de nationalité française, né à Lille en 1980. Il a quatre sœurs et cinq frères. Après des études en génie mécanique au Lycée Gustave Eiffel (Armentières), il a reçu l’essentiel de sa formation préparatoire au sacerdoce à l’Athénée « Regina Apostolorum » (Rome) et au Séminaire de Toulon (France), avec un complément à Bruxelles (IET).
3. Jérémie SCHAUB, de nationalité belge, né à Bruxelles en 1983. Il a trois sœurs. Après une candidature en droit aux Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix (Namur), il a reçu l’essentiel de sa formation préparatoire au sacerdoce au « Studium » de la Communauté Saint-Jean à Saint-Jodard (France) et au Séminaire de Toulon (France), avec un complément à Bruxelles (IET).

Avant l’érection de la Fraternité des Saints Apôtres, ils ont effectué un bref stage, respectivement à Auderghem, Braine-l’Alleud et Wavre. Ensuite, en lien avec l’érection de cette Fraternité, destinée à un apostolat urbain et exercé en fraternité de deux ou trois prêtres travaillant ensemble, ils ont appris à davantage connaître la réalité bruxelloise à travers deux stages, le premier auprès des Pères Carmes de Bruxelles et le second dans l’Unité pastorale Saint-Damien, à Bruxelles également.

Tous trois sont nommés ensemble vicaires dans deux paroisses bruxelloises, la paroisse Sainte-Catherine, dans le doyenné de Bruxelles-Centre, et la paroisse Saint-Joseph à Uccle (Homborch), dans le doyenné de Bruxelles-Sud.

Source

Fraternité des Saints Apôtres

17/08/2014

Voyage du Pape en Corée : Paul YUN JI-CHUNG et 123 martyrs béatifiés

VOYAGE APOSTOLIQUE DU PAPE FRANÇOIS
EN RÉPUBLIQUE DE CORÉE
À L'OCCASION DE LA VIe JOURNÉE DE LA JEUNESSE ASIATIQUE
(13-18 AOÛT 2014)

MESSE DE BÉATIFICATION DE
PAUL YUN JI-CHUNG ET 123 COMPAGNONS, MARTYRS
HOMÉLIE DU PAPE FRANÇOIS

Porte de Gwanghwamun (Séoul)
Samedi 16 août 2014

« Qui pourra nous séparer de l’amour du Christ ? » (Rm 8, 35). Par ces paroles, saint Paul nous parle de la gloire de notre foi en Jésus : non seulement le Christ est ressuscité des morts et est monté au ciel, mais il nous a unis à lui, nous rendant participants de sa vie éternelle. Le Christ est victorieux et sa victoire est la nôtre !

Aujourd’hui nous célébrons cette victoire en Paul Yun Ji-chung et en ses 123 compagnons. Leurs noms s’ajoutent à ceux des saints martyrs André Kim Taegon, Paul Chong Hasang et leurs compagnons, auxquels je viens de rendre hommage. Tous ont vécu et sont morts pour le Christ et maintenant ils règnent avec lui dans la joie et la gloire. Avec saint Paul ils nous disent que, dans la mort et la résurrection de son  Fils, Dieu nous a donné la victoire la plus grande de toutes. En effet, « ni la mort, ni la vie, ni les hauteurs ni les abîmes, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur » (Rm 8, 38-39).

La victoire des martyrs, leur témoignage rendu à la puissance de l’amour de Dieu, continuent à porter des fruits encore aujourd’hui en Corée, dans l’Église qui grandit par leur sacrifice. La célébration du bienheureux Paul et de ses compagnons nous donne l’occasion de revenir aux premiers moments, aux aurores de l’Église en Corée. Elle vous invite, catholiques coréens, à rappeler les grandes choses que Dieu a faites en cette terre, et à garder comme un trésor l’héritage de foi et de charité que vos ancêtres vous ont confié.

Dans la mystérieuse providence de Dieu, la foi chrétienne n’est pas parvenue sur les rivages de Corée par des missionnaires ; elle y est entrée par les cœurs et les esprits des Coréens eux-mêmes. Elle a été stimulée par la curiosité intellectuelle, par la recherche de la vérité religieuse. Dans une rencontre initiale avec l’Évangile, les premiers chrétiens coréens ont ouvert leurs esprits à Jésus. Ils voulaient en savoir davantage sur ce Christ qui a souffert, est mort et est ressuscité des morts. Le fait d’apprendre quelque chose sur Jésus a vite conduit à une rencontre avec le Seigneur lui-même, aux premiers baptêmes, au désir d’une vie sacramentelle et ecclésiale accomplie, et aux débuts d’un engagement missionnaire. Il a aussi porté ses fruits dans des communautés qui tiraient leur inspiration de l’Église primitive, dans laquelle les croyants étaient vraiment un seul cœur et une seule âme, sans tenir compte des traditionnelles différences sociales, et avaient tout en commun (Cf. Ac 4, 32).

