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14/08/2014

Chrétiens face à l'Islam: les Saints Martyrs d'Otrante (14 août)

(Lettre de l'Abbaye Saint-Joseph de Clairval)

2690809106.jpgLe 12 mai 2013, lors de la canonisation des martyrs d’Otrante, le Pape François disait: «Aujourd’hui, l’Église propose à notre vénération une foule de martyrs qui ont été appelés ensemble au témoignage suprême rendu à l’Évangile, en 1480. Environ huit cents personnes, qui avaient survécu au siège et à l’invasion d’Otrante, ont été décapitées aux environs de la ville. Elles refusèrent de renier leur foi et elles moururent en confessant le Christ ressuscité. Où ont-elles trouvé la force de rester fidèles? Justement dans la foi qui fait voir au-delà des limites de notre regard humain, qui, au-delà de la frontière de la vision terrestre, fait contempler les cieux ouverts – comme le dit saint Étienne – et le Christ vivant à la droite du Père (cf. Ac 7, 55-56).»

entrada%2Btriunfal.jpgDans le dernier quart du xve siècle, l’expansion conquérante de l’Empire ottoman représente pour la chrétienté une menace redoutable. Au xie siècle, les Turcs seldjoukides venus d’Asie centrale, qui ont adhéré à l’islam, ont envahi l’Empire byzantin. À partir de 1299, le prince Osman, qui laissera son nom à la dynastie ottomane, unit les clans turcs sous sa domination et menace l’Empire byzantin jusque dans son centre. En 1453, les Turcs entrent en vainqueurs à Constantinople, la “seconde Rome”. Le sultan ottoman Mehmet (Mahomet) II, après avoir profané l’antique basilique Sainte-Sophie, la transforme en mosquée. Tout l’Orient chrétien et déjà une partie des Balkans sont désormais aux mains des musulmans. Mais le conquérant ne veut pas en rester là: son objectif est de soumettre toute l’Europe pour en faire une terre d’islam.

> Lire l'histoire des Saints Martyrs d'Otrante

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11/08/2014

11 août: 115ème anniversaire de la naissance du Père Pablo Menor

Pablo Menor Menor, S.J. (Villena, 11 août 1899 - Lima, 20 janvier 1992) fut un prêtre de la Compagnie de Jésus, promoteur des vocations à la vie religieuse et de la vie de sainteté, fondateur de Pro Ecclesia Sancta.

Pmenorweb.jpgFils de Don Pablo Menor et de Doña Ángeles Menor, il naît le 11 août 1899 dans la ville de Villena, province d'Alicante, en Espagne. Depuis son plus jeune âge, il reçut une éducation catholique qui lui fit toujours sentir un grand appel à vivre la sainteté, à travers son engagement comme jésuite, vocation à laquelle il se sentit appelé avant l'âge de 7 ans.

À dix ans, il entre au Petit Séminaire de Murcie et le 31 décembre 1917 il est reçu au Noviciat de la Compagnie de Jésus à Grenade.

Son arrivée au Pérou en 1925 est liée à l'exercice de la charge de professeur au collège San José dans la ville péruvienne méridionale d'Arequipa. En 1936, il y fut nommé Recteur du Petit Séminaire de San José.

À l'inauguration en 1938 du Noviciat-Juniorat San Estanislao de Kostka à Miraflores (Lima), il fut son premier Recteur et Maître des Novices. Cette communauté de Miraflores comptait dix-neuf jésuites.

En 1943 il retourne à Arequipa, où lui sera confiée la tâche d'organiser et de construire la nouvelle Paroisse de Nuestra Señora del Pilar. Il y dirige les Exercices spirituels, les retraites, et se charge de direction spirituelle.

Il retourne à Lima en 1959, et continue son travail dans la Maison de Formation de Miraflores, d'où il lance la Ligue des Vocations à la Compagnie de Jésus, association dédiée à la prière pour les vocations à la Compagnie et à leur appui économique, qui devint "Association Pro Estudios Superiores" (APES - association pour les études supérieures), pour soutenir et appuyer financièrement la construction du nouveau Noviciat et Juniorat jésuite, Villa Kostka, à Huachipa à l'Est de Lima, qui sera finalisé en 1964.