Cette histoire nous en dit long sur l’importance, la dignité et la beauté de la vocation des laïcs ! Je salue les nombreux fidèles laïcs présents ici, en particulier les familles chrétiennes qui, chaque jour, par leur exemple, éduquent les jeunes à la foi et à l’amour réconciliateur du Christ. De manière spéciale je salue les nombreux prêtres présents. Par leur généreux ministère ils transmettent le riche patrimoine de foi, cultivé par les générations passées de catholiques coréens.

L’Évangile d’aujourd’hui contient un message important pour nous tous. Jésus demande au Père de nous consacrer dans la vérité et de nous garder du monde. Avant tout, il est significatif que, alors que Jésus demande au Père de nous consacrer et de nous garder, il ne lui demande pas de nous retirer du monde. Nous savons qu’il envoie ses disciples pour qu’ils soient un levain de sainteté et de vérité dans le monde : le sel de la terre, la lumière du monde. En cela, les martyrs nous indiquent la route.

Quelque temps après que les premières semences de la foi aient été plantées en cette terre, les martyrs et la communauté chrétienne ont dû choisir entre suivre Jésus ou le monde. Ils avaient entendu l’avertissement du Seigneur, que le monde les haïrait à cause de lui (Jn 17, 14) ; ils savaient le prix d’être disciples. Pour beaucoup cela a signifié la persécution et, plus tard, la fuite dans les montagnes, où ils formèrent des villages catholiques. Ils étaient prêts à de grands sacrifices et à se laisser dépouiller de tout ce qui pouvait les éloigner du Christ : les biens et la terre, le prestige et l’honneur, puisqu’ils savaient que seul le Christ était leur vrai trésor.

Aujourd’hui, très souvent, nous faisons l’expérience que notre foi est mise à l’épreuve du monde, et, de multiples manières, il nous est demandé de faire des compromis sur la foi, de diluer les exigences radicales de l’Évangile et de nous conformer à l’esprit du temps. Et cependant les martyrs nous rappellent de mettre le Christ au dessus de tout, et de voir tout le reste en ce monde en relation avec lui et avec son Royaume éternel. Ils nous provoquent à nous demander s’il y quelque chose pour laquelle nous serions prêts à mourir.

De plus, l’exemple des martyrs nous enseigne l’importance de la charité dans la vie de foi. C’est la pureté de leur témoignage au Christ, manifesté par l’acceptation de l’égale dignité de tous les baptisés, qui les a conduits à une forme de vie fraternelle qui défiait les structures sociales rigides de leur temps. C’est leur refus de diviser le double commandement de l’amour de Dieu et de l’amour du prochain qui les a portés à une si grande sollicitude à l’égard des nécessités de leurs frères. Leur exemple a beaucoup à nous dire, à nous qui vivons dans des sociétés où, à côté d’immenses richesses, grandit silencieusement la plus abjecte pauvreté ; où le cri des pauvres est rarement écouté ; et où le Christ continue à appeler, nous demandant de l’aimer et de le servir en tendant la main à nos frères et sœurs dans le besoin.

Si nous suivons l’exemple des martyrs et croyons en la parole du Seigneur, alors nous comprendrons la sublime liberté et la joie avec laquelle ils sont allés à la rencontre de la mort. De plus, nous verrons que la célébration d’aujourd’hui embrasse les innombrables martyrs anonymes, dans ce pays et dans le reste du monde, qui, spécialement au siècle dernier, ont offert leur vie pour le Christ et ont souffert de lourdes persécutions à cause de son nom.

Ce jour est un jour de grande joie pour tous les Coréens. L’héritage du bienheureux Paul Yun Ji-chung et de ses compagnons – leur rectitude dans la recherche de la vérité, leur fidélité aux grands principes de la religion qu’ils ont choisi d’embrasser, ainsi que leur témoignage de charité et de solidarité envers tous – tout cela fait partie de la riche histoire du peuple coréen. L’héritage des martyrs peut inspirer tous les hommes et femmes de bonne volonté à œuvrer en harmonie pour une société plus juste, libre et réconciliée, contribuant ainsi à la paix et à la défense des valeurs authentiquement humaines, dans ce pays et dans le monde entier.