À partir de 1969 le père Menor donne une nouvelle orientation à l'APES et la transforme en "Association Pro Ecclesia Sancta", se retirant dès lors des activités consacrées à la Compagnie pour se dédier entièrement, depuis sa résidence dans la Paroisse liménienne de San Pedro, à promouvoir la nouvelle orientation de ladite Association, une proposition particulière de vie chrétienne et de sainteté pour prêtres et laïcs.

Laissant déjà tout en ordre pour la fondation de Pro Ecclesia Sancta, l’œuvre la plus importante de sa vie, il meurt le 20 janvier 1992, accueilli et assisté de ses frères jésuites, dans la maison pour vieillards et malades de Miraflores.

Source: Encyclopédie participative en ligne Wikipedia

Traduction: Espérance Nouvelle

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Prêtres de Pro Ecclesia Sancta

30/07/2014

Cinq éminents Cardinaux préparent un livre en défense du Magistère traditionnel sur le mariage et la vie sacramentelle: soutenez le projet

Fr. Zuhlsdorf | WDTPRS | 29 juillet 2014| Traduction: Espérance Nouvelle

remaining1-197x300.jpgUn livre de grande importance est en train de voir le jour. Il est disponible en PRÉ-COMMANDE avec une réduction substantielle. Il sera publié en octobre 2014, peu avant le prochain Synode des Évêques sur la famille.

 

Le livre, intitulé "Demeurer dans la Vérité du Christ", sera publié en plusieurs langues et puisera abondamment aux sources premières du christianisme. "J'en connais un rayon sur ce livre. Les cinq Cardinaux mentionnés dans la présentation vous plairont, lorsque leurs noms seront révélés", assure Father Zuhlsdorf.

 

Votre tâche est de pré-commander ce livre maintenant. Il faut s'assurer que l'éditeur, Ignatius, reçoive un signal encourageant de sorte que le livre soit abondamment imprimé et connaisse une très large diffusion.     CLIQUEZ ICI

 

Voici la présentation du livre:

Dans ce volume, cinq Cardinaux de l’Église et quatre autres universitaires répondent à l'appel lancé par le Cardinal Walter Kasper pour que l’Église 'harmonise' "la fidélité et la miséricorde dans sa pratique pastorale envers les personnes civilement divorcées et remariées".

Après une brève introduction, la première partie du livre est consacrée aux textes bibliques relatifs au divorce et au remariage, et la seconde partie est une étude de l'enseignement et de la pratique de l’Église primitive. Dans aucun de ces deux domaines, biblique ou patristique, ces universitaires ne trouvent des éléments en faveur du type de "tolérance" prônée par le Cardinal Kasper pour les remariages civils suite à un divorce. Ce livre examine également la pratique orientale orthodoxe de l'oikonomia (comprise comme une "miséricorde" impliquant une "tolérance") pour des cas de remariage après un divorce et dans le contexte de la question épineuse de la Communion eucharistique. Il retrace l'histoire multiséculaire de la résistance catholique à cette convention, révélant de sérieuses difficultés théologiques et canoniques inhérentes à la pratique passée et actuelle de l’Église orthodoxe.

Ainsi donc, dans la seconde partie du livre, les auteurs argumentent en faveur du maintien du principe théologique et canonique du lien intrinsèque entre la doctrine catholique traditionnelle et la discipline sacramentelle concernant le mariage et la communion.

Les diverses études de ce livre conduisent à la conclusion que la fidélité éprouvée de l’Église à la vérité du mariage constitue la fondation irrévocable de sa réponse miséricordieuse et aimante à l'individu qui est civilement divorcé et remarié. Le livre conteste par conséquent le postulat selon lequel la doctrine catholique traditionnelle et la pratique pastorale contemporaine seraient en contradiction.

" Le rôle du ministère apostolique est d'assurer la permanence de l'Eglise dans la vérité du Christ et de l'y insérer toujours plus profondément. Aussi les Pasteurs doivent-ils promouvoir le sens de la foi chez tous les fidèles, examiner et juger d'une manière autorisée l'authenticité de ses expressions, et former les fidèles à un discernement évangélique toujours plus réfléchi. "

Saint Jean-Paul II, Familiaris Consortio

 

Commandez dès maintenant. Commandez-le, puis commandez-en encore quelques exemplaires. Quand ce livre sera publié, nous voulons un torrent de copies absolument partout. Vous pouvez parier que ceux qui veulent détruire l'enseignement de l’Église et sa pratique seront actifs comme des termites pour ronger jusqu'aux fondations. Ne les laissez pas faire. Procurez de bonnes informations au plus grand nombre de personnes possible.