Puissent les prières de tous les martyrs coréens, en union avec celles de la Vierge Marie, Mère de l’Eglise, nous obtenir la grâce de persévérer dans la foi et en toute œuvre bonne, dans la sainteté et dans la pureté de cœur, et dans le zèle apostolique pour témoigner de Jésus en cette nation bien-aimée, dans toute l’Asie et jusqu’aux extrémités de la terre.

Amen.

Homélie du Pape sur le site du Vatican

Prions pour notre Saint-Père, son voyage et les chrétiens d'Asie

15/08/2014

15 août : Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie

Assomption, Vierge Marie, Carmel de Saint-Denis

 

Marie, l'Immaculée Mère de Dieu toujours Vierge, à la fin du cours de sa vie terrestre, a été élevée en âme et en corps à la gloire céleste.

 

Constitution Apostolique Munificentissimus Deus, Pape Pie XII.

07:00 Publié dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0)

14/08/2014

Chrétiens face à l'Islam: les Saints Martyrs d'Otrante (14 août)

(Lettre de l'Abbaye Saint-Joseph de Clairval)

2690809106.jpgLe 12 mai 2013, lors de la canonisation des martyrs d’Otrante, le Pape François disait: «Aujourd’hui, l’Église propose à notre vénération une foule de martyrs qui ont été appelés ensemble au témoignage suprême rendu à l’Évangile, en 1480. Environ huit cents personnes, qui avaient survécu au siège et à l’invasion d’Otrante, ont été décapitées aux environs de la ville. Elles refusèrent de renier leur foi et elles moururent en confessant le Christ ressuscité. Où ont-elles trouvé la force de rester fidèles? Justement dans la foi qui fait voir au-delà des limites de notre regard humain, qui, au-delà de la frontière de la vision terrestre, fait contempler les cieux ouverts – comme le dit saint Étienne – et le Christ vivant à la droite du Père (cf. Ac 7, 55-56).»

entrada%2Btriunfal.jpgDans le dernier quart du xve siècle, l’expansion conquérante de l’Empire ottoman représente pour la chrétienté une menace redoutable. Au xie siècle, les Turcs seldjoukides venus d’Asie centrale, qui ont adhéré à l’islam, ont envahi l’Empire byzantin. À partir de 1299, le prince Osman, qui laissera son nom à la dynastie ottomane, unit les clans turcs sous sa domination et menace l’Empire byzantin jusque dans son centre. En 1453, les Turcs entrent en vainqueurs à Constantinople, la “seconde Rome”. Le sultan ottoman Mehmet (Mahomet) II, après avoir profané l’antique basilique Sainte-Sophie, la transforme en mosquée. Tout l’Orient chrétien et déjà une partie des Balkans sont désormais aux mains des musulmans. Mais le conquérant ne veut pas en rester là: son objectif est de soumettre toute l’Europe pour en faire une terre d’islam.

> Lire l'histoire des Saints Martyrs d'Otrante

Extrait publié avec l'autorisation de l'Abbaye Saint-Joseph de Clairval, requise et nécessaire pour toute reproduction complète ou partielle de la Lettre de l'Abbaye sur un site internet ou un support papier.

> Recevoir gratuitement chez soi la Lettre mensuelle de l'Abbaye Saint-Joseph de Clairval

 

12/08/2014

Como no creer en Dios ? - Wilkins

"Como no creer en Dios" par Germán Vélez Ramírez "Wilkins"

Comment ne pas croire en Dieu ?

19:00 Publié dans Vidéos | Tags : chanson, musique | Lien permanent | Commentaires (0)

11/08/2014

11 août: 115ème anniversaire de la naissance du Père Pablo Menor

Pablo Menor Menor, S.J. (Villena, 11 août 1899 - Lima, 20 janvier 1992) fut un prêtre de la Compagnie de Jésus, promoteur des vocations à la vie religieuse et de la vie de sainteté, fondateur de Pro Ecclesia Sancta.

Pmenorweb.jpgFils de Don Pablo Menor et de Doña Ángeles Menor, il naît le 11 août 1899 dans la ville de Villena, province d'Alicante, en Espagne. Depuis son plus jeune âge, il reçut une éducation catholique qui lui fit toujours sentir un grand appel à vivre la sainteté, à travers son engagement comme jésuite, vocation à laquelle il se sentit appelé avant l'âge de 7 ans.

À dix ans, il entre au Petit Séminaire de Murcie et le 31 décembre 1917 il est reçu au Noviciat de la Compagnie de Jésus à Grenade.

Son arrivée au Pérou en 1925 est liée à l'exercice de la charge de professeur au collège San José dans la ville péruvienne méridionale d'Arequipa. En 1936, il y fut nommé Recteur du Petit Séminaire de San José.

À l'inauguration en 1938 du Noviciat-Juniorat San Estanislao de Kostka à Miraflores (Lima), il fut son premier Recteur et Maître des Novices. Cette communauté de Miraflores comptait dix-neuf jésuites.

En 1943 il retourne à Arequipa, où lui sera confiée la tâche d'organiser et de construire la nouvelle Paroisse de Nuestra Señora del Pilar. Il y dirige les Exercices spirituels, les retraites, et se charge de direction spirituelle.

Il retourne à Lima en 1959, et continue son travail dans la Maison de Formation de Miraflores, d'où il lance la Ligue des Vocations à la Compagnie de Jésus, association dédiée à la prière pour les vocations à la Compagnie et à leur appui économique, qui devint "Association Pro Estudios Superiores" (APES - association pour les études supérieures), pour soutenir et appuyer financièrement la construction du nouveau Noviciat et Juniorat jésuite, Villa Kostka, à Huachipa à l'Est de Lima, qui sera finalisé en 1964.

À partir de 1969 le père Menor donne une nouvelle orientation à l'APES et la transforme en "Association Pro Ecclesia Sancta", se retirant dès lors des activités consacrées à la Compagnie pour se dédier entièrement, depuis sa résidence dans la Paroisse liménienne de San Pedro, à promouvoir la nouvelle orientation de ladite Association, une proposition particulière de vie chrétienne et de sainteté pour prêtres et laïcs.

Laissant déjà tout en ordre pour la fondation de Pro Ecclesia Sancta, l’œuvre la plus importante de sa vie, il meurt le 20 janvier 1992, accueilli et assisté de ses frères jésuites, dans la maison pour vieillards et malades de Miraflores.

Source: Encyclopédie participative en ligne Wikipedia

Traduction: Espérance Nouvelle

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Prêtres de Pro Ecclesia Sancta

06/08/2014

Explication sur la prière vers l'Orient

 

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30/07/2014

Cinq éminents Cardinaux préparent un livre en défense du Magistère traditionnel sur le mariage et la vie sacramentelle: soutenez le projet

Fr. Zuhlsdorf | WDTPRS | 29 juillet 2014| Traduction: Espérance Nouvelle

remaining1-197x300.jpgUn livre de grande importance est en train de voir le jour. Il est disponible en PRÉ-COMMANDE avec une réduction substantielle. Il sera publié en octobre 2014, peu avant le prochain Synode des Évêques sur la famille.

 

Le livre, intitulé "Demeurer dans la Vérité du Christ", sera publié en plusieurs langues et puisera abondamment aux sources premières du christianisme. "J'en connais un rayon sur ce livre. Les cinq Cardinaux mentionnés dans la présentation vous plairont, lorsque leurs noms seront révélés", assure Father Zuhlsdorf.

 

Votre tâche est de pré-commander ce livre maintenant. Il faut s'assurer que l'éditeur, Ignatius, reçoive un signal encourageant de sorte que le livre soit abondamment imprimé et connaisse une très large diffusion.     CLIQUEZ ICI

 

Voici la présentation du livre:

Dans ce volume, cinq Cardinaux de l’Église et quatre autres universitaires répondent à l'appel lancé par le Cardinal Walter Kasper pour que l’Église 'harmonise' "la fidélité et la miséricorde dans sa pratique pastorale envers les personnes civilement divorcées et remariées".

Après une brève introduction, la première partie du livre est consacrée aux textes bibliques relatifs au divorce et au remariage, et la seconde partie est une étude de l'enseignement et de la pratique de l’Église primitive. Dans aucun de ces deux domaines, biblique ou patristique, ces universitaires ne trouvent des éléments en faveur du type de "tolérance" prônée par le Cardinal Kasper pour les remariages civils suite à un divorce. Ce livre examine également la pratique orientale orthodoxe de l'oikonomia (comprise comme une "miséricorde" impliquant une "tolérance") pour des cas de remariage après un divorce et dans le contexte de la question épineuse de la Communion eucharistique. Il retrace l'histoire multiséculaire de la résistance catholique à cette convention, révélant de sérieuses difficultés théologiques et canoniques inhérentes à la pratique passée et actuelle de l’Église orthodoxe.