 

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18/07/2014

Les origines du célibat des prêtres et la question de l'ordination des femmes

Par le Père Thierry Dejond, jésuite

Il est évident que l’ordination des Douze Apôtres, et non de Marie, Mère de Dieu, ni de Marie-Madeleine, Suzanne et autres femmes ayant suivi Jésus, n’est pas une « donnée culturelle », mais bien une « volonté divine », au sujet de laquelle toutes les Églises ont maintenu un accord unanime, jusqu’à la fin du XXème siècle.  C’est donc une idée de la « post-modernité », lancée par le Mouvement féministe, dont la philosophie est la « gender philosophy », dont la thèse, validée par l’ONU, est qu’on choisit librement d’être homme ou femme, car il ne s’agirait pas d’un donné « naturel », mais purement « culturel ».

Si les Eglises orientales ‘revenues au catholicisme’ ont accepté d’ordonner des hommes mariés (vu leur passé orthodoxe datant de 690) [ndlr : concile « in trullo »], c’est par miséricorde de l’Église catholique, qui ne voulait pas briser une tradition de cinq siècles.

Le « célibat des prêtres » dans l’Église latine n’est autre qu’une manière d’être fidèle à la « Tradition remontant aux Apôtres », et acceptée tant chez les Grecs que chez les Latins jusqu’en 690, et exigeant des Évêques, Prêtres et Diacres mariés, de renoncer, le jour de leur Ordination, à l’usage du mariage. Cette tradition apostolique s’est maintenue en Occident, tandis que l’Orient grec cédait aux décisions de l’Empereur de Byzance.

Pourtant, même en Orient, subsistent des traces évidentes de l’ancienne discipline commune: les Évêques n’ont pas le droit de vivre en mariage, jamais; les prêtres et les diacres, après le décès de leur épouse, n’ont pas le droit de se  remarier,  puisque ils ont été ordonnés. Ce qui prouve bien qu’il s’agissait d’une  tolérance, Idem, pour les  diacres mariés  en Occident, depuis le Concile Vatican II: ils ne peuvent pas se  remarier.

Cette discipline remonte aux Apôtres, dont un seul, Simon-Pierre, était certainement marié avant l’appel du Christ, mais qui répond à Jésus: « Nous qui avons tout quitté pour te suivre… », Jésus répond: « Amen, je vous le dis: personne n’aura quitté maison, femme, frères, parents ou enfants, à cause du Royaume de Dieu, qu’il ne reçoive beaucoup plus en ce temps-ci et, dans le monde à venir, la vie éternelle. » (Luc 18, 28-30). Bien d’autres textes de L’Ecriture Sainte, et de la Tradition des Pères de l’Église, confirment cette exigence de Jésus. Exigence rappelée au 1er Concile Oecuménique de Nicée en 325, canon 3; et déjà avant, dans des Conciles régionaux: Elvire (Espagne) en 304 et Ancyre (=Ankara, Turquie) en 314. Il est clair que ces canons disciplinaires de l’Église ne faisaient que « rappeler » la Tradition remontant aux  Apôtres et attestée par de nombreux  Pères de l’Église  auparavant.

Le Père Dejond est professeur de théologie dogmatique et directeur spirituel du Séminaire de Namur depuis 1994.

Source: "Pour en finir avec l'ordination des hommes mariés et des femmes"

 

> Plus d'explications sur le célibat des prêtres en Occident et en Orient

 

17:00 Publié dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0)

17/07/2014

17 juillet 2014: 75ème anniversaire du rappel à Dieu de la Vénérable María del Carmen González-Valerio

Le 17 juillet 1939 décédait en odeur de sainteté la petite Mari Carmen González-Valerio, le lendemain de la fête de Notre-Dame du Mont-Carmel, et donc aussi de sa fête à elle.

(Lettre de l'Abbaye Saint-Joseph de Clairval)

retrato-maricarmen.gifJésus, qui a voulu partager la condition de l'enfance, a toujours montré une extraordinaire affection pour les enfants. Il se plaît à leur donner des grâces de choix, comme Il l'a fait pour la servante de Dieu, María del Carmen (appelée communément Mari Carmen) González-Valerio y Sáenz de Heredia. Le 12 janvier 1996, le Saint-Père Jean-Paul II a déclaré l'héroïcité des vertus de cette enfant qui avait vécu sur terre 9 ans et 4 mois, lui décernant le titre de "Vénérable".