Ainsi donc, dans la seconde partie du livre, les auteurs argumentent en faveur du maintien du principe théologique et canonique du lien intrinsèque entre la doctrine catholique traditionnelle et la discipline sacramentelle concernant le mariage et la communion.

Les diverses études de ce livre conduisent à la conclusion que la fidélité éprouvée de l’Église à la vérité du mariage constitue la fondation irrévocable de sa réponse miséricordieuse et aimante à l'individu qui est civilement divorcé et remarié. Le livre conteste par conséquent le postulat selon lequel la doctrine catholique traditionnelle et la pratique pastorale contemporaine seraient en contradiction.

" Le rôle du ministère apostolique est d'assurer la permanence de l'Eglise dans la vérité du Christ et de l'y insérer toujours plus profondément. Aussi les Pasteurs doivent-ils promouvoir le sens de la foi chez tous les fidèles, examiner et juger d'une manière autorisée l'authenticité de ses expressions, et former les fidèles à un discernement évangélique toujours plus réfléchi. "

Saint Jean-Paul II, Familiaris Consortio

 

Commandez dès maintenant. Commandez-le, puis commandez-en encore quelques exemplaires. Quand ce livre sera publié, nous voulons un torrent de copies absolument partout. Vous pouvez parier que ceux qui veulent détruire l'enseignement de l’Église et sa pratique seront actifs comme des termites pour ronger jusqu'aux fondations. Ne les laissez pas faire. Procurez de bonnes informations au plus grand nombre de personnes possible.

 

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20/07/2014

Une authentique éducation affective et sexuelle, un devoir pour tous les parents

S’il te plaît parle-moi de l’amour – L'éducation affective et sexuelle de l'enfant de 3 à 12 ans

Inès Pélissié du Rausas

Préface de Xavier Lacroix

Edition Saint Paul, mai 2005

Livre-In%C3%A8s-Pellissi%C3%A9.jpgComment parler de sexualité à nos enfants ? Faut-il tout dire de l’acte sexuel, schémas à l’appui, au risque d’utiliser un vocabulaire trop technique ?

Comment, dans notre vie de famille, avoir un discours éducatif cohérent avec nos actes ? Comment assumer nos rôles respectifs de père et de mère en trouvant un langage approprié à chaque âge ?

Surinformés par l’école et les médias sur le sexe, de plus en plus de jeunes se sentent trompés. Ils attendent qu’on leur parle d’amour. Voulons-nous pour nos enfants le sexe « sans risque » ou bien l’amour vrai, qui engage deux personnes l’une envers l’autre ?

Beaucoup plus que d’une information scientifique sur la sexualité, c’est d’une éducation à l’amour dont l’enfant a besoin, qui tienne compte de sa psychologie et de l’expérience de son corps. Nous les parents, sommes les mieux placés pour la dispenser. Osons nous réapproprier cette mission : le bonheur de nos enfants est en jeu ! Qui d’autre leur parlera de l’amour, qui leur proposera une culture de vie ?

> S'il te plaît, parle-moi d'amour !

 

Sil-te-plait-Maman-346x260.jpgS’il te plaît, Maman, parle-moi de l’amour

Inès Pélissié du Rausas

Edition Saint Paul, juillet 2013

Que dire à ma fille pré-adolescente de 9 à 13 ans?

> S'il te plaît, Maman, parle-moi de l'amour

 

 

 

Papa, s’il te plaît, c’est beau, l’amour?

Inès Pélissié du Rausas

Que dire à mon fils préadolescent ?

Livre-Ines-p%C3%A8re-192x260.jpgCe livre est à destination des pères. L’auteur interpelle les papas à venir dialoguer avec leur fils, et ce, assez tôt (de 9 à 14 ans) sur la puberté masculine, la transformation du corps à l’heure de l’adolescence, sur l’identité masculine, la fécondité masculine, etc. Souvent silencieux et démuni, le père se décharge de ce rôle auprès de la mère ; devant les sollicitations et la place d’Internet dans les loisirs des enfants, la « confusion des genres » prônée dans les médias… toutes les questions de l’enfant sont ici évoquées dans un entretien d’homme à homme. C’est l’heure de responsabiliser les pères, de leur redonner leur place d’éducateur, au cœur de leur famille.

Courageux, le père n’évacue aucune impasse, conduit l’enfant à se construire dans une vision saine de la sexualité ; au cœur d’une société moderne.

Un parcours pédagogique réactualisé, truffé de témoignages. Sans vulgarité, toutes les questions sont abordées.

> Papa, s'il te plaît, c'est beau, l'amour ?