Mari Carmen naît à Madrid le 14 mars 1930, la seconde de cinq enfants. Elle tombe gravement malade immédiatement après sa naissance, si bien qu'on la baptise, sans plus tarder. Le Bon Dieu ne voulait pas attendre pour effacer dans son âme le péché originel, l'enrichir de sa grâce et en faire ainsi son enfant. À la suite de circonstances tout à fait imprévues, elle reçoit la Confirmation à l'âge de 2 ans, le 16 avril 1932, grâce à une initiative de Mgr Tedeschini, nonce apostolique en Espagne et ami de la famille. L'Esprit Saint avait hâte de lui donner le courage dont elle aurait besoin.

> Lire la vie de la Vénérable María del Carmen González-Valerio

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> Association des Amis de la Cause de Béatification de Mari Carmen

> Carton de dévotion privée en espagnol

> Carton de dévotion privée en français

 

16/07/2014

"Priez pour la paix de Jérusalem!" supplie le père Madros, prêtre palestinien

Le père Peter Hanna Madros est un prêtre palestinien du Patriarcat latin de Jérusalem. Bien que ses propos sur la charité et la vérité puissent sembler s'adresser à certains cardinaux à propos du prochain Synode sur la famille, c'est ici à tous les fidèles catholiques qu'il s'adresse au sujet de la situation en Terre Sainte, avec une supplication aussi simple que dramatique: "Priez pour la paix de Jérusalem!"

15/07/2014

Bronzer jusqu'à l'âme: le petit livre de méditation pour l'été

Clément Anouil | L'Homme nouveau | 25 juin 2014

bronzer-jusqua-lame9.jpgAlors que la période des vacances arrivent très vite, nous avons rencontré l'abbé Guillaume de Tanoüarn, fondateur du Centre culturel Saint-Paul, à Paris. Il vient de faire paraître un petit livre au titre ambitieux qui cache de véritables pépites spirituelles. Rencontre avec un prêtre hors du commun.

 

Bronzer jusqu’à l’âme... Les vacances ne seraient-elles pas plutôt un temps de repos spirituel ?

Repos spirituel ? Vous voulez dire que pendant les vacances, on déboucle le ceinturon et on arrête tout ? Je ne crois pas que ce soit le sens des vacances. De vraies vacances nous permettent de rompre avec les sollicitations en tout genre et de nous recentrer paisiblement sur l’essentiel, ne serait-ce qu’en regardant de beaux paysages. Les vacances ? Elles sont partie intégrante de notre écosystème spirituel. C’est l’été qu’on trouve le temps de se souvenir que l’on a une âme. La formule qui sert de titre – Bronzer jusqu’à l’âme – est volontairement un peu provocatrice. Elle voudrait juste indiquer que, même si le bronzing peut être mauvais pour la santé, l’activité qui consiste à se dorer la pilule, côté pile ou côté face, peut, livre en main, comporter un risque autrement plus grand pour le confort quotidien : le risque de retrouver Dieu. « Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer au repos, dans une chambre » (Br.139), comme disait Pascal. Dans une chambre, sans doute, mais pourquoi pas au soleil ? « Dieu est le soleil de justice, dit le prophète Malachie. Dans les rayons de sa puissance, Il nous porte la guérison » (cf. Ml. 3, 20).

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Parce que j’ai pensé qu’il y avait un vide dans ce domaine : l’été est une période propice à la vie spirituelle, parce que tout le monde marque une pause, mais c’est aussi une période spirituellement négligée. Pour le Carême, il existe beaucoup de brochures, permettant de le suivre au jour le jour – dont une selon le rite extraordinaire, celle que nous avons déjà publiée cette année au Centre Saint Paul, qui est intitulée 40 Paroles d’Évangile. Pour l’été, que je sache, il n’y avait rien pour mettre dans le sac de plage. Voilà donc Bronzer jusqu’à l’âme.

À qui s’adresse-t-il ?

Il a une cible très précise, il s’adresse à ceux, jeunes et vieux, qui portent dans leur cœur l’avenir de notre Église et que j’appellerais volontiers les « tradismatiques ». Qui sont les tradismatiques ? Ceux qui, dans l’universel écroulement de la culture catholique dû à la Révolution culturelle de l’après-Concile, proviennent soit de la Fraternité Saint-Pie X, soit des Fraternités dites Ecclesia Dei, soit des différentes communautés nouvelles qui fleurissent ici et là dans notre vieille chrétienté, pour faire refleurir le vieil arbre. Une seule condition : ne pas faire d’allergie vis-à-vis du calendrier traditionnel, élargi aux nouvelles fêtes des saints, par exemple saint Maximilien Kolbe le 14 août. Chaque jour de l’été, il y a un texte de méditation et deux intentions concrètes, ce qui permet à chacun d’y trouver son compte et de lutter contre l’ennui, grande maladie des vacances.

 

Abbé Guillaume de Tanoüarn, Bronzer jusqu’à l’âme, éd. Centre Saint Paul, 306 p. 15 euros franco de port.

Les commandes sont à adresser au Centre Saint-Paul, 12, rue Saint-Joseph, 75002 Paris, par chèque à l’ordre de l’ADCC.

28/06/2014

Le Saint-Siège lève la suppression de la Communauté des Soeurs de Saint-Jean et Saint-Dominique

1.bmp18 mois après le rescrit, les sœurs de Saint Jean et Saint Dominique sont autorisées à refonder une association publique de fidèles en vue de la faire ériger ultérieurement en Institut Religieux.

Suite à sa visite de novembre, le Cardinal Braz de Aviz a rencontré en Espagne le 17 juin 2014 les sœurs, avec tous les évêques qui les accueillent dans divers pays du monde. Neuf ont pu se rendre disponibles.

Les modalités de cette nouvelle fondation vont être définies prochainement.

Pas à pas, dans la confiance, les sœurs vont pouvoir retrouver la sérénité.

Le 17 juin 2014, le Cardinal Joao Braz de Aviz, Préfet de la Congrégation pour les Instituts de Vie Consacrée, et son secrétaire Mgr Carballo OFM, se sont rendus au couvent Santísima Trinidad de Bergara (Guipuzkoa) pour remettre entre les mains de l'évêque de San Sebastian, Mgr José Ignacio Munilla, et aux Sœurs, l'acte papal qui rétablit leur chemin vers la vie religieuse et donne la voie à suivre.

Les prélats, en compagnie d'autres évêques, dont le Primat d'Espagne Mgr Braulio Rodríguez Plaza, on célébré à Bergara une Messe à laquelle ont assisté une grande partie des 150 soeurs de cette jeune communauté, ainsi que de nombreux amis et fidèles.

Sources: Unegoutte et Divinas Vocaciones

 

15:44 Publié dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0)

27/06/2014

Sacré Coeur de Jésus: l'Amour incarné, source inépuisable de miséricorde

12:53 Publié dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0)

18/06/2014

État islamique en Irak: zéro chrétien à Mossoul

Portes Ouvertes | 18 juin 2014

« Priez pour la paix en Irak ! » Alors que les derniers chrétiens de Mossoul ont pris la fuite, des familles ont pu trouver refuge dans des églises.

3187954« Nous n’avons même pas pu prendre nos chaussures, nous avons dû fuir en sandales ! » explique une chrétienne de Mossoul, qui a tout quitté un quart d’heure avant l’arrivée de l’EIIL, l’Etat Islamique en Irak et au Levant.

Ces derniers sont des islamistes radicaux sunnites, ils se sont emparés de Mossoul le 10 juin dernier. Des milliers de réfugiés se trouvent maintenant à Erbil, capitale de la région autonome du Kurdistan, située à 88 kilomètres à l’est de Mossoul.

« Dieu est bon tout le temps »

Un collaborateur de Portes Ouvertes a pu s’entretenir avec cinq familles qui sont maintenant réfugiées dans une église locale. «Maintenant, il y a zéro chrétien à Mossoul. La situation était déjà mauvaise, mais nous n’en sommes jamais arrivés à ce point » raconte un des réfugiés. Une femme plus âgée nous explique comment son voyage pour quitter Mossoul s’est déroulé : « Nous avons vu beaucoup de personnes qui pleuraient, et qui étaient très énervées. Mais nous disions : « ‘Ô Dieu, Tu es bon. Merci pour cette paix que nous avons (…)» Un responsable d’église ajoute « Dieu est bon, tout le temps ! », « Priez pour la paix en Irak. Nous avons eu bien assez de guerres. Il n’y a plus un seul endroit sûr ici. »

> Lire la suite sur Portes Ouvertes